Prix garanti bord champ (campagne 2023-2024): Cacao 1000 Fcfa/Kg;  Café  900 Fcfa/Kg

mercredi 3 juillet 2024
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La compagnie Hershey, entreprise agro-alimentaire américaine, a offert 2.851 kits alimentaires « Grow Nut » à la Fondation Children Of Africa, le jeudi 29 septembre 2022.
La cérémonie qui s’est déroulée au siège de la Fondation a enregistré la participation de Madame Tricia Brannigan, vice-Présidente et chargée principale de l’approvisionnement de la Compagnie Hershey, Monsieur Tim McCoy, Directeur des partenariats de la Compagnie Hershey, Madame Yao Patricia Sylvie, Directrice de Cabinet de la Première Dame et de bien d’autres personnalités.
L’honneur est revenu à Madame Yao Patricia Sylvie de représenter l’épouse du Chef de l’Etat à cette cérémonie de remise de dons. Ce don est constitué de 2.851 kits alimentaires Grow Nut d’une valeur de plus de 69 millions de FCFA. Ces kits alimentaires sont destinés aux enfants en situation difficile, et surtout, des zones rurales en cette période de rentrée scolaire. Après avoir remercié Madame Tricia Brannigan, Madame Yao Patricia Sylvie, Directrice de cabinet de la Première Dame a tenu à saluer l’opportunité de ces dons pour les enfants en situation difficile. « Ce don (…) vient à point nommé, car en cette période de rentrée scolaire, il permettra de mettre à la disposition des cantines scolaires, en particulier celles en milieux rural, un stock de produit nutritionnel prêt à la consommation pour les enfants. Cette action de l’entreprise Hershey contribuera à n’en point douter, à lutter contre la faim en milieu scolaire et à améliorer le taux de scolarisation des enfants dans des milieux défavorisés. En effet, comme vous le savez, la faim en milieu scolaire est une cause de mauvais rendement, voire d’abandon scolaire », a souligné Madame Yao Patricia Sylvie. En outre, Madame Yao Patricia Sylvie a présenté les différents secteurs activités de la Fondation Children Of Africa à savoir le secteur de la santé, de l’éducation, le social, la lutte contre le travail des enfants, mais aussi, la question de l’autonomisation des femmes à travers le Fonds d’Appui aux Femmes de Côte d’Ivoire (FAFCI).
Madame Tricia Brannigan, vice-Présidente et chargée principale de l’approvisionnement de la Compagnie Hershey, a levé un coin de voile sur l’engagement social de son entreprise. En effet, selon Madame Tricia Brannigan, la compagnie Hershey soutien également l’éducation et la jeunesse. A ce titre, elle a rappelé que Monsieur Milton S. Hershey, fondateur de la compagnie, a également créé une école depuis 1909 pour les orphelins. A ce jour, ce sont 2.600 enfants qui bénéficient d’une scolarisation du primaire au lycée. Madame Tricia Brannigan s’est également félicitée de ce don de kits alimentaires en faveur des enfants démunies.
Notons que la compagnie Hershey est une entreprise agro-alimentaire américaine spécialisée dans la fabrication de confiseries. Outre ses propres recettes, elle fabrique pour le compte de Nestlé certaines marques destinées au marché nord-américain, telles que Kit Kat, Rolo ou Smarties. L'entreprise possède une filiale qui produit les réglisses Twizzlers, la Y&S Candies Inc., qu'elle a achetée en 1977. Elle a été fondée en 1894 par Milton S. Hershey.
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Légende photo : Les responsables de la compagnie Hershey lors de la cérémonie de remise du Cabinet de la Première Dame( Photo : Sercom)

 

