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Sommet de l’Alliance solaire internationale: Le VPR Daniel Kablan Duncan « Il faut répondre à la demande légitime de nos populations »

dimanche, 11 mars 2018 22:06 Written by

 

Le vice-Président de la République, Sem Daniel Kablan Duncan, est arrivé le samedi 10 mars 2018 à New Delhi, à 00H30, heure locale, en vue de prendre part au Sommet de l’Alliance Solaire Internationale (Asi) qui a eu lieu le dimanche 11 mars 2018 dans la capitale indienne. Dans son allocution d’ouverture, le représentant du Chef de l’Etat ivoirien a mis en accent particulier sur l’importance des sources énergétique dans la vie des populations. Il a dit : « Nos besoins énergétiques sont en forte augmentation, eu égard à nos nombreuses réalisations socio-économiques et à nos objectifs de progrès. En effet, il est impératif de fournir aux acteurs des différents secteurs de l’économie l’énergie nécessaire à leur important développement. En outre, sur le plan social, il nous faut répondre à la demande légitime de nos populations qui aspirent à l’amélioration de leur qualité de vie » Parlant de la politique ivoirienne en la matière, le Vpr Duncan dira : « La Côte d’Ivoire qui a signé, puis ratifié l’Accord-cadre de l’Alliance Solaire Internationale, est très fière d’appartenir à cette brillante initiative lancée lors de la conférence de Paris pour le climat en décembre 2015. Il ne fait aucun doute que cette Alliance constitue une réponse efficace et pragmatique aux deux problématiques majeures que sont la lutte contre le réchauffement de la planète et l’accès à l’énergie. La Côte d’Ivoire, pour sa part, respectera résolument ses engagements pris au niveau mondial en faveur du climat et notamment en ce qui concerne la transition énergétique » A l’ occasion de la Cop 21, notre pays s’est en effet engagé à réduire de 28 % ses émissions de gaz à effet de serre à l’horizon 2030. Cet engagement se traduit, au niveau du secteur de l’électricité, par un net accroissement de la part des énergies renouvelables y compris l’hydroélectricité dans le mix énergétique. La part de ces énergies renouvelables qui représentait 20 % contre 80 % d’énergie thermique en 2017 devrait ainsi passer à 34 % contre 66 % d’énergie thermique en 2020. L’objectif final est de parvenir, en 2030, à un mix énergétique avec 42 % d’énergie renouvelable pour 58 % d’énergie thermique. Pour ce faire, notre politique de développement des énergies renouvelables s’appuiera principalement sur l’hydroélectricité, l’énergie solaire, l’énergie à base de biomasse et, éventuellement, l’énergie éolienne. Le gouvernement ivoirien, qui vise aussi à faire passer la capacité énergétique de la Côte d’Ivoire, de 2200 Mw actuellement à 4000 Mw en 2020 puis 6000 Mw en 2030, entend saisir toutes les opportunités qui lui sont offertes au niveau mondial, en particulier celles offertes par l’Asi, pour mettre en œuvre sa politique énergétique. Cette politique contribue à renforcer l’intégration sous régionale. Terminant , il invité l’assistance se pencher davantage sur les problématiques majeures auxquelles nos pays sont confrontés pour mieux répondre aux aspiration des populations en vue d’une accessibilité l’ énergie solaire tout en veillant à une protection de notre planète, notre bien le plus précieux. « Il nous faudra désormais répondre, dans le cadre de notre Alliance, figurent en bonne place, la réduction des coûts des énergies renouvelables, les questions de leur financement et le transfert de technologies au travers de la formation de la main d’œuvre locale. Nous nous réjouissons donc de noter que ce Sommet permettra d’aborder ces différents aspects » a conclu Kablan Duncan. Notons qu’en marge de ses assises, le Chef de la délégation ivoirienne ne chôme pas ( Voir encadré)

Charles Kader

 

