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vendredi 28 mars 2025
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Economie/37é RPE- Les rencontres professionnelles des entreprises de Pme Magazine

mardi, 25 mars 2025 17:50 Written by

Dans le cadre des célébrations du 8 Mars, La 37ème édition des RPE a mis en lumière les parcours inspirants et voies de succès des femmes dans l’Economie, le jeudi 20 mars 2025 à Abidjan/ Marcory Novotel autour d'un Déjeuner-Débat sur le thème : « Les femmes dans l'économie ivoirienne, parcours inspirants et voies de succès ». Des dirigeantes de renom ont partagé leurs expériences et leurs stratégies pour réussir. Organisée dans l'esprit de la Journée Internationale des droits de la femme, le cadre était bon pour examiner de manière globale la place des femmes dans l’économie ivoirienne et de mettre en lumière l’impact des femmes dans le développement économique du pays.
Célébrer les parcours inspirants de femmes leaders dans l'économie ivoirienne, c'était l'objectif de la 37ème édition des Rencontres Professionnelles de l'Entreprise (RPE), organisée par PME Magazine et Business24 Africa. Un déjeuner-débat qui s'inscrit dans l'esprit de la Journée Internationale des Droits de la Femme, mettant en lumière l'engagement et la réussite de ces femmes dans des secteurs variés et stratégiques.

Lucien AGBIA, Dg PME Magazine a situé le contexte de cette célébration des femmes en ce 8 Mars. « Nous avons voulu aller au-delà de la traditionnelle distribution de pages et de rendre un hommage particulier aux femmes présentes dans le Top Management de l’économie et des affaires en Côte d’Ivoire. » Beaucoup de femmes occupent des postes positions de haut niveau dans des entreprises ivoiriennes et des organisations professionnelles, soit en qualité d’entrepreneures dirigeant des entreprises qu’elles ont créées. Des femmes dirigent aujourd’hui avec compétences de très grandes entreprises à l’image de celles qui sont à l’honneur dans cette édition spéciale PME MAG 8 Mars en Entreprises qui sont les conférencières invitées de la 37e édition des RPE au parcours inspirant et qui ont accepté de partager avec un auditoire féminin leurs parcours inspirants, les défis et les stratégies misent en place pour surmonter les obstacles.
D'abord, Mariam BAMBA, Directrice générale de FIN'Elle, une filiale du groupe Cofina dédiée à l'inclusion financière des femmes. Juriste de formation, elle a sillonné plusieurs pays avant de constater un obstacle récurrent : l'accès aux financements pour les femmes entrepreneures. Avec détermination et vision, elle s'attelle à répondre à cette problématique.

 

Autre parcours inspirant, celui d'Olga YENOU, Directrice générale de Tafissa, qui a relevé le défi de la transformation du cacao, un secteur clé pour l'économie ivoirienne. Son secret ? Une discipline financière rigoureuse et un soutien familial infaillible. Pour elle, l'autonomisation passe aussi par l'épargne et une bonne gestion de ses ressources.
Dans le domaine de l'industrie sucrière, Roseline BAROAN, Directrice Générale Adjointe de SUCAF-CI, défend l'idée que les femmes doivent aspirer aux plus hautes fonctions, y compris en politique. Pour elle, l'équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle est essentiel pour durer dans le monde des affaires.

Cette édition des RPE prouve une fois de plus que les femmes sont des piliers incontournables de l'économie ivoirienne, et que leur contribution mérite d'être encouragée et valorisée. Un exemple fort pour inspirer les générations futures.

La Modération de la présente conférence a été assurée par Mme Rose DON MELLO, un modèle pour de nombreuses femmes souhaitant réussir. Son parcours inspirant force le respect et l’administration. Elle reste une figure importante dans le paysage économique Ivoirien au regard de ses fonctions en entreprises et de son engagement et implication dans les organisations patronales.

