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mercredi 3 juillet 2024
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Société

Société (720)

Prévalence du tabagisme dans le monde// L’Oms veut la réduire de 30% d’ici 2025

mardi, 09 juillet 2019 23:14 Written by

Voilà maintenant quelques années que la cigarette électronique s’est popularisée un peu partout dans le monde. D’autres produits ont par la suite vu le jour comme les produits de tabac chauffé. Mais quelles sont leurs réelles différences avec la cigarette classique ?   De l’avis  d’un  expert  qui   le dossier  depuis quelques années, «  le point commun entre la cigarette électronique et la cigarette classique, c’est la nicotine. C’est une molécule addictive qui pourrait être comparée à la caféine, même si elle est dite beaucoup plus addictive. Si les dangers de la cigarette sont aujourd’hui bien connus, beaucoup de gens en ignorent encore les causes réelles. La principale cause de la nocivité de la cigarette est la combustion. En effet, c’est lorsqu’il y a combustion du tabac (qu’il est brûlé), que la plante de tabac et les autres ingrédients, libèrent des milliers de molécules dont des centaines sont reconnues comme cancérogènes »  C’est  là  disent-ils, que  se trouve la différence majeure entre cigarette électronique, produit de tabac sans combustion et cigarette classique. « La cigarette électronique contient de la nicotine liquide, le produit de tabac chauffé comme son appellation l’indique contient du tabac mais il est chauffé et non brulé et la cigarette classique quant à elle, est combustible d’où sa nocivité. Ces produits sont-ils vraiment moins nocifs pour la santé » ajoute  M. Koffi,  un amateur de ces nouveaux produits rencontré dans un club  privé d’Abidjan, la capitale économique ivoirienne.   A la question de savoir s’il faut faire une  différenciation dans la règlementation des produits sans combustion notre jeune fumeur ajoute  que « l’un  des objectifs de l’Organisation mondiale de la Santé (Oms) est de réduire la prévalence du tabagisme de 30% d’ici 2025. L'une des solutions les plus rapides et les plus efficaces pour atteindre l'objectif global de réduction des maladies non transmissibles serait de passer des produits de tabac conventionnels à des produits à faible risque, sans combustion. La première cause de maladies liées au tabagisme est l’ensemble des substances toxiques dans la fumée de cigarette, dont la plupart sont formées lors de la combustion du tabac »  .Il est à noter  qu’ un certain nombre d'organismes de réglementation et de santé publique ont reconnu qu'il était nécessaire d'encadrer la mise sur le marché de produits supposés réduire les risques de maladies liées au tabagisme. Alors, si l’objectif de santé publique est la priorité des gouvernements, des corps médicaux, des Ong et des sociétés civiles, il serait intéressant de comprendre pourquoi devrait-on interdire ou restreindre des produits qui seraient moins nocifs, pendant que les cigarettes classiques que nous savons très nocives pour la santé, sont tolérées ?  Aussi sur les bords de la lagune Ebrié( Abidjan)  d’autres experts et  accros  aux produits du tabac s’interrogent  si  les   fumeurs adultes qui choisissent de continuer à fumer, n’ont-ils pas droit à des alternatives si elles sont moins dangereuses pour leur santé ?Autant de questions que pourraient se poser les législateurs. Aujourd'hui, de nouveaux produits à base de tabac ou de nicotine ou autres produits telles les cigarettes à base de plantes sont souvent vendus comme des substituts moins nocifs que les cigarettes classiques ou comme des traitements efficaces pour arrêter de fumer. La réglementation pourrait donc très bien inclure le principe de réduction de la nocivité. La réduction de la nocivité correspond à la volonté de réduire les méfaits d’une activité dangereuse, plutôt que d’empêcher la pratique de cette activité de manière inefficace. Appliquée au tabagisme, la réduction de la nocivité renverrait au développement de nouveaux produits du tabac qui réduiront les risques de maladies liées au tabagisme. Les lois relatives à la lutte antitabac devraient donc différencier la réglementation des cigarettes de celles de ces nouveaux produits qui devraient faire l’objet d’une réglementation au cas par cas au fur et à  mesure que nous en saurons plus sur ces produits à travers la recherche et à  la science. Et ceci afin de ne pas réduire à néant toute chance aux fumeurs de pouvoir bénéficier d’alternatives moins nocives pour leur santé et faciliter leur transition vers la cessation. 