 « C’est avec honneur et grand plaisir que nous vous accueillons aujourd’hui, à la Maison de l’Entreprise, à l’occasion de la cérémonie d’ouverture de la troisième édition du Forum de l’Efficacité Energétique et des Energies Renouvelables en Afrique.Au nom de la Confédération Générale des Entreprises de Côte d’Ivoire, la CGECI, je vous souhaite, à toutes et à tous, une cordiale bienvenue et vous remercie d’avoir répondu aussi nombreux à notre invitation.Je tiens à remercier, particulièrement, Monsieur le Ministre des Mines, du Pétrole et de l’Energie qui a accepté de présider cette édition, marquant ainsi son soutien à cette initiative qui permet aux différents acteurs du monde de l’énergie de se retrouver et de débattre des enjeux de la transition énergétique en Afrique en général, et en Côte d’Ivoire en particulier.Mesdames et Messieurs,Ce troisième Forum de l’Efficacité Energétique et des Energies Renouvelables s’ouvre à un moment crucial, dans un contexte énergétique mondial perturbé et dégradé par la guerre en Ukraine. Alors que les Etats, notamment de l’Europe, et les entreprises s’étaient engagés dans une transition énergétique impliquant le remplacement progressif des énergies fossiles par un mix énergétique privilégiant les énergies renouvelables, l’heure est désormais pour les pays européens, à la sécurisation de l’approvisionnement en énergie fossile. La guerre en Europe de l’Est a également une forte influence sur les prix de l’énergie qui se sont envolés, alimentant une inflation qui se diffuse dans plusieurs secteurs d’activités.En raison du réchauffement climatique qui est dorénavant une réalité, particulièrement sur le continent africain où ses effets sont de plus en plus dramatiques, la transition énergétique est pourtant une nécessité. Comment la financer ?C’est tout le sens du thème de ce forum qui nous réunit ce jour : «Transition énergétique : Quelles opportunités de financement en Afrique ? ». Cet évènement majeur est organisé par la CGECI en collaboration avec l’Agence Marocaine de Communication AOB, l’Agence Marocaine de l’Efficacité Energétique (AMEE) et les Ministères ivoiriens en charge de l’Energie et de l’Environnement. Pendant deux jours, il s’agira d’explorer les opportunités de financement de l’Efficacité Energétique (EE) et des Energies Renouvelables (EnR) disponibles pour les entreprises en Afrique, dans un contexte énergétique mondial particulièrement tendu. Les différentes sessions et tables rondes prévues permettront, en outre, de faire connaître les opportunités de financement de l’Efficacité Energétique et des Energies Renouvelables, les partenaires financiers qui accompagnent les projets et les secteurs d’activité concernés que sont : l’Industrie, le bâtiment, le transport, l’hôtellerie, l’éclairage, entre autres. Par ailleurs, les retours d’expérience des pays et des entreprises qui ont bénéficié des financements de l’Efficacité Energétique et des Energies Renouvelables  constitueront un autre temps fort de cette édition, et mettront en exergue les solutions technologiques innovantes ainsi que les modèles économiques disponibles pour l’Efficacité Energétique et des Energies Renouvelables dans différents secteurs d’activité.Chefs d’Entreprises et d’Organisations,Je vous invite à prendre une part active à ces différentes sessions, afin de tirer le plus grand parti de nombreuses opportunités qu’offre la transition énergétique en Afrique.En effet, Continent le moins connecté à l’énergie, avec plus de 600 millions de personnes sans énergie, soit 43% de la population à fin 2021, l’Afrique a urgemment besoin de réaliser l’accès universel à l’électricité notamment, alors que la tendance à l’accroissement de la demande énergétique va se poursuivre, sous l’effet combiné de la croissance démographique et de l’industrialisation en cours.Pour atteindre les objectifs énergétiques et climatiques de l’Afrique, il faudrait selon l’Agence Internationale de l’Energie (AIE), plus que doubler les investissements dans le secteur de l’énergie au cours de cette décennie ; ce qui les porterait à plus de 190 milliards de dollars par an de 2026 à 2030, les deux tiers étant consacrés aux énergies propres. La part des investissements énergétiques dans le PIB de l’Afrique passerait à 6 % en 2026-30 dans ce Scénario, soit un peu plus que la moyenne des économies émergentes et en développement.Mesdames et Messieurs, Le présent Forum nous offre également l’opportunité de lancer un appel au respect des engagements financiers déjà pris, et à la mobilisation de nouveaux moyens, tels les financements verts innovants, qui permettront notamment aux entreprises de créer de nouveaux produits et solutions innovantes et durables plus soucieux de l’environnement. Et aussi, de soutenir et accompagner les entrepreneurs locaux afin qu’ils explorent les opportunités de financement de l’Efficacité Energétique (EE) et des Energies Renouvelables (EnR) disponibles pour les entreprises en AfriqueC’est un objectif largement à notre portée. C’est pourquoi j’exhorte nos différents partenaires, les banques multilatérales telles que les banques commerciales, et autres institutions de financement telles que le Fonds vert à investir davantage dans la transition énergétique en Afrique, et à en faire une priorité stratégique.Très bon Forum à toutes et à tous !Merci de votre aimable attention » NB :  Ce discours a été lu par M. Stéphane Aka -Anghui, Directeur exécutif de la Cgeci

L’auditorium du siège de la Confédération générale   des entreprises en Côte d’Ivoire (Cgeci), à Abidjan-Plateau, abrite depuis  le  mercredi 28 Septembre 2022, le troisième forum sur l’efficacité énergétique et des énergies renouvelables. A l’ouverture des travaux, Jean Marie Acquah, président de la Cgeci a salué la forte présence des acteurs du secteur privé ivoirien et des partenaires extérieurs notamment les représentants de Climat capital Partner.