Duncan à la rencontre des investisseurs indiens

La journée marathon du Samedi du vice-Président Duncan a commencé avec une série d’entretiens à son hôtel avec des investisseurs et s’est achevée par une audience avec le Premier ministre indien, M. Narendra Modi, et un diner offert par le Président de la République de l’Inde, Sem Ram Nath Kvind, aux Chefs d’Etat et de gouvernement ayant fait le déplacement de New Delhi. Le vice-Président de la République s’est ainsi entretenu avec le Directeur général du groupe Shiloh Industries présente en Côte d’Ivoire à travers plusieurs filiales, notamment dans l’industrie extractive du manganèse et l’industrie pharmaceutique avec un projet d’implantation dans la zone franche de Grand-Bassam, Vitib. Le vice-Président de la République a aussi reçu une délégation de la Chambre de Commerce indienne (Phdcci) conduite par son président du Comité des Affaires internationale, M. Ranjeet Chatuvedi, par ailleurs Directeur général de la société Seftech. Objet de leur visite au vice-Président de la République : avoir la caution des autorités ivoiriennes en vue de conduire en Côte d’Ivoire, en juillet 2018, une grande mission d’investisseurs indiens intéressés par les secteurs de l’agriculture et de l’agro-industrie. Avec le groupe Ashod Leyland conduit par son Président Directeur général, M. Vinod K. Dasari, les échanges ont plutôt tourné autour de la fourniture de véhicules dans le cadre du projet de renouvellement du parc automobile en Côte d’Ivoire.

C.K

Assises des CES de l’espace francophone à Abidjan: la diplomatie gagnante de Charles Diby Koffi à l’international

vendredi, 09 mars 2018 18:10 Written by

 

Profitant de la tribune à lui offerte à la faveur des assises des Conseils économiques et sociaux de l’espace francophone à Abidjan qui a pris fin le vendredi 09 mars 2018, le président du conseil économique, social, environnemental et culturel ivoirien, Charles Diby Koffi a présenté les atouts et pas de géants effectués par l’économie ivoirienne après la grave crise de huit ans (2002-2010). C’était à l’ouverture des travaux. Dkc qui sait de quoi il parle, a insisté sur cette « embellie » économique qui découle selon lui des réformes et investissements dans le pays suivant la gouvernance du président Alassane Ouattara. « Notre civilisation est en voie d’être profondément transformée par le numérique » a fait savoir Charles Diby Koffi dans son mot de bienvenue à ses pairs. Iacob Baciu, président en exercice de l’Aecesis estime pour sa part, qu’il y a « deux problèmes fondamentaux : l’éducation et la jeunesse » avant d’inscrire le numérique au cœur de tous les secteurs d’activité. « Les Etats qui vont jeter les bases nouvelles par la numérisation de la jeunesse jetteront les bases de l’avenir » a soutenu Iacob Baciu. « Nous devons promouvoir et former la nouvelle génération » a-t-il poursuivi. Prônant le dialogue social dans un cadre démocratique, le président de l’Aecisis et du Ces roumain, a recommandé que les 25 Ces membres de l’Acesis soit « une base » pour la démocratie. « Nous devons tenir compte d’un équilibre. Nous devons constituer la base de la démocratie même si chaque pays a sa spécificité. Les exemples positifs doivent être promus » a recommandé le roumain devant ses pairs. Il a émis le vœu de voir l’Afrique rejoindre la faîtière internationale des Conseils économiques et sociaux « pour promouvoir un avenir meilleur. » Durant ces assises, on peut le dire sans se tromper que l’ ambiance a été des plus studieuses dans la salle des plénières du conseil économique et social ivoirien. Les 61 conseillers économiques et sociaux arrivés d’Afrique, d’Europe et d’Asie sont tous restés concentrés autour des différentes thématiques qui rentraient dans le thème central du rendez-vous d’Abidjan : « L’impact de la révolution numérique sur l’avenir de l’humanité. » Pour les conseillers mauritaniens et sénégalais, « il faut un acte concret » dans la relation avec l’Organisation internationale du travail et ne pas se contenter de promesses sans suite. Les conseillers économiques et sociaux planchaient sur le partenariat avec l’Oit et l’Ecosoc (Conseil du Développement économique et social des Nations Unies). Preuve de cette ambiance studieuse, la Déclaration de clôture prononcer vendredi dans l’après midi, le roumain Iacob Baciu, président du Ces Roumain et président en exercice de l’Association Internationale des Conseils Economiques et Sociaux et Institutions Similaires (Acesis) est reportée à ce vendredi 9 mars. C’est cette entité internationale qui se réunit pour la première fois en Afrique et en Côte d’Ivoire du 7 au 9 mars 2018 autour des enjeux de l’usage des Ntic dans le développement des nations. « Pour la Côte d’Ivoire, la tenue de la réunion du Bureau de L’Usesif et du Conseil d’Administration de l’Aicesis confirme son rayonnement international » et « En ce qui concerne le Conseil Economique Social et Culturel ivoirien qui abrite le premier Conseil d’Administration de la mandature 2017-2019, il prend ainsi toute sa place sur l’échiquier international » relève la note d’information qui situe les enjeux de cette rencontre d’Abidjan. Un autre bon point stratégique pour Charles Koffi Diby qui contribue à l’essor de la Côte d’Ivoire sur l’échiquier international.