Et tous ces succès doivent être relayés afin de servir de rampes d’encouragement et de motivation pour de futures initiatives. Pour nous, le 8 Mars doit être une grande journée dédiée à l’économie et aux femmes de l’économie.
Bamba M. Avec sercom

Finalisation travaux de l’échangeur Faya- La CIE annonce des perturbations électriques pour mener à bien les travaux demandés par AGEROUTE

mardi, 25 mars 2025 09:01 Written by

Le 22 mars 2025, lors d'une rencontre avec les journalistes, il a été annoncé que l’échangeur du carrefour Faya, un projet emblématique de la commune de Cocody, arrive à sa phase finale. Cependant, avant son ouverture au grand public, des travaux essentiels, notamment le rehaussement de deux pylônes électriques pour garantir la sécurité des usagers, doivent être réalisés. Ainsi, pour traiter ce défi de taille la Compagnie Ivoirienne d'Électricité (CIE) a été sollicitée.
En effet, sous la supervision de l’Ageroute, la CIE s'attelle au rehaussement de deux pylônes électriques situés de part et d'autre de l'échangeur. Par conséquent, ces travaux visent à porter la hauteur des lignes haute tension à au moins 10 mètres, afin de dépasser largement la distance minimale requise de 6 mètres. « Il est impératif de respecter cette norme pour prévenir tout risque d’électrisation, d’électrocution ou d'incendie », a souligné Touré Ibrahim, Directeur d'exploitation, transport d'énergie à la CIE.
Dès lors, les équipes techniques de la CIE, mènent ces opérations avec une précision et une rigueur exemplaires. Ainsi, chaque étape, y compris la mise hors tension temporaire des lignes et leur rehaussement, est pensée pour minimiser les impacts, tout en garantissant un niveau de sécurité maximal.
Toutefois, ces travaux, bien que nécessaires, engendreront des perturbations temporaires dans l'approvisionnement en électricité pour certaines communes du 22 mars au 5 avril 2025, il s’agit de Cocody, Bingerville, Koumassi, Marcory, Port-Bouët, Adjamé, Bassam et Bonoua. Néanmoins, Touré Ibrahim a tenu à rassurer les populations : « Nos équipes travaillent sans relâche pour réduire la durée des perturbations et garantir une réactivité optimale en cas d’incident. »
Ainsi, avec ce projet, la CIE illustre sa capacité à répondre aux défis techniques les plus complexes, tout en préservant la sécurité des infrastructures et des populations. Enfin, ce chantier s’inscrit dans une vision plus large, celle de participer activement au développement des infrastructures du pays.
Par ailleur, une campagne de communication est en cours pour informer les différents usagers. Un point sur l’évolution de la situation est prévu cette semaine.
Bamba M.

 

 

 

 

Mines, pétrole, énergie -La Côte d’Ivoire achève son roadshow sur des notes positives à Washington