Il a surtout salué   la présence et le soutien du ministre Sangafowa Mamadou, à cette initiative qui permet aux différents acteurs du monde de l’énergie de se retrouver et de débattre des enjeux de la transition énergétique en Afrique en général, et en Côte d’Ivoire en particulier.

« Ce   troisième   forum   de   l’efficacité   énergétique    et   des   Energies renouvelables   s’ouvre   à   un   moment   crucial, dans   un   contexte énergétique   mondial   perturbé   et   dégradé   par   la   guerre   en   Ukraine. Alors que les Etats, notamment de l’Europe, et les entreprises s’étaient engagés dans   une   transition   énergétique   impliquant   le   remplacement progressif des énergies fossiles par un mix énergétique privilégiant les énergies renouvelables, l’heure est désormais pour les pays européens, à la sécurisation de l’approvisionnement en énergie fossile. », a dit le président de la Cgeci. Non sans ajouter que la guerre en Europe de l’Est a également une forte influence sur les prix de l’énergie qui se sont envolés, alimentant une inflation qui se diffuse dans plusieurs secteurs d’activités.

En raison du réchauffement climatique qui est dorénavant une réalité, particulièrement sur le continent africain où ses effets sont de plus en plus dramatiques, la transition énergétique est pourtant une nécessité. Comment la financer ? C’est   tout   le   sens      dudit    forum   qui va durer deux jours   autour du thème :« Transition énergétique : Quelles opportunités de financement en Afrique ? ». Cet évènement majeur est organisé par la Cgeci en collaboration   avec l’Agence   Marocaine   de   Communication   Aob, l’Agence   marocaine  de   l’efficacité   énergétique (Amee) et   les Ministères ivoiriens en charge de l’Energie et de l’Environnement.

Les   acteurs du secteur privé ivoiriens   doivent tirer   le   plus   grand   parti   de   nombreuses   opportunités   qu’offre   la transition énergétique en Afrique. En   effet ce   continent est    le   moins   connecté   à   l’énergie, avec   plus   de   600millions de personnes sans énergie, soit 43% de la population à fin 2021, qui ont urgemment besoin de réaliser l’accès universel à l’électricité notamment, alors   que   la   tendance   à   l’accroissement   de   la   demande énergétique   va   se   poursuivre, sous   l’effet   combiné   de   la   croissance démographique et de l’industrialisation en cours.

Pour atteindre les objectifs énergétiques et climatiques de l’Afrique, il faudrait   selon   l’Agence   Internationale   de   l’Energie (Aie), plus que doubler les investissements dans le   secteur de l’énergie au cours de cette décennie ; ce qui les porterait à plus de 190 milliards de dollars par an de 2026 à 2030, les deux tiers étant consacrés aux énergies propres. La   part   des   investissements   énergétiques   dans   le   Pib   de   l’Afrique passerait à 6 % en 2026-2030 dans ce scénario, soit un peu plus que la moyenne des économies émergentes et en développement. Pour réussir ce challenge de l’efficacité énergétique, les gouvernements y ont un grand rôle à jouer. D’où tout le sens des assurances et de l’invitation du ministre Coulibaly Sangafowa Mamadou, des Mines, du pétrole et de l’énergie aux différents aux partenaires techniques financiers et acteurs du secteur privé ivoirien quand il dit :« Je voudrais à cette occasion, saluer l’ensemble des experts, porteurs de projet, partenaires au développement ici présents et remercier toutes les personnes qui ont contribué à l’avènement et à l’organisation de cet important forum. La Côte d’Ivoire ambitionne d’être le hub énergétique de la sous-région afin de fournir à nos populations, une énergie abondante, fiable et à coût compétitif, tout en respectant ses engagements au plan national et régional » Non sans ajouter que les défis de la Côte d’Ivoire en matière de développement sont énormes, les besoins en électricité immenses, mais les ressources ne sont pas illimitées. D’où la nécessité d’explorer et d’exploiter les potentiels existants en matière d’efficacité énergétique et d’énergies renouvelables.