Charles Kader

Energie solaire/Sommet alliance solaire internationale: Duncan conduit une délégation ivoirienne en Inde

vendredi, 09 mars 2018 16:06 Written by

Le Sommet de l’Alliance Solaire Internationale( Asi) se tient en Inde, du 9 au 12 mars 2018. La Côte d’Ivoire qui entend vulgariser davantage l’accès à l’énergie solaire y a envoyé une délégation ivoirienne conduite par Sem le vice-Président de la République, Sem Daniel Kablan Duncan. Qui a quitté Abidjan ce vendredi 9 mars 2018, à destination de New Delhi. Daniel Kablan Duncan est accompagné du Ministre du Pétrole, de l’Energie et du Développement des Energies renouvelables, Monsieur Thierry Tanoh, de membres de son Cabinet et de hauts cadres de plusieurs départements ministériels. « Cette rencontre internationale est le premier Sommet des Chefs d’Etat et de gouvernement des pays signataires de l’Accord de création de l’Alliance depuis son lancement, le 30 novembre 2015, à Paris, en marge de la Cop 21, à l’initiative de l’Inde et de la France. L’Asi est engagé à contribuer fortement aux efforts visant à atteindre les Objectifs de développement durable et les ambitions de l’Accord de Paris sur le changement climatique » a indique une note à la presse dont nous avons eu copie. Le rendez-vous de New Delhi permettra de réaliser des avancées concrètes dans la mise en œuvre de l’agenda de l’ASI qui est d’accroitre de manière significative la production d’énergie solaire dans les 121 pays situés, en totalité ou en partie, entre les tropiques du Cancer et du Capricorne, représentant 73 % de la population mondiale. Il convient de rappeler que l’objectif de l’Asi est de mettre l’énergie propre, abordable et renouvelable du soleil à la portée de tous, à travers l’harmonisation des demandes de financements, de technologies et d’innovation pour créer un "marché commun". A cet effet, l’Alliance vise la mise en œuvre d’instruments financiers permettant de mobiliser plus de 1.000 milliards de dollars soit plus de 500 mille milliards de Fcfa d’investissement en énergie solaire d’ici 2030. En marge de sa participation à la conférence inaugurale et au Sommet, le vice-Président ivoirien aura des audiences avec le Président de la République de l’Inde, S.E.M. Ram Nath KOVIND et le Premier Ministre, S.E.M Narendra Modi. Le vice-Président de la République regagnera Abidjan le 12 mars 2018, au terme de son séjour indien.

Inclusion financière et autonomisation en milieu rural : le Trésor Public mobilise plus de 500 femmes à Dabou

vendredi, 09 mars 2018 15:59 Written by

Une délégation de la Direction Générale du Trésor et de la Comptabilité Publique conduite par le Directeur Général Adjoint (DGA), FOFANA Lassina, était le jeudi 8 mars 2018, à Dabou, plus précisément dans le village de Debrimou pour communier avec les femmes de cette localité autour du thème : « Inclusion financière et autonomisation de la femme et de la jeune fille en milieu rural ». Ce, à la faveur de la journée internationale de la femme célébrée ce jour.

Situant l’intérêt de cette journée de sensibilisation à l’inclusion financière, le Directeur Général adjoint a indiqué que ce thème a un lien avec celui du Trésor Public pour cette année qui est « l’optimisation des ressources intérieures ».