vendredi, 21 mars 2025 12:28 Written by

Après Houston et New York, la Côte d’Ivoire a poursuivi sa tournée économique à Washington DC, dernière escale de son roadshow de promotion du secteur extractif. Institutions financières, think tanks, secteur privé: Mamadou Sangafowa Coulibaly, ministre des Mines, du Pétrole et de l’Énergie, y a reçu un accueil de haut niveau, témoignant de l’intérêt croissant des États-Unis pour un pays qui se positionne comme un acteur majeur des ressources extractives en Afrique. Le 18 mars, au State Department, l’équivalent du ministère des Affaires étrangères américain, le ministre a mis en avant le potentiel du sous-sol ivoirien, présentant la carte géologique du pays et soulignant les ambitions de la Côte d’Ivoire de figurer parmi les cinq plus grands producteurs de pétrole du continent et le premier producteur d’or d’Afrique dans la prochaine décennie.
Un plaidoyer pour capter des financements américains
La veille, la délégation ivoirienne a tenu une série de réunions stratégiques avec EXIM Bank, la banque américaine d’import-export, et la Development Finance Corporation (DFC), institution spécialisée dans le financement du développement. L’objectif était de mobiliser des fonds pour soutenir les entreprises américaines intéressées par le marché ivoirien, mais aussi pour financer des infrastructures essentielles à la croissance du secteur extractif. La Côte d’Ivoire souhaite obtenir des financements non seulement pour des projets économiquement rentables, mais aussi pour des infrastructures structurantes permettant de moderniser toute la chaîne de valeur de l’industrie minière et pétrolière. La DFC s’est engagée à poursuivre les discussions via sa représentation régionale à Abidjan, afin de finaliser des accords dans les meilleurs délais.
Séduire le secteur privé américain
Parallèlement aux discussions institutionnelles, Mamadou Sangafowa Coulibaly a échangé avec la communauté d’affaires américaine, lors d’une table ronde organisée à l’US Chamber of Commerce, la plus grande organisation patronale mondiale. L’objectif était de présenter les opportunités d’investissement en Côte d’Ivoire et d’accélérer les discussions en cours avec plusieurs entreprises américaines. Le ministre a rappelé que la production pétrolière ivoirienne, actuellement de 60 000 barils par jour grâce au gisement Baleine, pourrait dépasser les 200 000 barils d’ici 2027, et que l’industrie minière connaît une croissance accélérée.
Lors de cette rencontre, Kendra Gaither, présidente de l’US-Africa Business Center, a souligné que la Côte d’Ivoire constitue une destination de plus en plus attrayante pour les investisseurs américains, notamment en raison de ses réformes économiques et réglementaires. Elle a mis en avant l’intérêt croissant des entreprises américaines pour les minéraux critiques, un enjeu majeur dans la transition énergétique mondiale et un domaine où la Côte d’Ivoire commence à se positionner stratégiquement. Dr Guevera Yao, vice-président de l’US-Africa Business Center, a insisté sur l’importance de cette tournée ministérielle, qui favorise une meilleure compréhension du marché ivoirien et attire un nombre croissant d’investisseurs américains, traditionnellement tournés vers les pays anglophones du continent.
Affiner la stratégie avec les think tanks américains
En parallèle de ses rencontres économiques, Mamadou Sangafowa Coulibaly a approfondi les réflexions stratégiques sur la gouvernance des ressources extractives avec le Brookings Institute, l’un des think tanks les plus influents au monde. Accompagné de Brahima Coulibaly, vice-président du programme Économie mondiale et développement, et du professeur Landry Signé, spécialiste de l’Afrique, il a exploré les meilleures pratiques internationales en matière d’exploitation des ressources naturelles et discuté des moyens d’optimiser l’impact de l’industrie extractive sur le développement économique. Brookings s’est engagé à partager ses recherches avec la Côte d’Ivoire et à examiner les opportunités de soutien financier pour les projets stratégiques du pays.
Cette rencontre s’inscrit dans la continuité des échanges initiés avec Atlantic Council, un autre centre de réflexion influent. Le 17 mars, le ministre avait déjà rencontré Rama Yade, directrice de l’Africa Center, qui avait exprimé la volonté d’Atlantic Council de collaborer avec la Côte d’Ivoire, en particulier sur les enjeux liés aux ressources naturelles.
Un roadshow réussi, des perspectives prometteuses
Avec cette dernière étape à Washington, la Côte d’Ivoire a consolidé son attractivité auprès des institutions financières, des investisseurs et des décideurs américains. Le roadshow du ministre Mamadou Sangafowa Coulibaly a permis d’ouvrir des discussions stratégiques sur des projets clés, aussi bien avec des entreprises privées qu’avec des organismes de financement, pour soutenir la croissance du secteur extractif ivoirien. Des échanges qui augurent de bonnes perspectives pour le pays.
Bamba M avec sercom

 

 

Intelligence artificielle et son impact sur la paix, la sécurité et la gouvernance en Afrique- Réunion ministérielle, sous Présidence marocaine, du CPS-UA

jeudi, 20 mars 2025 08:05 Written by


Le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l’étranger, Nasser Bourita, présidera, jeudi par visioconférence, une réunion ministérielle du Conseil de Paix et de Sécurité de l’Union Africaine (CPS-UA) sur “L’intelligence artificielle et son impact sur la paix, la sécurité et la gouvernance en Afrique”.

Cette réunion, qui se tiendra sous la Présidence marocaine du Conseil de Paix et de Sécurité de l’Union Africaine pour le mois de mars 2025, connaîtra la participation des ministres des Affaires étrangères des pays membres du CPS, ainsi que des experts et des représentants d’institutions spécialisées, afin d’examiner les opportunités et défis liés à l’intelligence artificielle et son impact sur la paix, la sécurité et la gouvernance en Afrique.