Suite à l’accord de Paris, les engagements pris par la Côte d’Ivoire concernant les Contributions Prévues Déterminées au niveau National (Cpdn) visent à réduire les émissions de gaz à effet de Serre de 30,41%, et à atteindre un mix énergétique de 45% d’énergies renouvelables à l’horizon2030. Au niveau de la Côte d’Ivoire, en matière de maitrise de l’énergie, d’importants investissements ont été réalisés sur les infrastructures de transport et de distribution, faisant passer le rendement du système électrique national de 71,25% en 2011 à 83,67 % en 2021.

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Légende photo : Le président Jean Marie Acquah de la Cgeci et le ministre Coulibaly Sangafowa Mamadou, des Mines, du pétrole et de l’énergie à l’ouverture de l’exposition du forum

Le Fonds pour le développement des exportations en Afrique ("Feda"), la branche d'investissement à impact de la Banque Africaine d'Import-Export ("Afreximbank") créée pour soutenir la croissance du commerce intra-africain, le développement des exportations à valeur ajoutée et l'industrialisation, a le plaisir d'annoncer son premier closing de 670 millions de dollars à travers ses quatre fonds spécialisés. A- t-on appris ce mardi 27 Septembre 2022 des services de la Banque africaine d’import- export,( Afreximbank).

Sur les 670 millions de dollars levés, 270 millions de dollars seront destinés au fonds Feda Direct Equity Fund I, qui investira en fonds propres et quasi-fonds propres conformément au mandat de Feda.

250 millions de dollars seront alloués au Fonds d'Initiatives stratégiques, qui est un fonds captif créé par Afreximbank pour réaliser des investissements dans des projets à fort impact dans des secteurs essentiels à la croissance du commerce intra-africain et au développement des exportations à valeur ajoutée sur le continent africain.

Le fonds de dettes (Africa Credit Opportunities Fund, L.P. - «ACOF»), qui a été conjointement créé par FEDA et Gateway Partners Group, recevra 125 millions de dollars. ACOF offrira une gamme diversifiée d'instrument de crédit qui permettront à travers ses investissements de faciliter le commerce et de soutenir la croissance en Afrique.

Le quatrième fonds de Feda sera un fonds de capital-risque, 25 millions de dollars seront alloués à ce fonds pour des investissements en fonds propres, en quasi-fonds propres ou en dette dans des entreprises en phase de démarrage à fort impact à travers l'Afrique.

Feda Investment Manager entend lever au total 1,3 milliard de dollars à travers ses quatre fonds d'ici 2024, avec le soutien d'investisseurs partageant les mêmes idées et valeurs.

Professeur Benedict Oramah, Président d'Afreximbank, a déclaré : "Nous sommes très heureux de ce premier closing qui constitue une première étape dans le financement du déficit en fonds propres dans le secteur du commerce en Afrique. Les différents fonds générés par FEDA faciliteront et augmenteront également les investissements directs étrangers dans les secteurs du commerce et de l'exportation en attirant des institutions de premier plan ayant un intérêt marqué pour le développement de l'Afrique."

Feda a également été sélectionné comme gestionnaire du Fonds d'ajustement de la zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf / AfCFTA). Ce fonds, qui devrait être opérationnel d'ici le premier trimestre 2023, est une collaboration entre le Secrétariat de l'AfCFTA et Afreximbank. Le fonds de l'AfCFTA fournira des capitaux aux secteurs public et privé pour faciliter la mise en œuvre de l'accord de libre-échange continental africain.

Depuis 2021, FEDA a réalisé quatre transactions dans divers secteurs notamment dans un acteur majeur de l'industrie des réseaux de fibre optique en Afrique; dans un projet d'infrastructure devant faciliter l'approvisionnement en gaz en Afrique de l'Ouest ; dans un fournisseur de services logistiques panafricain avec une forte composante technologique permettant de faciliter le mouvement efficient des marchandises à travers l'Afrique de l'Est et de l'Ouest ; et dans l'un des principaux acteurs de l'industrie des biens de consommation en Mauritanie.

Basé à Kigali (Rwanda), le Fonds pour le Développement des Exportations en Afrique ("Feda") est un fonds à impact, filiale de la Banque Africaine d'Import-Export ("Afreximbank"), créé pour financer le déficit de plusieurs milliards de dollars (en particulier en fonds propres) nécessaire à la transformation du secteur du commerce en Afrique, à travers des investissements en fonds propres, en quasi-fonds propres ou en dettes.
Feda poursuit une stratégie d'investissement multisectorielle, couvrant la chaîne de valeur du commerce intra-africain, du développement des exportations à valeur ajoutée et de l'industrie manufacturière. Ces secteurs comprennent les services financiers, la technologie, les biens de consommation, l'industrie manufacturière, le transport et la logistique, l'agroalimentaire, ainsi que les infrastructures auxiliaires favorisant le commerce, telles que les parcs industriels.
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Légende photo : Le Feda, un véritable instrument pour le developpement devrait aider les exportations en Afrique


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Bolloré Transport & Logistics Côte d’Ivoire a acquis récemment, un simulateur de conduite pour son centre de formation portuaire panafricain (Cfpp), dans l’optique d’améliorer la formation aux métiers portuaires. Ce simulateur multi-métiers, doté des dernières innovations, est le premier du genre acquis par le Cfpp.