Bamba Mafoumgbé,Cette adresse courriel est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.( In Lginfos  du 8 juillet 2019)

 Légende photo :   ( photo de fumeur)  Il faut  faciliter  la transition  vers la cessation

Tabac/Financement des organisations terroristes Le trafic de cigarettes y contribue à hauteur de 20%

mardi, 02 juillet 2019 21:15 Written by

Un rapport  du Centre  d’analyse du terrorisme(Cat) indique que le financement des organisations terroristes est assuré à plus  de 20% par le trafic de cigarettes. L’information  relayée abondamment par l’Agence Ecofin ajoute également qu’en Afrique,  le terrorisme qui    gagne progressivement tu terrain, a trouvé  une alliée   de choix : la contrebande  du tabac. « Que ce business ait pu progresser de la sorte, trouve en partie son explication en Europe. En effet, l’augmentation constante du prix des cigarettes sur le vieux continent constitue une opportunité pour le marché noir et a fait le lit de la contrebande. Mais l’autre partie de l’explication de cette progression se trouve étrangement en Afrique. Car la contrebande a trouvé un terrain favorable sur ce continent, aidée il est vrai, par des régulations reposant sur des postulats erronés. « Pendant longtemps, les Etats se sont alignés sur les arguments de l’industrie du tabac qui estime qu’une hausse des droits appliqués aux cigarettes, a pour contrecoup presque mécanique d’augmenter la contrebande, et ce faisant, d’alimenter les caisses du terrorisme. Pendant longtemps, les Etats se sont alignés sur les arguments de l’industrie du tabac qui estime qu’une hausse des droits appliqués aux cigarettes, a pour contrecoup presque mécanique d’augmenter la contrebande »  ajoute la source.  L’argument repose sur le postulat que les consommateurs de tabac rechignent à s’aligner sur des prix plus élevés et donc, tendent naturellement à se tourner vers un marché noir où la cigarette se commercialise moins chère que sur le marché officiel. Par ailleurs ajoute  le site en ligne,  « Si à première vue l’argument semble tenir la route, il se révèle moins pertinent quand on le passe à la loupe »   En effet, pour Chris McAllister, directeur régional de British American Tobacco, «  la Guinée, qui applique une fiscalité plus accommodante envers le tabac que ses voisins,  constitue l’une des portes d’entrée de la cigarette de contrebande en Afrique de l’ouest, et partant, vers le reste du continent »  Pour lui,  « l’absence d’une taxation appropriée à l’importation des produits de tabac (droits de douane et droits d’accises) constitue une opportunité considérable pour les contrebandiers. »  Et de souligner des manques à gagner de l’ordre de 180 millions de dollars soit plus de 90 milliards  de Fcfa  pour les pays africains entre 2013 et 2015, alors que les ventes de cigarettes de contrebande faisaient des recettes de 526 millions de dollars soit plus de 263 milliards de Fcfa  sur la même période.   Ainsi, si la Guinée qui a fait la preuve qu’une législation accommodante, contribuait au mieux à favoriser la contrebande, au Maghreb, le Maroc lui, est en train de démontrer que fiscalité contraignante et lutte contre le financement du terrorisme via le contrôle de la contrebande, peuvent faire bon ménage. En effet, entre 2015 et 2018, la part de la cigarette de contrebande dans la consommation du pays est passée de 12,48%, à 3,73%. Or sur cette période, le royaume a procédé à plusieurs augmentations  des droits appliqués au tabac, notamment de la taxe intérieure sur la consommation (Tic). En 2018, cette taxe a généré 10.8 milliards de dirhams, soit plus  de 651 milliards de Fcfa.   Cette année, les recettes devraient être plus importantes, alors que la Tic est passé de 53.8% à 58%. Entre 2015 et 2018, la part de la cigarette de contrebande dans la consommation du Maroc est passée de 12,48%, à 3,73%. Or sur cette période, le royaume a procédé à plusieurs augmentations  des droits appliqués au tabac. Outre la hausse des taxes sur le tabac, le royaume chérifien s’est doté dès 2010 d’un Système automatisé de marquage intégré en douane (Samid). Grâce à ce système développé par la compagnie suisse Sicpa, le royaume a renforcé la traçabilité des produits soumis à la Tic, notamment le tabac et l’alcool. Ainsi, expliquait en 2018 un rapport de l’administration des douanes et impôts indirects (Adii), « Les saisies douanières sont ainsi passées de 2,25 millions d’articles contrefaits en 2016 à 5,23 millions l’an dernier ; près de 500 dossiers liés à des demandes de suspension de mise en libre circulation de marchandises présumées contrefaites ont également été instruits. Au premier rang desquelles les cigarettes et l’alcool. » Il n’existe pas de solution unique à un problème aussi complexe que la contrebande, néanmoins, il apparait clairement aujourd’hui que les industriels du tabac, comme les Etats doivent se pencher sur l’hypothèse d’une fiscalité plus contraignante qui pourrait se révéler avantageuse pour les nations africaines. 
 Moussa Kader
 Légende photo :      La contrebande  de la cigarette rapporte gros  aux réseaux   de trafiquants