Première de son genre au niveau ministériel, cette réunion intervient dans le prolongement, au niveau africain, des efforts déployés par le Royaume à l’échelle internationale en faveur de l’utilisation rationnelle et responsable de l’intelligence artificielle au service de la paix, de la sécurité et du développement.

Ces efforts ont été couronnés par l’adoption, en 2024, de la résolution de l’Assemblée générale des Nations Unies N°A/78/L.49 sur cette thématique, à l’initiative conjointe du Maroc et des Etats-Unis.

Se positionnant comme un acteur majeur dans le domaine de l’intelligence artificielle (IA), le Maroc a progressé de 11 places en 2024 dans le classement mondial du Global Digitalization Index, et nourrit l’ambition de figurer, d’ici 2030, parmi les leaders africains en la matière.

Les percées du Maroc dans le domaine de l’IA lui confèrent une grande visibilité sur le continent africain, et le prédispose à devenir un hub de l’IA et du numérique au niveau du continent.
MAP EXPRESS

Visite de travail du ministre Sangafowa aux États-Unis- Des majors annoncent leur intention d’investir massivement dans l’offshore ivoirien

vendredi, 14 mars 2025 06:30 Written by


À la faveur du CERAWeek 2025 à Houston, plusieurs majors, dont BP, PETROBRAS et VITOL, ont annoncé leur intention d’investir massivement dans l’offshore ivoirien. Entre retours stratégiques, nouveaux entrants et renforcements d’engagements, le pays se positionne comme une destination de choix pour les grandes compagnies pétrolières. Rapporte une note des services du ministère ivoirien des Mines, du pétrole et de l’énergie.
Selon une note officielle dudit ministère à la presse, une dynamique qui s’inscrit dans le sillage des découvertes majeures de gisements et des réformes engagées pour offrir un cadre attractif aux investisseurs. Une nouvelle ère énergétique s’ouvre pour la Côte d’Ivoire.
En marge du CERAWeek 2025 à Houston, plusieurs compagnies pétrolières de premier plan ont annoncé leur intention d’investir dans l’offshore ivoirien. Le roadshow mené par Mamadou Sangafowa Coulibaly, ministre des Mines, du Pétrole et de l’Énergie, commence déjà à porter ses fruits.
Cinq compagnies pétrolières, dont deux majors du top 10 mondial, ont ainsi fait part de leur volonté d’engager des investissements significatifs en Côte d’Ivoire à l’issue de séances de travail stratégiques avec la délégation .
Dix ans après son retrait du pays, BP signe son grand retour en Côte d’Ivoire. Le 12 mars, les représentants du géant britannique ont informé Mamadou Sangafowa Coulibaly de la décision de réinvestir dans l’exploration pétrolière ivoirienne, une initiative qui s’inscrit dans la nouvelle stratégie de son conseil d’administration.
Dans un premier temps, BP prévoit d’acquérir les données des études préliminaires sur le bassin sédimentaire ivoirien afin d’affiner ses choix de blocs à explorer. Selon ses émissaires, ce retour est motivé par l’environnement d’investissement stable du pays, une gouvernance transparente et les récentes découvertes pétrolières majeures, des éléments qui ont convaincu le groupe de renouer avec l’exploration en Côte d’Ivoire.

