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lundi 1 juillet 2024
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Société

Société (718)

Diaspora marocaine en Côte d’Ivoire: L’ Acmrci dresse le bilan de ses activités

mardi, 17 avril 2018 08:56 Written by

Sur convocation du Président Mr OUAZZANI CHAHDI, l’Assemblée Générale ordinaire de l’association Assemblée du Conseil des Marocains Résidents en Côte d’Ivoire (ACMRCI) sous sa nouvelle forme a eu lieu ce samedi 14 Avril 2018, à 20h30, au sein des locaux du Palais de la Culture de Treichville à Abidjan en Côte d’Ivoire. Ce rassemblement a été l’occasion de présenter le bilan des activités de 2017 ainsi que le rapport moral et financier. L’ACMRCI, est, à l’origine, une association composée de commerçants qui a été créée en 2004 pour œuvrer au bien-être des ressortissants marocains en Côte d’Ivoire. Au fil des années, cette association a démontré son dévouement et sa mobilisation auprès de toutes les composantes de notre communauté. Soucieuse de répondre aux attentes de tous, elle s’est adaptée aux diverses mutations et au développement de notre communauté pour évoluer et voir naître, en Mars 2017, ce groupement des quatre associations les plus actives, que nous représentons aujourd’hui d’une seule voix. Le bureau exécutif, qui est composé de 15 personnes, se répartit en plusieurs secteurs et comprend : des responsables de quartiers, des femmes, des jeunes, ainsi que différents pôles par type d’activité. Intégrés dans ces pôles, les membres de l’association essaient d’intervenir dans différents domaines, à savoir : sportif, éducatif, économique, social et culturel. Après une année d’activités, un point s’impose afin de connaitre nos forces et nos limites, et d’en tirer des leçons pour un meilleur fonctionnement. Un bon suivi et une transparence vis-à-vis de l’ensemble des membres qui nous ont fait confiance ainsi que des tiers qui comptent associer leur image à notre groupement pour des actions futures, nous semblent primordiaux. 2017 fut pour l’ACMRCI une année ambitieuse encadrée par un plan chargé en interventions diversifiées tout comme un bureau décidé et de plus en plus dévoué à la réussite des actions programmées. Les préparations et réflexions ont eu lieu au cours de rencontres mensuelles, en majorité respectées par les deux tiers des membres du bureau élargi. Les idées émises par chacun des membres ont été débattues et après votes, les meilleures ont été mises à exécution. Pour résumer, l’ACMRCI a mené 22 actions, en plus de 9 actions d’accompagnement dans divers domaines, à savoir social, culturel, sportif et économique. D’autres actions qui nous tiennent à cœur n’ont malheureusement pas encore été réalisées mais figurent déjà dans le plan d’action de 2018. Une importance sera donnée aux actions menées envers les femmes et les jeunes et l’activité de développement culturel. Le ​bilan semble très positif à la vue des actions qui ont été doublement au-delà des objectifs de cette nouvelle ACMRCI reconstituée. Afin de marquer le coup de cette assemblée annuelle qui est aussi l’anniversaire d’une année de travail en équipe, les hymnes des deux pays ont été chantés (Maroc et Côte d’Ivoire) et un cocktail a eu lieu en fin de séance. Sans tous ces hommes et femmes qui se mobilisent au quotidien à nos côtés, rien de ceci n’aurait pu avoir lieu. En tant que Président de cette Association, je tiens à tous vous remercier du fond du cœur. Sans votre mobilisation et votre patriotisme, il n’y aurait pas d’ACMRCI. Un remerciement également à nos officiels, notre Ambassadeur, ses collègues, tous les services de l’Ambassade du Maroc en Côte d’Ivoire ainsi qu’à tous nos sponsors et entreprises qui se tiennent toujours à nos côtés et nous soutiennent. Vous êtes tous acteur de chacune de ces réalisations.