5e édition du Mariage Collectif de la Police Nationale// Dix policiers se mettent la corde au cou

lundi, 01 juillet 2019 14:39 Written by

Il y avait fête et joie le Samedi 29 juin 2019 à la mairie d’Abobo. La raison, la 5ème Edition du mariage collectif de la police nationale (Mcpn-2019). C’était à la fête dans la Salle des Fêtes de la Mairie d’Abobo –gare. Ce sont dix couples qui, tour à tour ont prononcé un « Oui Sonore » devant le Maire de ladite Commune, le ministre d’Etat, ministre de la Défense Hamed Bakayoko, par ailleurs parrain de la cérémonie. Celui-ci, après d’importants conseils à l’endroit des heureux mariés, leur a offert la somme de cinq millions Francs/cfa. Cette importante cérémonie a été organisée par l’Association nationale des épouses des policiers de Côte d’Ivoire (Anepci) en partenariat avec Tft Prestige international. Sans oublier la touche magique de Madame Koffi Delphine, Présidente de l’Anepci. Elle a indiqué que son association est véritablement engagée dans la consolidation et la sécurisation de l’environnement conjugal des couples des policiers de Côte d’Ivoire à travers ce concept de mariage collectif et bien d’autres autres activités. Cette cérémonie qui a enregistré la participation effective du Contrôleur Général Youssouf Kouyaté, Directeur général de la Police Nationale. Il était à la tête d’une impressionnante délégation de son institution, de parents et amis des mariés. Un cocktail somptueux   a mis fin à cette sympathique à la Salle de Fête de l’Ecole Nationale de Police.
Moussa Kader
Légende photo : Le ministre d’Etat Hamed Bakayoko parrain de la cinquième édition du mariage collectif de la police nationale

 