PETROBRAS, un nouvel acteur de poids sur le marché ivoirien
Autre annonce de premier plan, la compagnie brésilienne PETROBRAS fera son entrée en Côte d’Ivoire. Magda Chambriard, PDG du groupe, a officialisé cette décision le 10 mars, à l’issue d’une rencontre avec le ministre Mamadou Sangafowa Coulibaly. PETROBRAS prévoit d’acquérir des données sur quatre blocs offshore identifiés et d’explorer un partenariat avec PETROCI.
« Les bassins sédimentaires de la Côte d’Ivoire et du Brésil partagent des similitudes géologiques significatives. Dans le cadre de la coopération Sud-Sud, nous pourrions mettre en commun nos expériences et expertises », a expliqué Magda Chambriard.
Une collaboration que le ministre ivoirien a saluée, soulignant que PETROBRAS, acteur intégré sur toute la chaîne de valeur du secteur pétrolier dont la Côte d’Ivoire veut s’inspirer, pourrait jouer un rôle clé dans le développement industriel du pays.
Le géant suisse du négoce pétrolier VITOL, déjà actif en Côte d’Ivoire à travers la distribution de produits pétroliers, a annoncé son intention d’étendre ses activités à l’exploration offshore. L’entreprise participera à des consortiums spécialisés dans la recherche pétrolière pour identifier de nouveaux gisements exploitables.
Par ailleurs, la société indépendante VAALCO Energy, basée à Houston, a affiché un intérêt accru pour quatre nouveaux blocs offshore. Ce nouvel engagement fait suite à l’acquisition de son premier bloc en Côte d’Ivoire en mars 2025, une transaction qui témoigne de la confiance croissante des compagnies pétrolières envers le marché ivoirien.
Murphy Oil, autre acteur majeur basé à Houston, a déjà pris une longueur d’avance. La société prévoit de réaliser son premier forage en Côte d’Ivoire avant fin 2025, selon Mamadou Sangafowa Coulibaly. Murphy détient actuellement cinq blocs offshore, dont l’un contient des réserves prouvées de gaz naturel, consolidant ainsi son positionnement dans le pays.

Ces annonces d’investissements interviennent alors que les États-Unis réaffirment leur engagement aux côtés de la Côte d’Ivoire dans le développement de son secteur pétrolier. Le 11 mars, en marge du CERAWeek, une réunion ministérielle a réuni plusieurs ministres africains des hydrocarbures et Chris Wright, secrétaire américain à l’Énergie.
Fait marquant, la Côte d’Ivoire était le seul pays francophone subsaharien invité, aux côtés des poids lourds du secteur que sont le Nigeria, l’Angola et l’Égypte. Lors de ces échanges, Chris Wright a souligné la volonté de l’administration américaine d’accompagner l’Afrique dans l’exploitation de ses ressources énergétiques, avec pour objectif d’améliorer l’accès à l’électricité et aux solutions de cuisson propres.
Au cours de son entretien avec Mamadou Sangafowa Coulibaly, le secrétaire américain a exprimé son engagement à encourager les compagnies et investisseurs américains à explorer les opportunités offertes par l’industrie pétrolière ivoirienne. Un signal pour Abidjan et un soutien de poids qui augure de bonnes perspectives pour le pays.
Un roadshow couronné de succès avant l’étape de New York
Mamadou Sangafowa Coulibaly s’est félicité des résultats tangibles obtenus lors de cette première étape de ce roadshow américain. Selon lui, les engagements exprimés par BP, PETROBRAS, VITOL et VAALCO sont une nouvelle preuve de la confiance croissante des investisseurs dans le potentiel énergétique ivoirien. Il a rappelé que ces avancées s’inscrivent pleinement dans la vision du président de la République Alassane Ouattara, qui a permis à la Côte d’Ivoire de se hisser parmi les dix plus grandes économies africaines.

Bamba M.

Circulation des biens-L’ Alliance Borderless expose les entraves sur des corridors ivoiriens

jeudi, 13 mars 2025 21:12 Written by

 Le Comité national Côte d’Ivoire de l’Alliance Borderless a ouvert ses activités pour l’exercice 2025, le mardi 11 mars 2025 à Abidjan Plateau. Ce   à l’occasion d’un atelier sur « la compétitivité des corridors de transit et fluidité de la desserte des ports ».

Dans un environnement de plus en plus concurrentiel, les corridors Abidjan-Pôgô et San Pedro Tengrela sont jalonnés par des pratiques qui font gravement entrave à la libre circulation.

 Selon le président de l’Alliance Borderless, Jonas Lago, il faut que les autorités parties prenantes dans la facilitation du commerce y jettent un regard au plus vite. Dans le cas contraire, c’est la compétitivité des deux ports ivoiriens qui en partirait.

Pour preuve plusieurs postes d’observation qui se transforment en postes de contrôle et annexent l’autoroute du Nord. Au moins 45 points de contrôle sont alignés sur le corridor Abidjan-Ouangolo-Pôgô d’environ 700km. A distance presqu’égale, le corridor Lomé-Cinkansé (650km) reliant le Togo au Burkina Faso ne compte que cinq postes de contrôle.