 

Charles Kader

Gestion efficace des corridors dans l’espace Cedeao: Des professionnels font le point de leurs activités à Bamako

dimanche, 15 avril 2018 18:23 Written by

« Les perceptions illicites sont perçues sur l’ensemble des corridors de l’Union et surtout au franchissement des frontières. Le montant des perceptions illicites au franchissement d’une frontière est de l’ordre de 45% du montant total des perceptions illicites perçues sur l’ensemble du corridor(…) Par rapport au constat fait au 1er trimestre 2017, il est à noter une légère baisse de 12% du montant des perceptions illicites au titre du 2ème trimestre 2017. En effet, la moyenne des perceptions illicites était de 47222 Fcfa au 1er trimestre 2017 contre 41245 au 2ème trimestre 2017 » Ces information sont de M. Jonas Lago, président du Comité national de l’Alliance Borderless pour la Côte d’Ivoire. Il commentait ainsi le 28ème rapport de l’Observatoire des pratiques anormales( Opa). Mais c’est quoi l’Alliance Borderless ? C’est une association de droit privé qui œuvre en partenariat avec les gouvernements et les partenaires au développement. Elle travaille à promouvoir la libre circulation des personnes et des marchandises, pour un commerce compétitif en Afrique de l’Ouest, par l’élimination des barrières au commerce et au transport et l’harmonisation des procédures. Jonas Lago était face à la presse relativement à la prochaine conférence annuelle de l’Alliance Borderless qui aura lieu à Bamako du 09 au 11 mai 2018, à l’Hôtel Azalai Salam. Avec pour thème : « Gestion efficiente des et des transports en Afrique de l’Ouest » Selon le conférencier, le thème choisi pour cette année vise à souligner la nécessité de développer les corridors et de promouvoir leur gestion efficace, afin d’améliorer le flux de marchandises et de service entre les pays de l’Afrique de l’ouest. Aussi, a ajouté M. Lago, parlant proprement de la conférence a dit qu’elle va durer trois jours. Belle occasion pour interpeler les décideurs politiques sur la nécessité de formuler, d’accélérer les politiques de mise en place des institutions de gestion des corridors à l’image de la pratique international. Aussi, les participants dont ceux de l’Afrique Australe vont exposer sur leurs expériences en la matière dans leurs pays respectifs. Aussi, il a fait noter qu’en marge de cette conférence annuelle, se déroulera l’Assemblée générale ordinaire des membres de l’Alliance Borderless, en vue d’examiner les rapports d’activités et les états financiers de l’exercice 2017. Il est à noter qu’en ce qui concerne les perceptions illicites aux frontières, la moyenne, par passage de frontière dans l’espace Uemoa, le chauffeur est contraint à débourser 17.886 Fcfa contre 21.608 Fcfa au titre du 1er trimestre 2016 soit une diminution d’environ 17,22%. Les données collectées au titre du deuxième trimestre de l’année 2017 font ressortir une légère baisse des contrôles routiers estimée environ à 21% sur l’ensemble des corridors de l’Union. Cependant, le 28ème rapport de l’Observatoire des pratiques anormales( Opa) indique « le corridor le plus critique en postes de contrôles aux 100 km est le corridor Dakar-Bissau et Abidjan –Bamako avec quatre (4) postes aux 100 km, soit un total de 38 postes sur le corridor de 1052 km ; ensuite viennent le corridor Lomé –Ouagadougou avec trois (3) postes aux 100 km soit 27 postes sur 920 km. Les autres corridors ont 2 postes aux 100 km. Les corridors Cotonou-Niamey et Bamako-Ouagadougou via Heremakono sont les corridors ayant moins de postes de contrôles avec 1 poste aux 100 km soit respectivement 10 postes sur 950 km et 14 postes sur 934 km. Les pays où on note un nombre élevé de postes de contrôle sont : le Burkina Faso, le Sénégal et le Mali avec respectivement 5 postes aux 100 km (tronçons des corridors Tema-Ouagadougou et Lomé-Ouagadougou), 3 postes aux 100 km (tronçon Dakar-Bissau) » Des efforts certes sont faits mais il faut continuer le travail de sensibilisation et de dénonciation, en vue d’une plus grande fluidité sur les corridors ouest africains

 