En effet, à travers cette cérémonie, le Trésor Public, souligne le DGA, entend ainsi favoriser l’épanouissement économique et social de la femme en milieu rural et lui permettre de tenir efficacement sa place dans le développement en Côte d’Ivoire.

« L’institution s’engage aussi à contribuer à lever toutes les barrières qui entravent l’autonomisation économique et financière des femmes », poursuit M. FOFANA. Il indique que cela passe par un accès plus facile des femmes aux produits et services financiers adaptés à leurs besoins et qu’en la matière, le Trésor Public répond présent, en tant qu’acteur essentiel de l’inclusion financière en Côte d’Ivoire. Le DGA a fait savoir à l’assistance que le Trésor Public a, en son sein, une Agence Comptable Centrale des Dépôts (ACCD) appelée aussi Banque des Dépôts du Trésor, avec un réseau d’agences sur l’ensemble du territoire national.

Ce dispositif, a-t-il ajouté, permet un accès facile des populations, notamment les moins nanties, à des produits et services financiers variés. Au nombre desquels, les Bons et Obligations du Trésor inscrits en compte courant à la Banque des Dépôts du Trésor. Le DGA a tenu aussi à rassurer l’assistance de l’engagement de l’Etat à travers le Trésor Public à poursuivre l’assainissement du secteur de la microfinance afin que celui-ci profite au mieux aux populations.

A sa suite, l’Agent Comptable Centrale des Dépôts, Mme KOFFI Akissi Antonie Epouse NOËL, la Directrice de la réglementation et de la surveillance des systèmes financières décentralisés, Mme DOLLO née KOKOURA Hélène et le Directeur du Financement et du Suivi des Politiques Sectorielles M. DOH André, ont successivement sensibilisé les femmes ainsi que les hommes à adhérer aux produits du Trésor Public afin de sécuriser leurs revenus et mieux assurer leur épanouissement.

Pour les y encourager davantage, le Trésor Public a financé l’ouverture de plusieurs comptes à la Banque des Dépôts du Trésor, au profit des coopératives de femmes présentes. Une action fort appréciée par les bénéficiaires, les chefs traditionnelles, les autorités administratives et politiques de Dabou qui ont effectué nombreux le déplacement pour encourager le Trésor Public dans ses actions de développement en faveur des populations ivoiriennes.

Inclusion financière et autonomisation en milieu rural: le Trésor public à la rencontre des femmes du monde rural

vendredi, 09 mars 2018 15:38 Written by

Pour aider les femmes à s’inscrire davantage dans l’inclusion financière, la Direction générale du Trésor public et de la comptabilité publique( Dgtcp) vient de financer l’ouverture de plusieurs comptes à la Banque des Dépôts du Trésor, au profit des coopératives de femmes présentes. Une action fort appréciée par les bénéficiaires, les chefs traditionnelles, les autorités administratives et politiques de Dabou qui ont effectué nombreux le déplacement pour encourager le Trésor Public dans ses actions de développement en faveur des populations ivoiriennes. C’était le jeudi 8 mars 2018 ; la Journée internationale de la Femme, en présence d’une délégation de la Direction Générale du Trésor et de la Comptabilité Publique conduite par le Directeur Général Adjoint (Dga), Fofana Lassina, qui était plus précisément dans le village de Debrimou pour communier avec les femmes de cette localité autour du thème : « Inclusion financière et autonomisation de la femme et de la jeune fille en milieu rural ». Ce, à la faveur de la journée internationale de la femme célébrée ce jour. Situant l’intérêt de cette journée de sensibilisation à l’inclusion financière, le Directeur Général adjoint a indiqué que ce thème a un lien avec celui du Trésor Public pour cette année qui est « l’optimisation des ressources intérieures ». En effet, à travers cette cérémonie, le Trésor Public, souligne le Dga, entend ainsi favoriser l’épanouissement économique et social de la femme en milieu rural et lui permettre de tenir efficacement sa place dans le développement en Côte d’Ivoire. « L’institution s’engage aussi à contribuer à lever toutes les barrières qui entravent l’autonomisation économique et financière des femmes », poursuit M. Fofana. Il indique que cela passe par un accès plus facile des femmes aux produits et services financiers adaptés à leurs besoins et qu’en la matière, le Trésor Public répond présent, en tant qu’acteur essentiel de l’inclusion financière en Côte d’Ivoire. Le Dga a fait savoir à l’assistance que le Trésor Public a, en son sein, une Agence Comptable Centrale des Dépôts (Accd) appelée aussi Banque des Dépôts du Trésor, avec un réseau d’agences sur l’ensemble du territoire national. Ce dispositif, a-t-il ajouté, permet un accès facile des populations, notamment les moins nanties, à des produits et services financiers variés. Au nombre desquels, les Bons et Obligations du Trésor inscrits en compte courant à la Banque des Dépôts du Trésor. Le Dga a tenu aussi à rassurer l’assistance de l’engagement de l’Etat à travers le Trésor Public à poursuivre l’assainissement du secteur de la microfinance afin que celui-ci profite au mieux aux populations. A sa suite, l’Agent Comptable Centrale des Dépôts, Mme Koffi Akissi Antonie Epouse Noel , la Directrice de la réglementation et de la surveillance des systèmes financières décentralisés, Mme Dollo née Kokoura Hélène et le Directeur du Financement et du Suivi des Politiques Sectorielles M. Doh André, ont successivement sensibilisé les femmes ainsi que les hommes à adhérer aux produits du Trésor Public afin de sécuriser leurs revenus et mieux assurer leur épanouissement.