Deuil : Enseignement supérieur // L’Ascad rend hommage au Pr Hubertine Eholié

mardi, 18 juin 2019 11:25 Written by

Deuil : Enseignement supérieur // L’Ascad rend hommage  au Pr Hubertine  Eholié Le 13 juin 2019, l’Académie des sciences, des arts, des cultures d'Afrique et des diasporas africaines (Ascad), a rendu un  hommage mérité   à feu le Pr Eholié Hubertine Rose.  Une    organisation dont elle fut membre active.  La cérémonie d’hommage s’est déroulée le 13 juin 2019,  à l’Ecole normale supérieure, à Cocody.  La cérémonie a eu pour cadre l’Ecole normale supérieure (Ens) à Cocody. Les membres de l’Ascad ont salué la mémoire de celle qu’ils ont qualifiée de «grande scientifique, grande figure de l’enseignement et de la recherche et figure féminine d’exception». Eholié Hubertine Rose a, en effet, rejoint la prestigieuse académie depuis sa création, précisément à la section des sciences exactes.  Le Pr Tuo Bakari, recteur honoraire de l’université de Cocody et Jacques Touré, ex-doyen de la faculté des sciences, ont livré un émouvant témoignage-testament de leur belle et longue amitié avec la défunte. Puis, les membres de l’Ascad ont procédé au traditionnel piquet d’honneur. Enfin, la professeure Chantal Marie Kouassi a lu l’oraison funèbre qui a retracé les grandes lignes de l’histoire ainsi que le parcours académique exceptionnel de l’illustre disparue. La cérémonie s’est déroulée en présence des membres de la famille éplorée qui ont traduit leur reconnaissance à la grande famille des Académiciens. Rappelons que Le samedi 11 mai, Eholié née Traoré Hubertine Rose, professeure titulaire de chimie minérale à la retraite, a été arrachée à l’affection des siens.  L’inhumation a eu lieu le vendredi 24 mai, au cimetière de Williamsville.  Ayoko Mensah Légende photo : Les  membres de l’Asacad  aux côtés de la famille éplorée

afrikchallenges

vendredi, 07 juin 2019 08:16 Written by

 Le lancement de la 6ème édition du  grand prix des transports de l’Afrique de l’Ouest a eu lieu  récemment  à Abidjan. Cette cérémonie aura lieu du 26 au 27 septembre prochain à Abidjan et est placée sous la présidence effective du Premier ministre, Amadou Gon Coulibaly. Le Président du comité d’organisation, Auguste Danoh a donné l’information à la presse et l’a informé que le Premier ministre a donné son accord pour sa présence à cette cérémonie qui honore les acteurs du transport  en Afrique de l’Ouest. Le thème retenu cette année est : « transports véritable gisement d’emplois jeunes(…) Je vous annonce la présence effective du Premier ministre, ministre du Budget et du Portefeuille de l’Etat, ajoutée à celle de plusieurs autres ministres aux côtés du ministre des Transports constitue une véritable source de motivation d’enthousiasme »
  Moussa Kader Légende photo : Le Premier ministre Amadou Gon va présider  la cérémonie

Solidarité durant le mois du ramadan// Des cadres du Hambol offrent 30 tonnes de vivres et non vivres