Il offre la possibilité de former sur différents types d’engins, tels que, les portiques de quai, les portiques de parc, les chariots élévateurs, les grues mobiles, les poids lourds, etc.Il favorise ainsi un apprentissage en toute sécurité, sans contraintes de cadence, avec une prise en main rapide des commandes, sans risques de dommages sur les engins de manutention.

Ce nouvel outil permet également une formation plus complète dans différentes situations de travail, (pluie, vent, brouillard …), entrainant ainsi, une réduction de l’immobilisation du matériel de formation d’environ 30%. Pour les formateurs, le simulateur accélère le rythme des formations, renforce leur capacité d’adaptation et projette directement les apprenants dans l’univers opérationnel qui sera le leur, une fois sur le terrain, après leur formation.

« Les engins de manutention actuels, sont très impressionnants pour certains apprenants. L’avantage de l’apprentissage par simulation, est qu’il renforce la confiance et la sérénité des apprenants, avant qu’ils ne découvrent la réalité de l’engin sur le terrain. Cet outil apporte une réelle valeur ajoutée à la formation aux métiers portuaires », a déclaré Maryam AÏDARA, Directrice du centre de formation portuaire panafricain.

Premier employeur du secteur de la logistique en Côte d’Ivoire, Bolloré Transport & Logistics contribue à la formations acteurs de la logistique et de la manutention portuaire, à travers une approche pédagogique moderne et digitalisée, afin de faciliter l’insertion professionnelle des jeunes en Côte d’Ivoire.

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Légende photo : Une vue de la salle d’apprentissage sur simulateur de  conduite

Les producteurs de Café-Cacao réunis au sein de la Centrale Syndicale Agricole ont levé leur mot d’ordre de grève au cours d'une déclaration ont annoncé le lundi 26 septembre 2022 par la voix de son Secrétaire général et porte-parole M. Thibeaut Yoro. Cette déclaration fait donc suite à une rencontre avec le Directeur général du Conseil du Café-Cacao, M. Koné Brahima Yves qui a bien voulu prêter une oreille attentive à leurs préoccupations. A - t-on appris   ce mardi 27 Septembre 2022, selon des sources proches du Conseil café-cacao et du syndicat qui avait projeté une grève.

En effet, depuis le 3 août 2022, la Centrale syndicale agricole avait entamé une grève illimitée afin que des solutions soient trouvées à leurs revendications, aux nombres desquelles figure la répartition du fond Covid 19 alloué aux producteurs de Café-Cacao par le Président de la République, Alassane Ouattara.

Cette déclaration fait donc suite à une rencontre avec le Directeur général du Conseil du Café-Cacao, M. Koné Brahima Yves qui a bien voulu prêter une oreille attentive à leurs préoccupations.

« Nous remercions le Directeur général du Conseil du café-cacao pour avoir accepté d’échanger avec la Centrale agricole. Nous avons posé le problème des coopératives en attente du paiement de leur part du fond Covid 19. À cet effet, le Directeur Général nous a expliqué les critères de repartions, ainsi que les contraintes relatives à la distribution de ce fond. Cependant, nous avons plaidé pour qu’un geste soit fait à l’endroit des coopératives ne répondant pas aux critères de répartition mais qui ont néanmoins subi les effets néfastes de la crise due à la Covid 19. Le Directeur Général ayant pris en compte nos revendications, par conséquent, nous invitons l’ensemble des producteurs à suspendre la grève », a révélé le porte-parole de ladite Centrale. Et de préciser : « Les discussions reprendront après les Journées Nationales du cacao et du chocolat (Jncc) qui se tiendront du 30 septembre au 2 octobre 2022, afin que des solutions négociées et apaisées soient trouvées à toutes nos revendications ». Pour finir, le Secrétaire générale et porte-parole a invité les producteurs à venir participer massivement aux Jncc, la fête du Cacao.  