Charles Kader

Communiqué de presse – Kinshasa, 7 mars 2018

jeudi, 08 mars 2018 08:25 Written by

Ce mercredi 7 mars 2018, le Président de la République Démocratique du Congo, Son Excellence Joseph KABILA KABANGE, a reçue en audience, des Représentants de l’industrie minière, à leur demande.

Le but de la réunion était de clarifier certains aspects du nouveau Code minier récemment adopté par les deux Chambres du Parlement, qui devra être promulgué incessamment.

Les Représentants du secteur minier ont soulevé quelques inquiétudes susceptibles d’affecter leurs opérations sur le terrain. Le Président de la République a assuré les opérateurs miniers qu’ils sont des partenaires économiques de la République Démocratique du Congo et que leurs préoccupations seront prises en compte à travers un dialogue constructif avec le Gouvernement après la promulgation de la nouvelle loi minière en vue de trouver un terrain d’entente sur les problèmes spécifiques soulevés à la suite de l’abrogation de l’ancienne loi.

Commentant cette déclaration, le Président Directeur General de Randgold Resources, Mark Bristow, a déclaré que la société entamerait des discussions avec les représentants du Gouvernement la semaine prochaine.


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Rencontre des Ces de l’espace francophone: Charles Koffi Diby situe les enjeux de la rencontre d’Abidjan

jeudi, 08 mars 2018 08:08 Written by

La Côte d’Ivoire accueille du 7 au 9 mars 2018, la première réunion du Bureau de l’Union des Conseils Economiques et Sociaux et Institutions Similaires Francophones (Ucesif). A cette occasion, et accueillant ses homologues, le président du Conseil Economique, Social, Environnemental et Culturel de Côte d’Ivoire a situé les enjeux de ces travaux d’Abidjan après l’Assemblée Générale du 8 décembre 2017 à Bucarest (Roumanie). « Au cours de la présente réunion de Bureau, nous examinerons ensemble plusieurs points inscrits à l’ordre du jour. Je reste persuadé que notre organisation attend beaucoup de cette rencontre, et je ne doute nullement que nous soyons à la hauteur de cette légitime attente. Nous aurons aussi le privilège d’écouter la Présentation, par Mme Marie Béatrice LEVAUX, de l’Avis du Conseil Economique, Social et Environnemental de la France sur « Le rôle de la France dans une francophonie dynamique » a indiqué Charles Koffi Diby à l’ouverture hier 07 mars 2018 des travaux d’Abidjan. Le président Charles Diby Koffi a soutenu qu’il « est important, pour nous, que notre Organisation devienne un outil essentiel pour le développement de l’espace francophone. » «L’avenir de l’Ucesif que nous envisageons est, il me semble, lié à la promotion de cette particularité francophone » a-t-il insisté, avant d’ajouter l’adhésion du « Conseil économique et social de la République centrafricaine. » « Cette nouvelle adhésion, acceptée à l’unanimité, montre la vitalité de notre Organisation » est-il convaincu. Vingt-cinq pays sont attendus ce jeudi 8 mars à la salle des plénières du Conseil économique, social, environnemental et culturel ivoirien dans le cadre de cette Rencontre d’Abidjan qui une fois de plus, marque le leadership gagnant des dirigeants ivoiriens. Au bon bilan de Charles Koffi Diby qui a su redonner vie à cette institution qualifiée de budgétivore et sans réelle importance, la venue en Côte d’Ivoire du président du Conseil économique et social du Liban, Charles Arbid, début février 2018 et des missions à l’extérieur pour le repositionnement diplomatique de la Côte d’Ivoire dans les pas du Président Alassane Ouattara.