jeudi, 30 mai 2019 21:20 Written by

Ramadan, mois de solidarité et de partage. Le week-end dernier, les élus et cadres ressortissants des Sous-préfectures de Tafiré, Badikaha et Niédiékaha, ont traduit cette affirmation en actes. Ils ont sillonné les trois localités, les bras chargés de dons divers. Ils ont offert aux populations, plus de 40 tonnes de vivres et de non-vivres. Ces produits offerts au nom du chef de l’Etat, Alassane Ouattara et du Premier ministre, Amadou Gon Coulibaly, sont essentiellement composés de sucre, de riz, de pâtes alimentaires, de lait, de nattes et de bouilloires pour les mosquées, d’une valeur de plus 25 millions de FCFA. Le Directeur général des Impôts, Ouattara Sié Abou, porte-parole de la délégation des cadres et principal initiateur du don avec le Directeur général du Budget et des Finances, Traoré Seydou, a saisi l’occasion pour rappeler la nécessité de l’union entre les populations, condition pour réussir le projet de développement gouvernemental. « Par ce don, l'ensemble des cadres, fils et filles des sous-préfectures Badikaha, de Niédiékaha et de Tafiré, vous apportent le salut et le soutien du président de la République, SEM Alassane Ouattara et du Premier ministre Amadou Gon Coulibaly ", a-t-il fait savoir. Revenant sur l’actualité qui domine sur place, il a salué les actions de développement posées par le gouvernement : éducation, eau potable, renforcement de l’électricité. Sur la question de la mévente de la noix de cajou qui fait débat, il est revenu sur les initiatives prises dans le sens de l’amélioration du prix de vente. Mme Ouattara Matenin, Préfet du département de Niakara, qui a présidé le lancement de la remise à Tafiré, avait à ses côtés, l’ensemble des Sous-préfets des localités : Brikpo Yohou Casimir (Tafiré), Kouadio Kan (Badikaha) et Coulibaly Laimehè (Niédiékaha). Elle, à son tour, s’est félicitée de l’action des cadres et soutenu que le chef de l’Etat est à l’écoute des populations. Pour l’occasion, les chefs traditionnels et les populations ont fait nombreux le déplacement sur l'esplanade de l'Hôtel de ville de Tafiré. S'exprimant au nom des bénéficiaires, M. Kanté Tidiane, Président de la communauté musulmane , a traduit la joie et la reconnaissance de ceux-ci, non seulement aux cadres mais aussi et surtout au Chef de l'État et au Premier ministre pour " les efforts constants à la construction et à la modernisation de la Côte d'Ivoire et particulièrement de Tafiré et ses localités voisines ".Le guide religieux a dit des bénédictions et promis des prières en vue d'optimiser la cohésion, l'entente et la paix en Côte d'Ivoire. Après le guide religieux, Koné Sanga, chef de canton et Coulibaly Allassane, Président du Conseil supérieur des Chefs de villages, sont intervenus pour saluer les donateurs, tout en s’engageant à être aux côtés du Chef de l’Etat et de son gouvernement. C’est le même message de gratitude que Coulibaly Siaka Minayaha, Directeur de Cabinet du ministre de l’Agriculture et le Colonel Coulibaly Amadou, fils de Kouroukouna et Directeur général adjoint des Douanes, ont tenu lors de leurs différentes interventions. En soutien à la communauté musulmane, une rupture collective de jeûne a été organisée. Les guides religieux des trois sous-préfectures se sont réunis pour prier ensemble et partager un repas, dans la soirée de vendredi, avec les autorités et les cadres. Selon le premier magistrat de la commune de Tafiré, Coulibaly Sounkalo dit Charles Sanga, cette rupture collective de jeûne est « une démarche conjointe des cadres qui entendent témoigner leur soutien et leur solidarité à la communauté musulmane locale, en ce temps de pénitence, de partage et prières »
Moussa Kader
Légende photo : Les représentants des cadres lors de la cérémonie de remise du don

 

Ramadan à Port- Bouêt // Siandou Fofana aux côtés de 70 mosquées de vendredi

dimanche, 12 mai 2019 09:10 Written by

Le ministre ivoirien du Tourisme et des loisirs, Siandou Fofana a manifesté, samedi après-midi, dans le cadre du Ramadan, son élan de solidarité et de générosité envers quelque soixante-dix «mosquées de vendredi» de la commune de Port-Bouët, dans le sud d’Abidjan.  L’information est rapportée par Apa. Depuis le lundi 06 mai 2019, les musulmans de Côte d’Ivoire observent le mois «béni » de Ramadan qui a vu la révélation du Saint Coran au Prophète de l’Islam, Mohammed (Paix et salut d’Allah sur Lui). Ce 9ème mois lunaire est également accueilli en tant que période de grande générosité, de solidarité et de partage.C’est dans ce contexte que le ministre Siandou Fofana a traduit son soutien à la communauté musulmane de Port-Bouët en offrant six tonnes de sucre, deux tonnes de riz, vingt-six cartons de lait, vingt-cinq cartons d’huile et vingt-cinq cartons de pâtes alimentaires aux imams des soixante-dix « mosquées de vendredi » de cette commune.« C’est la période où il faut faire beaucoup de sacrifices, des dons pour soutenir les imams et les fidèles », a déclaré M. Fofana en s’adressant à ces religieux qu’il a invités à prier pour la paix et la cohésion sociale en Côte d’Ivoire. Poursuivant, il a souligné que Port-Bouët compte au total cent soixante-seize mosquées dont soixante-dix officient la prière de vendredi. Dans le même élan, Siandou Fofana, également cadre du Rassemblement des houphouëtistes pour la démocratie (RHDP, majorité présidentielle) a promis une autre vague de dons dès la semaine prochaine pour les « cent-six autres mosquées ordinaires». En retour, l’imam de la Grande mosquée de Port-Bouët, Cheick Farouk Diomandé, réceptionnant le don, a exprimé la joie de la communauté avant de formuler des bénédictions pour le bienfaiteur, mais également pour la paix en Côte d’Ivoire. Le jeune du Ramadan est le quatrième pilier de l’Islam durant lequel les musulmans restent à jeun de l’aube jusqu’au coucher du soleil tous les jours pendant 29 ou 30 jours de même qu’ils s’abstiennent d’avoir des rapports sexuels avec leur époux ou épouse dans la journée.  . 