A la multiplicité des barrages s’ajoutent d’importantes sommes d’argent prélevées aux transporteurs par les forces de sécurité, comme faux frais, et une zone de « no mans land » entre Laléraba à Niangologo où règne la totale insécurité. L’étude réalisée par le Comité national de l’Alliance Borderless déplore également le mauvais état de la route en particulier les axes Kani-Séguéla ; Séguéla- Daloa et Issia-Soubré et le non-respect de la réglementation par les acteurs du transport routier. Ce qui expose ces derniers à toute sorte de racket. Ce constat a été présenté au premier panel de l’atelier, dans la salle de conférence de la Chambre de commerce et d’industrie (Cci-CI), institution hôte de l’organisation.

« L’Alliance Borderless souhaite des propositions concrètes et pratiques des acteurs publics et privés afin de rendre les corridors Abidjan-Ouangolo-Pogo et San-Pédro-Tengrela qui supportent plus de 90% de la déserte par voie routière de trafics des marchandises, plus compétitifs », a conclu M. Lago.

 

Des transporteurs épuisés par le racket

 Pour leur part,   MM. Hamed Doumbia et Bamba Daouda, respectivement président national de la Confédération des syndicats des conducteurs routiers d’Afrique de l’Ouest (Cscrao) et Secrétaire général de l’Union des conducteurs routiers d’Afrique de l’Ouest Mauritanie et Maroc (Ucrao). M. Bamba a particulièrement déploré la mauvaise publicité que font supporter les faux frais à la compétitivité des ports ivoiriens.

 Ce sont, d'après l'intervenant, entre 28 000 et 30 000 Fcfa qui sont exigés par camion à chaque barrage. Des frais qui sortent le plus souvent des poches des conducteurs de poids lourds. « Aujourd’hui quand on dit à un transporteur de l’hinterland que sa prochaine destination est la Côte d’Ivoire, il est aussitôt envahi par la crainte ».

Comme solutions à cet état de fait, le Directeur général adjoint du Haut conseil du patronat des entreprises de transport routier (HCPETR-CI), Salif Samaké, a demandé un soutien collectif, en vue de la sensibilisation et du renforcement des capacités des transporteurs.

Tout en disant prendre acte, le représentant de la police nationale, le Commissaire principal Irié Bi S. Etienne, a expliqué la présence des forces de sécurité sur les axes routiers par le souci de dissuader les coupeurs de routes, surtout sur les tronçons fortement dégradés du corridor San Pedro-Tengrela. Il a fait remarquer que les choses « s’améliorent », notamment en raison de la réhabilitation de certaines voies.

 

 

Par la voix de M. Coulibaly Vincent, Directeur des transports routier et ferroviaire, le ministère des transports a porté la caution solennelle à ce temps de travail et d’échanges. Il a souligné qu’il est temps pour la Côte d’Ivoire de redoubler de vigilance et de ne pas tourner le dos aux clients traditionnels que sont le Mali et le Niger, si le pays ne veut pas se laisser distancer par les ports concurrents.

« Le ministère se fera fort de faire avancer des choses et nous restons ouverts. Nous devons nous donner les mains pour trouver les solutions et aider les transporteurs », a-t-il conseillé.

 

L’atelier a réuni une bonne palette de représentants d’organisations communautaires comme la Cédéao et d’institutions publiques dont le ministère des affaires étrangères et de l’intégration africaine, de même que l police nationale et les Douanes. L’Office ivoirien des chargeurs (Oic), l’Observatoire de la fluidité des transports (Oft) les communautés portuaires d’Abidjan et de San Pedro, les entreprises privées telles que la Sitarail, Sotaci et l’Union des grandes entreprises et industrie de Côte d’Ivoire (Ugeci)ont pris une part très active à cette rencontre

B. M avec sercom

Mine, Pétrole, Énergie - Sangafowa Coulibaly « drague » les investisseurs aux Etats-Unis

mercredi, 12 mars 2025 07:00 Written by

La ville, Houston. Capitale du Texas, Etat pétrolier des Etats- Unis. C’est ici qu’a démarré le 10 mars 2025, la 43ᵉ édition du CERAWeek, l’un des plus grands rendez-vous mondiaux de l’énergie.