Bamba Mafoumgbé, Cette adresse courriel est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Compétitivité des marchés des assurances dans la zone Cima: le ministre Koné Adama invite à une accélération des règlements des sinistres

jeudi, 08 mars 2018 06:32 Written by

 

Abidjan abrite depuis le mercredi 07 mars 2018, « les états généraux des assurances » Ce à l’initiative de la Conférence interafricaine des marchés d’assurances (Cima) et la Fédération des Sociétés d’Assurances de Droit National Africaines (Fanaf. A l’ouverture des travaux, le ministre ivoirien de l’Économie et des Finances, Adama Koné qui a présidé l’ouverture des travaux s’est félicité du choix de la Côte d’Ivoire, car selon lui, cela dénote de la confiance renouvelée que la Fanaf et la Cima témoignent au pays. Il note que cette rencontre est d’intérêt vu qu’elle permettra aux acteurs de l’industrie des assurances de marquer un arrêt pour voir le chemin parcouru et entrevoir le futur avec de nouveaux engagements pour un secteur plus dynamique. Le ministre Koné s’est dit satisfait des performances enregistrées. « Je note avec satisfaction que les activités de l’assurance de notre zone connaissent une progression remarquable », souligne-il. En effet, ces performances se sont traduites par l’amélioration de certains indicateurs notamment ceux relatifs à l’activité qui a connu au cours des 10 dernières années, une croissance annuelle moyenne de 9% avec un chiffre d’affaires de 1145 milliards de Fcfa en 2017 contre 1100 milliards de Fcfa en 2016. L’investissement dans le secteur des assurances s’est traduit par une hausse substantielle du nombre d’entreprises d’assurance passé de 143 en 2007 à 187 en 2017. Les placements réalisés par les assureurs dans les économies de la zone se chiffrent à environ 2000 milliards de Fcfa en 2016. « Afin d’accroitre et pérenniser ces importants acquis, il importe que les conclusions ses présentes assises soient de nature à régler efficacement les problèmes cruciaux auxquels nos marchés sont confrontés », a souligné le ministre. Il indique que les professionnels du secteur des assurances doivent mettre l’accent sur des problèmes cruciaux tels que : l’insuffisance des capacités financières de la zone ; la lenteur dans le règlement des sinistres et prestations ; la faiblesse du taux de pénétration de l’assurance, etc. Aussi le ministre ajoute-t-il qu’il est indispensable pour les sociétés s’assurances d’ajuster continuellement la solidité des fonds propres de manière à répondre efficacement aux exigences de solvabilité mais aussi d’assurer une meilleure prise en charge des risques les plus importants. Adama Koné milite également en faveur de l’accélération des règlements des sinistres, surtout en direction des secteurs d’activités non suffisamment exploités. En outre, il a invité les acteurs au renforcement des contrôles afin d’anticiper les risques d’insolvabilité et leur conséquence, notamment les mises sous administration provisoire et les retraits d’agrément préjudiciables aux assurés et au secteur. Il les appelle également à faire preuve d’innovation au niveau des produits offerts au public et surtout au respect des engagements contractuels afin de rassurer davantage les consommateurs et améliorer le taux de pénétration. Juste avant lui, le président de la Fédération des Sociétés d’Assurances de Droit National Africaines (Fanaf), Adama Ndiaye et le secrétaire général de la Conférence interafricaine des marchés d’assurances (Cima), Issofa Ncharé ont salué l’engagement des autorités ivoiriennes pour la promotion et le développement du secteur des assurances en Afrique.