Moussa Kader Légende photo : Siandou Fofana, ministre du Tourisme et des Loisirs a encore fait parler  son cœur. 

Tiebissou :Après une tornade // De nombreux dégâts enregistrés dans la ville

vendredi, 10 mai 2019 17:17 Written by

Des toits de maisons arrachés, des routes coupées, des panneaux publicitaires décrochés, le pylône d’une société de téléphonie brisé. C’est le lourd bilan enregistré dans la commune de Tiébissou après le passage de la tornade au petit matin du mercredi 08 mai 2019. Le passage de la rafale n’est pas sans conséquence pour les populations y compris les opérateurs économiques. Les réseaux téléphoniques et internet très perturbés créent désolations et inquiétudes au sein des populations. « Je n’arrive plus à communiquer, l’antenne d’Orange Côted’ivoire Telecom  est cassée et cela freine mes activités » déplore dame Fofana Masséni opératrice économique. « Je n’ai plus de connexion internet depuis que l’antenne est hors service et ça nous crée beaucoup de désagrément » a confié Kouadio Gérard gérant d’un cyber café. Heureusement pour les populations et ces acteurs de notre économie des équipes techniques ont été envoyées sur place pour pallier au problème.

Emanou Yvane Légende photo : Une vue  des dégâts après la tornade

Célébration de la fête du Travail( 2019)// La Fesaci demande la libéralisation du secteur de l’eau et électricité

jeudi, 02 mai 2019 13:39 Written by

Le Secrétaire Général de la Fédération des Syndicats Autonomes de Côte d’Ivoire ( Fesaci), le colonel Traoré Dohia Mamadou, a demandé une libéralisation du secteur de l’électricité et de l’eau courante lors la traditionnelle cérémonie marquant la célébration de la fête du travail, présidée par le premier ministre, chef du gouvernement Amadou Gon ce Mercredi 1er mai 2019 dans l’enceinte de la primature. Selon lui, le monopole de ses deux secteurs d’activités empêche plusieurs autres investisseurs de travailler dans ce secteur.  La Compagnie Ivoirienne de l’Electricité ( Cie) qui a en charge la distribution de l’électricité partout en Côte d’Ivoire, n’arrive pas à couvrir totalement le territoire. "  Ce  qui handicape le programme l’électrification voulu par le chef de l’État " souligne-t-il. Poursuivant dans son intervention, il a ajouté que la Société de distribution d’eau en Côte d’Ivoire (SODECI) a plusieurs insuffisances dans sa politique d’approvisionnement en eau potable de plusieurs localités du pays. le chef du gouvernement a promis que la problématique de la libéralisation est bien inscrite à l’ordre du jour des discussions actuellement en cours. Le premier ministre, Amadou Gon a lors de son intervention présenter les acquis sociaux et les avancées en ce qui concerne l’amélioration des conditions de vie des Travailleurs, mais aussi de réfléchir sur les défis à relever. Rassurant les centrales syndicales que leurs doléances seront transmises au chef de l’Etat, Amadou Gon a révélé aux uns et aux autres la ferme volonté et l’engagement du Gouvernement de continuer à travailler sans relâche afin que les fruits de la croissance économique soient mieux redistribués et ressentis de plus en plus par tous les ivoiriens. Il s’est saisi de cette occasion pour inviter les organisations syndicales à mener des grèves constructives plutôt destructives surtout dans les domaines sensibles.Bien avant, les porte-paroles des Centrales syndicales ont, chacun avec ses mots, salué les efforts consentis par le chef de l’Etat pour les nombreux acquis sociaux engrangés par les Travailleurs ivoiriens sous sa gouvernance ces dernières années, notamment le paiement de certains stocks des arriérés aux Fonctionnaires ; fruit du dialogue social institué entre les acteurs sociaux et le Gouvernement. Comme à l’accoutumée en pareille circonstance, les représentants syndicaux ont fait cas de certaines de leurs préoccupations. 
Il s’agit notamment de la cherté de la vie ; de l’amélioration des conditions de vie et de travail des salariés ; de l’intégration, dans leurs fonctions ou corps originels, de certains Travailleurs qui étaient sous le coup de sanctions ; du non-respect de la loi portant règlementation des loyers et cautions de maisons ; de l’amélioration du profil de carrière de certains Agents ; de l’alignement de la pension des retraités du privé sur le SMIG (Salaire Minimal Interprofessionnel Garanti ); des problèmes de sécurité; de la poursuite du dialogue social pour l’achèvement du décret portant sur la libération des prisonniers politiques...
Cette cérémonie a été marquée en dehors des interventions, du ministre l’Emploi et de la Protection Sociale, des Représentants des Centrales syndicales, du discours du Chef du gouvernement, par une remise de muguets aux Dames Travailleuses. 