Charles Kader

Hadj 2018: Les formateurs sensibilisés sur les directives saoudiennes

dimanche, 15 avril 2018 15:38 Written by

La formation des candidats au Hadj 2018 à la Mecque sur les consignes à respecter lors du voyage en d'Arabie Saoudite et sur les directives des autorités saoudiennes en matière d'informations et de sensibilisation se tiendra du 21 avril au 30 juin 2018 dans 123 centres de formation dont 50 à Abidjan et 73 à l'intérieur du pays. L’information a été donnée samedi à Abidjan au cours de l'ouverture d'un atelier de formation des encadreurs desdits centres de formation des pèlerins initié par le Commissariat du Hadj à la grande mosquée de la Riviera-Golf. « Il y a 152 formateurs dont 69 à Abidjan et 83 à l'intérieur du pays que nous formons aujourd'hui et qui animeront les centres de formation des candidats au Hadj 2018. Ces centres de formation instruiront les pèlerins du 21 avril au 30 juin prochain » a expliqué le Commissaire du Hadj, l'Imam Bachir Ouattara, qui a ouvert cet atelier dont l'objectif général est de contribuer à l'amélioration de la formation des pèlerins au cours du Hadj 2018. En outre, l’Imam Ouattara a expliqué que c'est un recyclage' qu'il s'agira de faire au cours de ce séminaire ajoutant que de la manière dont nous avons été félicités l'an dernier par les autorités saoudiennes pour le comportement exemplaire des pèlerins ivoiriens. Ajoutons par ailleurs, qu’un module sur les directives des autorités saoudiennes lors de cet atelier, l'Imam Bachir a instruit les auditeurs sur une série de recommandations et de consignes administratives, sanitaires, sécuritaires et environnementales à transmettre aux pèlerins lors du Hadj. « Ici on nous demande de former les pèlerins selon la charia » a-t-il indiqué avant de mandater les 152 formateurs à sensibiliser les pèlerins contre l'usage des substances interdites pendant ce séjour, à éviter de faire des invocations à hautes voix, à éviter de faire la propagande politique « Dites aux pèlerins qu'on ne prend pas les bagages d'autrui sans en avoir connaissance du contenu » a insisté le commissaire du Hadj. Dans le cadre de la formation ajoutons que deux principales innovations lors de la formation des pèlerins cette année. Notamment, la pose d'une maquette de la '' Kaaba'' (Maison sacrée se trouvant à l'intérieur de la mosquée sacrée de la Mecque dont le tour est fait par les pèlerins lors du Hadj) dans l'enceinte de tous les centres de formation des pèlerins et les formations faites par PowerPoint.

Charles Kader

Recherche scientifique: Les experts Africains en marche pour l’éradication des pathologies du Manioc

vendredi, 13 avril 2018 10:07 Written by

Des experts issus de 12 pays d’Afrique sont réunis en Côte d’Ivoire pour échanger sur le thème : « agir ensemble pour une production durable du manioc en Afrique », à l’occasion de la cérémonie d’ouverture du premier atelier du programme West African Virus Epidemiology (WAVE) des virologues et sélectionneurs du manioc d’Afrique qui tient lieu depuis ce jeudi 12 avril 2018.

Rencontre où, les spécialistes devront échanger et réfléchir sur les méthodes et stratégies permettant d’augmenter de façon durable et efficace la production des plantes à racines et tubercules (PRT) en Afrique à travers le développement de méthodes de lutte efficace contre les maladies virales infectant le manioc.

Troisième plus grande source de glucides pour l'alimentation humaine, le manioc est devenu une culture de subsistance et de rente pour les producteurs et une culture stratégique pour la sécurité alimentaire. Les produits dérivés multiples du manioc (gari, tapioca, pâte fermentée, attiéké, farine, amidon, chips, etc.) font l’objet de commerce sous régional. L’Afrique est le plus grand producteur mondial de manioc (57%) avec malheureusement le plus faible rendement moyen (10t/ha) comparé à l’Asie qui affiche un rendement de 21,34 10t/ha en 2016(FAOSTAT, 2017).

Pour lutter contre ces maladies qui se répandent actuellement en Afrique, d’importants investissements ont été réalisés depuis 2014 par Bill et Melinda Gates Foundation (BMGF) et le Department For International Development (DFID) du Royaume Uni à travers un Programme régional dénommé West African Virus Epidemiology (WAVE) for Food Security ou Programme Ouest Africain d’Épidémiologie virale pour la Sécurité Alimentaire.

Le représentant de madame le ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique, Prof Thiam Assane , Directeur de Cabinet, lors de son allocution d’ouverture a exhorté les chercheurs à se mettre ensemble afin d’améliorer considérablement le rendement du manioc et d’être proactifs dans la coopération transfrontalière.