Ayoko Mensah

Contexte
Plusieurs opérateurs abandonnent leurs marchandises au port à cause des coûts de dédouanement dont ils n'ont souvent aucune maîtrise. Les plus chanceux les vendent à vil prix et arrivent à faire face aux frais d'importation. D'où tout l'intérêt de la maîtrise des régimes et procédures douaniers pour permettre aux opérateurs du commerce international de rentabiliser leurs activités durablement.


PROBLEMATIQUE

Comment faire connaître les régimes et procédures douaniers aux chargeurs de sorte à leur faire éviter les nombreuses amendes douanières qui amenuisent le résultat de leurs activités.

PUBLIC CIBLE

Chefs d'entreprise, Cadres d'entreprises, Importateurs, Exportateurs, Transitaires, Commissionnaire de transport, Responsable logistique, toute personne intéressée par les activités d'importation et d'exportation.


OBJECTIFS

A l'issue de ce séminaire, les auditeurs devront être capables de :

Connaître les différents régimes douaniers ;
Comprendre le mécanisme de fonctionnement du SYDAM et du GUCE ;
Comprendre le mécanisme pour éviter les amendes douaniers ;
Maîtrise les procédures douanières ;
Connaître les circuits de dédouanement des marchandises.

COÛTS
236 000 F TTC
Ce tarif couvre la formation (cours et documentation), les pauses cafés et déjeuners.

CONSULTANT :
Colonel LOBOGNON, formateur à la Douane
LIVRABLE :

Des supports de formation, des kits pédagogiques et un Certificat seront remis à chaque participant.
DATES: 28 et 29 SEPTEMBRE 2022
HORAIRES: 08H00 à 14H00
LIEU: IVOTEL Plateau
Contacts : +225 27 21 25 99 33 / 05 04 00 53 61 / 07 08 49 00 63
(Pour d’autres information : voir pub)

 

Plus de 1000 hectares de forêts classées ont été reboisées en deux ans avec l’appui des communautés rurales dans la forêt classée du Cavally dans le cadre du projet du même nom, dans l’ouest de la Côte d’Ivoire. C’était à Abidjan- Plateau, le lundi 26 Septembre 2022, dans l’après -midi, au cours d’une cérémonie officielle de présentation. Face à la déforestation, au changement climatique et à ses conséquences désastreuses sur l’agriculture, le bien-être des hommes et des espèces animales, Nestlé, dans le cadre d’un partenariat avec le ministère des Eaux et forêts de Côte d’Ivoire (Minef), s’est engagé à contribuer à la sauvegarde et au reboisement de la forêt classée de Cavally.

A cet effet, la Société de développement des Forêts (Sodefor) et Earthworm Foundation ont été désignées afin d’identifier et implémenter des solutions inclusives visant à protéger et restaurer cette forêt, développer la résilience des communautés rurales pour avoir un environnement de qualité.

Un an après le lancement du projet Cavally, les différents partenaires ont présenté les premiers résultats de cette initiative. Qui consiste entre autres à impliquer les communautés rurales dans la conservation des forêts. « Nous sommes convaincus que la meilleure façon de protéger la forêt classée de Cavally est d’impliquer résolument les communautés à se l’approprier et montrer que la conservation pourrait être une source de revenus supplémentaires », soutient Laurent Tchagba, ministre ivoirien des Eaux et forêts. L’engagement des communautés est une importante porte d’entrée pour véritablement protéger la forêt. Cela consiste à impliquer les communautés à chaque étape clé du projet. Tout en remerciant les   différents partenaires au projet, le ministre des Eaux et forêts, a   expliqué tout le sens de l’engagement de l’Etat ivoirien dans la restauration du couvert végétal. « La stratégie de mise en œuvre vise   à   porter la couverture forestière à au moins 20% du territoire national d’ici l’horizon 2030, soit un accroissement de 3 millions d’hectares de forêts ; ce qui la ferait passer la passer de 2,97 millions d’hectares en 2020 à environ 6,4 millions d’hectares de forêts en 2030. Le gouvernement a par ailleurs mis en place un nouveau cadre juridique pour permettre la mise en œuvre de cette politique, à travers l’adoption de la loi n° 2019-675 du 23 juillet 2019 portant Code forestier dont la majorité des textes d’application ont déjà été adoptés. L’une des innovations majeures de la politique forestière est la contribution du secteur privé dans la mise en œuvre des actions prévues. Le gouvernement de Côte d’Ivoire est dans cette démarche de convaincre le secteur privé à s’engager résolument dans la préservation des forêts et dans l’amélioration des conditions de vie des populations », ajouté le ministre Tchagba.