Légende photo : Colonel des Douanes Traoré Dohia Mamadou, sg de la Fesaci Source :www.abidjan.net

Entreprise : Les règles à maîtriser pour réussir la croissance// Les recettes de 15 professeurs d’Hec Paris

vendredi, 26 avril 2019 20:48 Written by

 

Sous la direction de Françoise Chevalier, 15 professeurs d’HEC Paris exposent toutes les règles à maitriser pour réussir la croissance de son entreprise dans l’ouvrage « Des Pme aux Eti, réussir sa croissance ». Cette publication, proche du terrain, s’adresse aux dirigeants, aux entrepreneurs, aux managers et futurs managers qui souhaitent faire de leurs entreprises de véritables outils au service de la création de valeur. De passage à Abidjan, Françoise Chevalier a présenté et commenté l’œuvre en question à la presse économique et financière ivoirienne. C’était le vendredi 26 Avril 2019, dans les locaux de la représentation de Hec à « la Maison de l’Entreprise », par ailleurs siège de la Confédération générale des entreprises de Côte d’Ivoire. Françoise Chevalier a relevé le défi de faire collaborer 15 professeurs d’HEC Paris, tous spécialistes de disciplines différentes mais complémentaires de management pour rédiger cet ouvrage qui s’articule autour des questions clés de leadership, de gouvernance, de numérique, de management des ressources humaines, de marketing, de finance et de stratégie. Les 12 chapitres du livre dressent un panorama des questions centrales auxquelles les dirigeants font face au quotidien et y apportent des réponses pratiques.
« Nous souhaitons faire de cet ouvrage une boite à outils pour les dirigeants d’entreprises. De la question du financement à la gestion de la supply chain en passant par le numérique : les différentes facettes du management de la croissance sont abordées. L’objectif est de savoir apprivoiser chacune de ces ressources et de l’adapter à son marché », déclare Françoise Chevalier qui a dirigé la rédaction de ce livre.

Françoise Chevalier est professeur chercheur à HEC Paris et titulaire d’un Doctorat. Membre de l’Academic Board HEC Executive Education elle enseigne le Management des Ressources Humaines dans les différents programmes d’HEC, Grande Ecole, Doctorat et en Executive Education. Elle intervient depuis de nombreuses années auprès de cadres et dirigeants de PME et d’ETI.
Moussa Kader
Légende photo : Françoise Chevalier lors d’une séance de dédicace pour des journalistes ivoiriens après des échanges avec la presse

 

 

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