«Le programme West African Virus Epidemiology (WAVE) fait partie des projets majeurs africains qui permettent de créer une synergie entre les ressources scientifiques propres à l’Afrique et la science, pour concourir à l’atteinte de l’autosuffisance alimentaire à travers la production du manioc une denrée essentielle de notre alimentation », a-t-il renchérit.

Quant au directeur exécutif du programme WAVE le docteur Justin PITA, il fait une présentation des actions menées par le programme en Afrique, « WAVE utilise des experts régionaux qui sont sur le terrain et en contact permanent avec les agriculteurs. L’un des principaux rôles de WAVE est de faire en sorte qu’une lutte efficace soit menée contre ces virus qui nécessite une connaissance approfondie de ceux-ci et du mode de propagation des maladies qu’ils causent », a-t-il souligné.

Les résultats des travaux de recherche de WAVE contribueront à la prise de mesures et décisions politiques nécessaires pour prévenir les épidémies virales du manioc en Afrique. Ils contribueront au développement de modèles épidémiologiques de lutte et de prévention et constitueront un soutien aux programmes.

Il faut noter que cette savante rencontre de travail entre experts dudit domaine se tiendra sur trois jours durant, du 11 au 13 avril 2018.

Debank

Réligion/Après une tournée en Europe Le Cheick Moustapha Sonta, le Khalife Général de la Tidjaniya en Côte d’Ivoire a regagné Abidjan

lundi, 09 avril 2018 12:23 Written by

Le Khalife Général de la Tidjaniya en Côte d’Ivoire, Cheick Moustapha Sonta est rentré à Abidjan le vendredi 06 Avril 2018 suite à sa tournée européenne. Cette tournée qui a lieu chaque année, a démarré le 05 mars dernier avec les étapes de Paris, Marseille et Bruxelles.Le Kgtci a été accueilli à son arrivée par des membres du Conseil des Mouqqadams et Guides de la Tidjaniya en Côte d’Ivoire, son secrétaire particulier, le Président du Comité National de Coordination des Activités de la Tidjaniya en Côte d’Ivoire ainsi que par de nombreux talibés qui ne voulaient absolument pas manquer de lui souhaiter une bonne arrivée. Dans la déclaration faite dès son arrivée, le Kgtci a indiqué : ’’je suis très heureux d’être parmi les miens. Durant notre tournée européenne, nous avons animé des conférences sur l’Islam, sur le soufisme et sur la Tidjaniya. Vous savez l’Europe n’est pas facile pour nos frères et enfants qui s’y trouvent. C’est pourquoi, nous leur avons prodigué beaucoup de conseils par rapport à la foi et comment être un bon musulman et tidjane. C’est la raison pour laquelle, le thème de notre conférence était le comportement du musulman ou du croyant face aux épreuves. Tous les jours, en Europe, ce sont des gens qui traversent des épreuves. Je crois le message est bien passé. Car tout s’est très bien déroulé’’. Ce voyage a été l’occasion pour le Kgtci de rendre visite à certaines personnalités religieuses dont les sages du Grand Nord à la résidence du Vieux Touré, l’Imam Ahmed Djiguène de la mosquée Bilal de Marseille et bien d’autres personnalités du monde religieux européen. Après avoir fait des douas afin de remercier toutes les personnes ayant participé de près ou de loin à la réussite de son séjour européen, le Kgtci a dit sa joie de regagner la Côte d’Ivoire.

 Charles K

 Infos Sercom Cncatci

Nuit de Bienfaisance acte 8/Les 3A veulent mobiliser 50 millions pour l’autonomisation des femmes ivoiriennes