Charles Kader

La Petroci offre 5,3 millions de Fcfa d’équipements à une Ong

mardi, 06 mars 2018 12:30 Written by

La Société nationale d’opérations pétrolières en Côte d’Ivoire,( Pétroci) a remis le lundi 05 mars 2018 à l’Ong La Bienfaisance spécialisée dans la santé dans le département de Korhogo, un lot d’équipements sanitaires pour un montant global de plus de 5,3 milliards de Fcfa. Coulibaly Dramane, le président de ladite Ong a reçu le don composé entre autres de boites d’accouchement, boites de soutures, de marches pieds , d’aspirateurs et de chariots des mains du Docteur Diaby Ibrahima, le Dg de la Pétroci, Qui a l’occasion a indiqué que la structure qu’il dirige espère qu’autres entreprises de la place suivront l’exemple de la Pétroci qui se veut une entreprise citoyenne. « Je voudrais féliciter et encourager l’Ong la Bienfaisance pour l’initiative louable que nous soutenons et qui consiste à construire une maternité et un dispensaire pour les populations vulnérables de Korhogo en général et celles de des quartiers de Cocody et Klofowakaha en particulier. » a dit le Docteur Diaby Ibrahima. Réceptionnant les équipements Coulibaly Dramane ,le président de l’Ong La bienfaisance a dit merci à l’entreprise donatrice( Pétroci) qui œuvre depuis quelques années dans le secteur de la santé et de l’éducation en faveur des populations défavorisées, à travers la construction et équipements d’écoles d’hôpitaux et d’orphelinats.

Charles Kader

Commission de la Cedeao/L’ivoirien Jean-Claude Brou s’installe: les défis qui attendent le nouveau président