C’est ici aussi qu’a commencé la grande offensive du ministre Mamadou Sangafowa Coulibaly en charge des Mines, du Pétrole et de l’Énergie. Il est à Houston pour présenter au forum les potentialités économiques de la Côte d’Ivoire. In fine, attirer de nouveaux investisseurs et partenaires. C’est toute l’industrie extractive et énergétique qui est visée.

La délégation ivoirienne conduite par le ministre Mamadou Sangafowa Coulibaly est à la tâche aux Etats- Unis. Elle prépare le prochain grand bond en avant du pays d’Alassane Ouattara. Un pays qui a réussi merveilleusement son Salon international des ressources extractives et énergétiques, le Sirex 2025.

Le CERAWeek, l’un des plus grands rendez-vous mondiaux de l’énergie, rassemble chaque année les acteurs clés du secteur, dirigeants industriels, experts et décideurs politiques, pour débattre des défis et opportunités du marché énergétique

Bamba M.

JIF2025 en entreprise- L’évènement célébré avec enthousiasme à l’Oic

mardi, 11 mars 2025 20:39 Written by

C’est avec faste et enthousiasme, relevés d’une conférence assaisonnée portant sur le thème : « Leadership féminin et les défis du 21ème siècle », développé par la très dynamique Danielle Lidégoué épouse Cissé, que les vaillantes femmes de l’Office ivoirien des chargeurs (Oic), ont célébré la 48e journée internationale des droits de la femme le lundi 10 mars 2025 à leur siège.
En l’absence de M. Sidibé Ysssouf, le Directeur général de l’Oic, c’est son conseiller technique M. Anelone Edmond qui a officié cette sympathique cérémonie animée de main de maître par Viviane Dogbo du service communication. La série des allocutions a été ouverte par madame Thiam Fatou, la présidente de l’Amicale des femmes de l’Oic (Af-Oic). Dans son adresse, elle a, au nom de toutes les femmes de l’entreprise, traduit son infinie gratitude à leur Directeur général qui ne ménage aucun effort à leur donner entièrement satisfaction.
Ensuite, donnant son avis sur le thème national relatif au bilan de trente ans de célébration en Côte d’Ivoire, elle a reconnu que beaucoup d’efforts ont été faits avec des avantages indéniables, non sans estimer que beaucoup reste à faire. Cependant, elle a expliqué qu’ensemble, assez peut encore se réaliser. Quant à Anelone Edmond, parlant au nom de son Directeur général, il a tenu un discours d’anthologie, rappelant que le thème national de cette année résonne avec les valeurs de l’Oic, l’exhortant et l’encouragent davantage à un transport plus efficace et plus inclusif.
C’est pourquoi, au nom du Dg l’Oic, Anelone a affirmé sans ambages que cette structure s’engage à résolument accompagner les femmes afin qu’elles puissent accéder à plus de postes encore. Dans la mesure où, selon lui, lorsque les femmes progressent, c’est toute la société qui avance.
Dégustant sa conférence, madame Danielle Lidégoué épouse Cissé, Mme Danielle CISSÉ Bacongo, a d’emblée fait l’historique de la journée internationales des droits des femmes.
Si elle a expliqué que des droits ont longtemps été réservés aux hommes, elle n’a pas non plus omis de souligner les avancées notables réalisés jusqu’à ce jour. S’agissant des défis à relever, elle a évoqué les dix-sept Objectifs du millénaire pour le développement durable qui convergent tous vers un monde idéal où le travail décent pour les deux genres et la réduction des inégalités se côtoient au quotidien.
Koné De Sayara

 

Les audiences de la Première Dame- Dominique Ouattara reçoit la Directrice Pays de la Banque Mondiale

mardi, 11 mars 2025 20:28 Written by

La Première Dame, Madame Dominique Ouattara, a reçu en audience Madame Marie Chantal Uwanyiligira, Directrice Pays de la Banque Mondiale pour la Côte d’Ivoire, le Bénin, la Guinée et le Togo, le mardi 11 mars 2025, à ses bureaux à Cocody. Cette rencontre a été l’occasion pour les deux femmes d’échanger sur des sujets d’intérêt commun, notamment dans les domaines de l’éducation, de la santé et de l’entrepreneuriat.  A appris le site afrikchallenges.info    des services du Cabinet de la Première Dame.