lundi, 09 avril 2018 09:35 Written by

L’Amicale des Anciens de l’Association des Elèves et étudiants musulmans de Côte d‘Ivoire (3A) a décidé d’agir en récoltant pour la 8ème édition de la Nuit de bienfaisance une somme de 50 millions Fcfa pour l’autonomisation des femmes. L’annonce a été faite par El Hadj Sayndou Bakayoko au cours d’une conférence de presse, le samedi 7 avril dernier à son siège sis à Cocody Riviera2. Pour le premier responsable des 3A, sa structure veut se démarquer des autres en donnant une bonne compréhension de l’Islam. C’est pourquoi, le 21 avril prochain, à Radisson Blu Abidjan Airport, les 3A comptent mobiliser des ressources (50.000.000 Fcfa) pour la mise en place d’un fonds de lutte contre la pauvreté et de soutien à l'autonomisation des femmes. « Nous revendiquons notre place de citoyen à soigner quelques plaies sociales », lance Sayndou Bakayoko en interpellant toutes les personnes de bonne volonté ainsi que des entreprises et des institutions à les aider à relever ce défi surtout pour toutes les femmes de la Côte d’Ivoire quelle que soit leur religion. Il a signifié également que l’Amicale « s’est donnée entre autre objectif, d'être le leader des changements qualitatifs de la communauté nationale et d’apporter son soutien aux couches les plus vulnérables de la société ».Selon Mme Yakiema Diabaté-Kouyaté, Responsable suivi-évaluation du cabinet des 3A, Directrice de Projet du Diner Gala, Chargé de Programme Compendium des compétences féminines de Côte d’Ivoire « l’objectif principal de la Nuit de Bienfaisance est de lever des fonds afin d'apporter une contribution significative à l'amélioration des conditions de vie des populations vulnérables » précisant que les bénéficiaires seront issues de toutes les confessions religieuses. En plus, indique-t-elle : « les 3A veulent ainsi contribuer à travers la mise en place de ce fonds à lever les obstacles à l’autonomisation des femmes afin de leur offrir des opportunités diversifiées. Car tous, sommes unanimes que l’autonomisation économique des femmes constitue une puissante arme de lutte contre la pauvreté, les inégalités sociales, la discrimination et l'exploitation ». « Nous attendons les cadres, les mécènes, toutes les personnes qui jugent utiles le combat social », a lancé, le Président du Comité d’Organisation El Hadj Ismaël Touré qui a relevé qu’une vente aux enchères, une levée de fonds, des prestations artistiques vont meubler la cérémonie. Notons que la Nuit de Bienfaisance a été initiée en 2009 et a permis en 7 ans de mobiliser environ 100 millions.
Charles Kader
Légende photo : Les membres du bureau des 3A lors de la conférence de presse

Protection de l’environnement /La Fondation Sifca aux côtés de la Sodefor

dimanche, 08 avril 2018 15:23 Written by

 La Fondation Sifca et la Societe de développement  des forêts ( Sodefor) ont signé,  le  jeudi 29 Mars 2018, une convention de partenariat pour la protection des forêts classées de Bamo et Kinkaine, respectivement situées dans les régions de l’Agnéby-Tiassa et du Hambol.  Cette action conjointe, qui permettra de protéger plus de 48 000 ha de forêt, consiste en un appui matériel et financier apporté aux comités de surveillance constitués par les communautés villageoises vivant autour de ces forêts. Couvrant une période de deux ans, ce projet, d’une valeur de 4 800 000 Fcfa, vise à réduire les cas d’agression de ces forêts (abattage d’arbres, orpaillage…). Il répond à la volonté de la Fondation Sifca, de contribuer à la reconstitution du couvert forestier ivoirien. A noter  que  la  cérémonie de signature de cet accord, suivie de remise de chèque, s’est effectuée en présence du Directeur général de la Sodefor, d’une délégation de la Fondation Sifca conduite par M.  Noufé Sié, et des représentants des comités de surveillance. Parce geste, la Fondation  donatrice  réaffirme ainsi son engagement  à contribuer à la préservation de la flore et de la faune, encourager une action environnementale volontaire et citoyenne et promouvoir les actions de préservation de l’environnement

 C .K

Tournoi international de pétanque d’Abidjan: Horest sort le grand jeu

dimanche, 08 avril 2018 14:28 Written by

La ville de Grand Bassam abrite, depuis ce samedi la première édition du Tournoi international de pétanque d’Abidjan (Tipa 2018). Une compétition qui n’aurait pas connu le succès nécessaire sans la contribution significative d’un partenaire, l’Association des hôteliers, restaurateurs et agents du tourisme (Horest) de Grand-Bassam. En effet, l’organisation de cette rencontre internationale a été confiée aux hôteliers avec à leur tête, le président de Horest Ouattara Lancina.

« L’organisation a été confiée à Horest quand l’hébergement et la restauration ont étél’affaire de Warf hôtel et International hôtel. Nous avons fait une réduction de 15% sur les chambres, notre contribution à la promotion de la pétanque en Côte d’Ivoire mais aussi et surtout pour rester toujours dans l’élan 13 mars 2016 », a précisé le président Ouattara Lancina.