Rappelons qu’au cours de l’année 2021, deux groupements de femmes ont mis en place des pépinières d’espèces locales pour fournir les plants nécessaires au reboisement. Aussi, des accords ont été signés avec 09 groupements villageois pour le reboisement des zones de forêts dégradées et avec 06 groupements villageois pour l’entretien des plants de reboisement (200 personnes au total). Avec le soutien des agents de la structure étatique Sodefor et d’Earthworm Foundation, ces groupements ont reboisé 1000 ha de forêts en 2021 et 2022. Pour ces différentes actions (pépinières, reboisement et entretien des plants), les différents groupements villageois ont bénéficié de diverses mesures d’accompagnement dont certaines sont orientées vers la diversification des activités génératrices de revenus. « Ces initiatives cadrent avec notre engagement en faveur d’une cacaoculture durable et des communautés prospères.Nous continuerons à travailler avec le gouvernement de Côte d’Ivoire et nos partenaires pour aider à protéger et restaurer les réserves forestières, et améliorer la qualité de vie des communautés. », a indiqué le Directeur général de Nestlé Côte d’Ivoire, M. Thomas Caso.

En effet, cette entreprise adopte une approche holistique qui aide à lutter contre les nombreux facteurs de déforestation dans les régions clés auprès desquelles l’entreprise s’approvisionne en matières premières. En janvier 2022, un programme innovant était lancé toujours dans cette vision. Il récompense les producteurs pour la quantité et la qualité des fèves de cacao qu’ils produisent et leurs pratiques agricoles qui prennent en considération l’environnement et le climat. Cette démarche incitative toujours motivée par l’amélioration des revenus des producteurs, vient renforcer les actions en vue de la réduction de la pression sur les forêts. Inverser la courbe de la déforestation.

 

De 16 millions d’hectares de forêt dans les années 1900, nous sommes aujourd’hui à un peu moins de 3 millions d’hectares. L’agriculture est l’une des causes de cette déforestation. C’est un défi que la Côte d’Ivoire, dont l’économie repose principalement sur l’agriculture, entend relever pour le développement de son agriculture », a affirmé Gerome Topka, Responsable Earthworm Foundation en Afrique de l’Ouest.

Comment réussir à concilier les besoins économiques reposant sur l’agriculture avec les besoins environnementaux dont dépendent les activités agricoles ? La démarche employée par Earthworm Foundation consiste à œuvrer à la conservation des forêts existantes. Celles-ci sont identifiées en général grâce à une méthodologie qui permet d’identifier les vestiges forestiers importants en vue de leur conservation et les zones fortement dégradées pour leur réhabilitation en se basant sur un certain nombre de critères tels que : les espèces végétales et animales, les services écosystémiques, la culture, les habitats, les besoins des communautés, etc. Cette méthodologie est couplée avec l’utilisation de la technologie de surveillance satellitaire de haute résolution (1,5m) dénommée Starling qui permet de détecter la déforestation. Ces activités de protection et de réhabilitation se font en impliquant les communautés rurales et toutes les autres parties prenantes.

Ce projet est l’un des meilleurs projets de partenariats avec le secteur privé.  La forêt classée de Cavally, d’une superficie de 67 541 ha, est fortement menacée par des infiltrations pour la culture du cacao et l'orpaillage clandestin.

Bamba Mafoumgbé,Cette adresse courriel est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Légende photo : Le ministre des Eaux et forêts Tchagba Laurent et les partenaires au projet

L'ambassade du Royaume d'Arabie saoudite en Côte d'Ivoire a célébré, le vendredi 23 septembre 2022, à Abidjan, le 92e anniversaire de l'unification dudit Royaume par le Roi Abdulaziz bin Abdul Rahman Al Saud.
 Sem Abdullah Bin Hamad Alsobaiee, ambassadeur du Royaume de l'Arabie Saoudite près la République de Côte d'Ivoire s'est félicité du niveau des relations entre les deux pays dans tous les domaines. Aussi a-t-il affirmé sa volonté « d'accorder plus d'attention à ce pays ami », partout où il sera. En ce qui concerne précisément le volet économique, le diplomate saoudien a transmis les félicitations du gouvernement du Royaume d'Arabie Saoudite au gouvernement ivoirien pour les progrès réalisés au cours de ces dix dernières années. Et ce, dans les domaines économique et sécuritaire, le diplomate saoudien a mis en évidence, les contributions de l'Arabie Saoudite au développement en Côte d'Ivoire.