samedi, 03 mars 2018 07:42 Written by

Après près de deux ans passés à la tête de la Commission de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (Cedeao), Marcel de Souza a cédé son fauteuil, à son successeur Jean-Claude Brou. C’était le 1er mars 2018. La cérémonie de passation de service s’est déroulée en présence du ministre de l`Intégration africaine et des Ivoiriens de l`extérieur, Ally Coulibaly, du ministre délégué des Affaires étrangères du Nigéria, Mme Khadija Bukar Ibrahim, de membres du corps diplomatique accrédités près le Nigéria et la Cedeao, des membres du personnel et des chefs des institutions communautaires. Dans son discours d’au revoir, M. de Souza a égrené le chapelet des avancées notables réalisées par la Commission sortante. Il a notamment énuméré la poursuite de la réforme institutionnelle de la Cedeao ; le renouvellement des engagements des Etats membres pour la création de la monnaie unique de la Cedeao à l’horizon 2020 ; ainsi que la poursuite des projets de construction d’un nouveau siège pour la Commission. Il a aussi fait état de la création d’une télévision régionale ; de l’observation satisfaisante de l’élection présidentielle en 2016 et 2017 dans six Etats membres de la Cedeao ; du lancement en 2017, du Système d’information policière de l’Afrique de l’Ouest (Sipao) ; de même que la transformation du système d’alerte précoce en un instrument de sécurité humaine et de suivi des catastrophes naturelles. Le président sortant a également mentionné le renforcement de l’harmonisation des politiques macroéconomiques et d’intégration monétaire ; la signature de l’Accord d’association avec la Mauritanie ; le remboursement des dettes et l’amélioration de la solvabilité, de la crédibilité et de l’image de la Commission ; l’adoption et le lancement du Code d’éthique et de déontologie de la Cedeao ; sans oublier la rationalisation des charges. M. Souza a toutefois rappelé les défis majeurs qui restent à relever, notamment le retard dans le versement des prélèvements communautaires par les Etats membres ; le non-respect des décisions de la Cour de Justice de Cedeao ; l’absence de solution à la crise politique en Guinée Bissau ; le renforcement de l’intégration régionale ; la consolidation des acquis au niveau de la gestion du personnel et de la maîtrise des charges ; la mise en service des postes de contrôle juxtaposés de Noépé, entre le Ghana et le Togo, et de Sèmé, entre le Bénin et le Nigeria. Intervenant à son tour, le nouveau président de la Commission de la Cedeao, Jean-Claude Kassi Brou, a félicité et remercié son prédécesseur pour la dextérité remarquable avec laquelle il a conduit l’organisation régionale. «Vos actions ont permis de porter encore plus haut et plus loin le flambeau de la Cedeao. Votre ardeur au travail n’est un secret pour personne et surtout pas pour moi. Je voudrais associer à ces salutations, tous les Commissaires et les autres fonctionnaires statuaires sortants. Vous pouvez partir la tête haute pour le travail bien accompli qui restera gravé dans la mémoire de toute la communauté », a dit M. Brou. Il s’est félicité des progrès réalisés par la Cedeao aux plans politique, institutionnel, sécuritaire, économique et social ; et s’est engagé à les renforcer davantage. Pour Jean-Claude Brou, les défis à relever portent entre autres sur les attentes des Etats membres dans les domaines économique, social et humain ; la cohérence des actions pour plus d’efficacité dans leur mise en œuvre ; l’assainissement de l’environnement des affaires pour soutenir et financer les infrastructures, l’industrialisation, l’agriculture et l’économie. La rigueur dans la gestion opérationnelle et financière des ressources de la Cedeao ; l’amélioration du mécanisme du prélèvement communautaire dans sa mise en œuvre pour assurer la stabilité financière des institutions communautaires ; la performance du personnel de la Cedeao constituent aussi d’autres défis à relever, a-t-il indiqué. Il a saisi l’occasion pour remercier les chefs d’Etat de la Cedeao qui ont approuvé sa nomination à ce poste pour les quatre années à venir, notamment le chef de l’Etat togolais et président en exercice de l’organisation régionale, Faure Gnassingbé, le président nigérian, Muhammadu Buhari, et le chef de l’Etat ivoirien, Alassane Ouattara, de même que le président du Conseil des ministres de la Cedeao, le ministre togolais des Affaires étrangères, de la Coopération et de l’Intégration africaine, Prof Robert Dussey. Le président Jean Claude Brou prend fonction quelques jours après la ténue de la « task force » présidentielle de la Communauté des Etats d'Afrique de l'Ouest (Cedeao) ténue le 21 février 2018 à Accra. Cette rencontre a dégagé un consensus sur une nouvelle feuille de route en vue de la création de l'Eco, la monnaie unique de la zone économique pour 2020. Il est aussi très attendu sur ce chantier majeur de la Cedeao

Charles Kader

 

Qui est Jean Claude Brou?

De nationalité ivoirienne, le nouveau président de la Commission de la Cedeao est titulaire d’un Doctorat en Sciences économiques, d’une Maitrise (Mba) en Finance de l’Université de Cincinnati, dans l’Etat d’Ohio, aux Etats-Unis d’Amérique, et d’une autre Maitrise obtenue à l’Université nationale de Côte d’Ivoire. Il a démarré sa carrière professionnelle au Fonds Monétaire International (Fmi) en 1982, d’abord en tant qu’économiste principal et a servi principalement au Sénégal, de 1990 à 1991, en tant que Représentant résident du Fmi. Jusqu’à sa nomination en qualité de président de la Commission, Jean-Claude Brou était ministre de l’Industrie et des Mines en Côte d’Ivoire depuis novembre 2012. Auparavant, il avait occupé le poste de Conseiller économique et financier du Premier ministre ivoirien de 1991 à 1995. En 1996, il sera nommé directeur de Cabinet du Premier ministre, poste qu’il conservera jusqu’en 1999. Il fut aussi le président du Comité des privatisations. Jean Claude Brou a également travaillé pendant huit ans à la Banque centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest (Bceao), où il a occupé successivement les postes de directeur des Relations internationales et de directeur des Etudes, jusqu’en 2005. Il a ensuite dirigé le département des Etudes économiques et de la Monnaie, avant d’être nommé Conseiller spécial et Contrôleur général de 2007 à 2008. Il a également été le Représentant résident de la Banque mondiale pour le Tchad de 2010 à 2013, et Consultant auprès du gouvernement de la République Démocratique du Congo. Jean-Claude Brou est marié et père de deux enfants.

C. K

 

 

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