Ce jour-là, une attaque terroriste avait frappé la ville de Grand-Bassam où plusieurs personnes avaient trouvé la mort sur les plages.Ce tournoi est pour nous, l’occasion d’amener les gens à venir et à dormir à Bassam.Nous voulons amener les gens à fréquenter à nouveau Grand-Bassam, après ce qui s’est passé, il y a deux ans. « Les gens sont venus de partout dans le monde, Madagascar, France, la Réunion et de pratiquement tous les pays d’Afrique. Environ un millier de personnes qui sont là », a ajouté le patron des hôteliers de Grand-Bassam. Qui se veut reconnaissant envers tous ceux qui ont rendu ce rendez-vous possible.

« Je remercie la Fédération ivoiriennede pétanque pour l’acte qu’elle a posée en choisissant Grand-Bassam pour abriter la compétition, je remercie également le président de la Fédération marocaine de pétanque, M.Mamhoud qui a accepté de parrainer la compétition. C’est la première édition, nous souhaitons qu’elle reste définitivement à Grand Bassam », a émis le président de Horest. Souhaitant rééditer l’exploit, l’année prochaine. M. Ouattara n’oublie pas de remercier aussi les partenaires et tous les pays qui ont fait confiance à la Côte d’Ivoire, en effectuant le déplacement de Grand-Bassam. « Les participants sont très contents de l’accueil, de la restauration ivoirienne. Bassam renait petit-à-petit, et nous avons espoir que les choses iront dans le bon sens », assure-t-il.

L’attaque terroriste du 13 mars 2016 a, au dire du président Ouattara handicapé le développement du tourisme à Grand-Bassam. « Déjà qu’il n’y avait pas d’embellie avec les différentes crises socio-politiques que notre pays a connues. Le 13 mars est venu plomber le peu d’espoir que nous avions pour relever la filière touristique à Grand-Bassam. Nous avons donc constaté une baisse drastique des activités touristiques à Grand-Bassam. Tout simplement le tourisme a pris un coup », confie-t-il.

Depuis lors, le président de Horest multiplie les actions en vue de repositionner la destination touristique de Grand-Bassam dans le cœur des touristes nationaux et internationaux qui, pris de peur après l’attaque du 13 mars 2016, ont abandonné la destination Grand-Bassam.

Sercom Acepnuci

Le PASRES au cœur de la formation et du développement de la recherche scientifique en Côte d’Ivoire

jeudi, 05 avril 2018 06:33 Written by

Le programme d’appui stratégique à la recherche scientifique (PASRES) a mis sur pied un atelier de renforcement des capacités des chercheurs du centre de recherche en écologie (CRE), ce mercredi 4 avril 2018 portant sur la « rédaction d’un projet de recherche et de recherche de financement » à Abidjan-Treichville.


Lors de ces trois journées de formation les différents participants seront instruits sur un certain nombre de modules relatifs à la rédaction d’un projet de recherche fiable et viable par des formateurs émérites et avertis.
En sa qualité de représentant de la directrice du Centre de Recherche Ecologique, M. Ballé Pity, a approuvé et encouragé cette initiative du PASRES vis-à-vis du Centre de Recherche Ecologique dans la mesure où « l’anéantissement des outils de recherches après les excellents résultats produits pendant la période du miracle économique ivoirien a fait place à une misère financière des chercheurs », a-t-il soutenu.


Aussi, avec les acquis des participants, le CRE s’engage à œuvrer pour la mise en place « d’un forum consensuel d’évaluation de la fiabilité des projets », afin de d’amplifier l’impact de la formation, a-t-il rassuré.
Selon le secrétaire exécutif du PASRES, Dr Sangaré Yaya « Si la Côte d’Ivoire veut émerger, elle doit nécessairement investir dans la Recherche et l’Innovation », a-t-il conseillé. En attendant, face aux difficultés d’accès au financement public, les chercheurs doivent mobiliser des ressources additionnelles auprès des bailleurs de fond et organismes subventionnaires.