Sem Abdullah Bin Hamad Alsobaiee a rappelé que les relations entre les deux pays se sont également accrues avec les contributions de l'Arabie Saoudite aux projets de développement en Côte d'Ivoire. « Notamment, dira-t-il, à travers les prêts concessionnels que le Fonds saoudien pour le développement a accordé au gouvernement ivoirien pour contribuer au financement de sept projets dans les secteurs d'infrastructure, de l'éducation, de la santé, de l'eau et du développement rural pour un montant total de 392,45 millions de riyals saoudiens soit, environ 104 millions de dollars us. »

Il faut noter que l'un des fruits de cette coopération est le Chu d'Abobo, dont la pose de la première a été effectuée en juillet 2022.  Sans oublier   la subvention d'un montant de 22,5 millions de riyals, soit l'équivalent de 6 millions de dollars us, allouée à la réalisation des programmes de forage des puits et au développement rural en Afrique de manière générale.
Selon lui, les relations entre son pays et la Côte d'Ivoire se sont consolidées davantage à travers la « coopération fructueuse et les échanges des visites » entre les responsables des deux pays. Evoquant la visite officielle du Président Alassane Ouattara au Royaume d'Arabie Saoudite en 2019, et celles qu'il a effectué dans le cadre du Hadj et de la Oumrah.  Le diplomate a fait remarquer qu'il faut ajouter les visites d'amitié effectuées récemment par le Conseiller à la Cour Royale, M. Ahmed bin Abdulaziz Kattan. Visites qui, a-t-il insisté, ont abouti à la signature d'un accord-cadre de coopération entre l'Arabie Saoudite et la Côte d'Ivoire.Représentant la Ministre d'Etat, Ministre des Affaires Etrangères, de l'Intégration Africaine et de la Diaspora Kandia Camara, sa collègue Nassénéba Touré Diané a salué l'excellence des relations entre la Côte d'Ivoire et l'Arabie saoudite. Il faut noter que la ministre de la Femme, de la Famille et de l'Enfant avait à ses côtés la présidente de la Cour de Cassation, Chantal Camara, le Secrétaire général du Ministère en charge des Affaires Etrangères, Daouda Diabaté, des leaders religieux du Cosim et du Codis. Mais aussi et surtout le ministre Konaté Sidiki, par ailleurs vice- président de l'Assemblée nationale. 

Bamba Mafoumgbé,Cette adresse courriel est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. 

Légende photo :  Des  officiels ivoiriens le ministre Konaté Sidiki( extrême gauche), la  ministre  Touré Nasseneba  Diané de la famille,  de la femme et   de l’enfant( au micro) et l’ambassadeur  d’Arabie  Saoudite  en Côte  d’Ivoire

 

Le ministre des Eaux et Forêts, Laurent Tchagba, a lancé, le vendredi 23 septembre 2022, le projet de restauration de la réserve botanique du Loh-Djiboua à Divo, en présence des autorités administratives, politiques, coutumières et religieuses. Selon des sources officielles confirmées par le Centre d’information et de communication gouvernementale, ( Cicg).

 

Ce projet de restauration est une initiative du Centre international pour la recherche en agroforesterie de Côte d’Ivoire (Icraf-Ci), en collaboration avec le ministère des Eaux et forêts et Génie Bio.

 

Financé par l'Ong internationale One Tree Planted (Otp), le projet permettra à Icraf de planter 174 000 arbres sur 350 hectares dans la réserve botanique de Divo qui est aujourd'hui dégradée à plus de 65%. Faut-il le souligner, cette réserve botanique est un vaste patrimoine de la biosphère de 6 800 hectares. Ce qui explique l'engagement du ministère des Eaux et Forêts aux côtés de l'Icraf qui depuis 2021 a déjà planté 75 000 arbres avec les producteurs de cacao.

 

Le ministre des Eaux et forêts a traduit la gratitude du gouvernement au Centre international pour la Recherche en Agroforesterie et ses partenaires techniques impliqués dans le projet. L'Icraf-Ci, à travers ce projet de restauration de cette réserve botanique, fait œuvre utile pour le bien des communautés, a souligné le ministre Laurent Tchagba

La satisfaction fut grande pour Gondo Bertine, 3ème adjoint au maire de Divo et N'Guessan Denis 4ème vice-président du Conseil régional du Lôh-Djiboua qui dans leur allocution ont exprimé leurs chaleureux remerciements au ministre des Eaux et forêts pour son engagement à redorer ce patrimoine forestier.

Dr Kouamé Christophe, représentant-pays de l'Icraf-Ci, a, quant à lui, rappelé que ce projet est une opportunité et un tremplin pour son organisation de mettre en œuvre son expertise.

Ayoko Mensah

 

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