« Notre ambition, en initiant ces ateliers de formations périodiques, est de contribuer à faire en sorte que nos chercheurs deviennent des acteurs majeurs du développement de notre pays, de par leur capacité à rédiger des projets de recherche à fort potentiel d’innovation et présentant un impact socio-économique bénéfique pour les populations », a-t-il confié.
Par de telles initiatives comme à son habitude, le PASRES œuvre à l’enrichissement et au renforcement des capacités du monde scientifique en Côte d’Ivoire.


Sir Collin’s

Communiqué de Presse: Distinction lutte contre la malaria

mercredi, 04 avril 2018 23:12 Written by

Communiqué de Presse Le Prix « Engagement d’Or contre la Malaria en Afrique » décerné au film-documentaire « MALARIA BUSINESS » de Bernard Crutzen Le Réseau des Journalistes Africains pour la lutte contre le Paludisme (RJAP) et ses partenaires IWERLIEWEN-BELHERB, décernent le Prix « Engagement d’Or contre la Malaria en Afrique » au film documentaire « Malaria Business » de Bernard Crutzen. Le réalisateur belge, à travers son œuvre, est la 2ème personne à recevoir cette distinction, après la burundaise Ginette Karirekinyana en 2016. Le lauréat 2018 du Prix « Engagement d’Or contre la Malaria en Afrique » est un journaliste au choix de thèmes pertinents. Le film Malaria Business, réalisé par Bernard Crutzen et commenté par l’actrice Juliette Binoche, porte sur une maladie qui continue de faire de nombreuses vitimes en Afrique. Le prix décerné à Bernard Crutzen et à son oeuvre, récompense sa démarche très professionnelle en tant que journaliste, dans les dynamiques de sensibilisation, de compréhension et dont de lutte contre le paludisme. La démarche du journaliste a séduit à cet effet tous les membres du jury, composé de personnalités indépendantes de plusieurs horizons : Paul Nyemb Ntoogue du Cameroun, Président du RJAP ; Simone Braas, Présidente de Iwerliewen ; Hugo Woestman de Belgique, ancien Directeur à la Banque Européenne d’Investissement (BEI) et vice-président de Iwerliewen; Bruce Djim Adjim du Tchad, Secrétaire Général du RJAP ; Marc Wagner du Luxembourg, Admnistrateur de Belherb. Bernard Crutzen a fait montre d’équilibre entre les différentes sources contradictoires et donne la parole à des acteurs aux intérêts opposés. Il a sillonné dans cette perspective la planète, du Maniema en RDC à la Guyane française, du Sénégal en Suisse, notamment à Genève, siège de l'Organisation mondiale de la santé (OMS). Le lauréat amène à comprendre à travers lui, pourquoi l’OMS déconseille les africains à recourir à une plante dont les vertus théapeutiques contre le paludisme sont prouvées. Il part du constat simple que les cas de paludisme sont en baisse dans les villages Africains où on consomme une plante, l'artemisia annua ou l'artemisia afra. Il fait état d'études scientifiques et médicales conduites en Afrique, aux Etats-Unis et en Europe qui confirment les vertus thérapeutiques de ces plantes consommées sous forme de tisanes, de poudres ou de cachets d'extraits naturels. Selon le Pr Pierre Lutgen, dont l’intervention dans le documentaire est fort appréciée « cette distinction qui vient s’ajouter à plusieurs autres depuis que ce film documentaire est sorti, constitue une reconnaissance, non seulement au travail de Bernard Crutzen mais, je le dis encore, à toutes des dynamiques véritablement engagées pour l’éradication du paludisme en Afrique». Créé en février 2015 lors des assises de N’Djamena, le Prix « Engagement d’Or contre la Malaria » est la plus grande distinction décernée par le Réseau des Journalistes Africains pour la lutte Contre le Paludisme (RJAP) à un acteur majeur du combat contre la terrible pandémie. Pour Paul NYEMB NTOOGUE, le Président du RJAP, « Malaria Business n’appelle pas seulement le corps social à mettre fin à la mafia autour du paludisme et à l’éradication de cette pandémie ; ce documentaire doit inspirer tous les journalistes africains à s’investir dans derrière les causes nobles » Bernard Crutzen recevra son prix à Niederanven, en fin avril, mois de célébration de lutte contre le paludisme. Douala, le 04 avril 2018 NYEMB NTOOGUE Paul Réseau des Journalistes Africains pour la lutte contre le Paludisme (RJAP),

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