Selon cette source officielle, à l’issue de cette audience, Madame Marie Chantal Uwanyiligira a salué l’engagement et les actions de la Première Dame à travers sa Fondation Children of Africa, qui œuvre depuis plus de 25 ans en faveur des populations vulnérables, en particulier des enfants et des femmes. Elle a exprimé son admiration pour l’ampleur du travail accompli et la pertinence des initiatives mises en place.

 

Une convergence d’actions au service des jeunes filles

 

Madame Uwanyiligira a mis en avant les synergies possibles entre la Banque Mondiale et la Fondation Children of Africa, notamment pour le maintien des jeunes filles à l’école. Elle a souligné l’importance de l’éducation des filles en déclarant : « Une fille qui apprend est une fille qui gagne. » Cette vision rejoint celle portée par la Première Dame, qui a toujours œuvré pour la scolarisation et l’autonomisation des jeunes filles.

 

Selon la Directrice Pays de la Banque Mondiale, cette audience avait également pour objectif d’identifier des opportunités de partenariat afin de renforcer et d’amplifier les initiatives déjà en place. « Nous voulons utiliser sa plateforme pour toucher encore plus de bénéficiaires, notamment les populations les plus vulnérables », a-t-elle affirmé.

 

Un engagement commun contre la pauvreté

 

Madame Uwanyiligira a rappelé que la Banque Mondiale, dont la mission principale est la lutte contre la pauvreté, partage les mêmes préoccupations que la Première Dame, qui place la cause des plus démunis au cœur de ses actions. « Nous prêchons à une convertie », a-t-elle souligné avec enthousiasme, insistant sur le fait que la Première Dame et sa Fondation sont déjà très actives dans ces domaines.

 

Enfin, elle a exprimé sa satisfaction quant à l’accueil chaleureux qui lui a été réservé et son admiration pour l’ampleur du travail réalisé par Madame Dominique Ouattara. « Je suis très heureuse de l’avoir rencontrée et très impressionnée par le travail qu’elle fait », a-t-elle conclu.

 

Cette audience marque ainsi une étape importante dans la collaboration entre la Banque Mondiale et la Fondation Children of Africa, avec pour ambition commune d’améliorer les conditions de vie des populations les plus fragiles et de promouvoir un avenir meilleur pour les jeunes filles de Côte d’Ivoire et de la région.

 Bamba M.

Les audiences de la Première Dame- Dominique Ouattara reçoit la Directrice Pays de la Banque Mondiale

mardi, 11 mars 2025 20:28 Written by

La Première Dame, Madame Dominique Ouattara, a reçu en audience Madame Marie Chantal Uwanyiligira, Directrice Pays de la Banque Mondiale pour la Côte d’Ivoire, le Bénin, la Guinée et le Togo, le mardi 11 mars 2025, à ses bureaux à Cocody. Cette rencontre a été l’occasion pour les deux femmes d’échanger sur des sujets d’intérêt commun, notamment dans les domaines de l’éducation, de la santé et de l’entrepreneuriat.  A appris le site afrikchallenges.info    des services du Cabinet de la Première Dame.

Selon cette source officielle, à l’issue de cette audience, Madame Marie Chantal Uwanyiligira a salué l’engagement et les actions de la Première Dame à travers sa Fondation Children of Africa, qui œuvre depuis plus de 25 ans en faveur des populations vulnérables, en particulier des enfants et des femmes. Elle a exprimé son admiration pour l’ampleur du travail accompli et la pertinence des initiatives mises en place.

 

Une convergence d’actions au service des jeunes filles

 

Madame Uwanyiligira a mis en avant les synergies possibles entre la Banque Mondiale et la Fondation Children of Africa, notamment pour le maintien des jeunes filles à l’école. Elle a souligné l’importance de l’éducation des filles en déclarant : « Une fille qui apprend est une fille qui gagne. » Cette vision rejoint celle portée par la Première Dame, qui a toujours œuvré pour la scolarisation et l’autonomisation des jeunes filles.

 

Selon la Directrice Pays de la Banque Mondiale, cette audience avait également pour objectif d’identifier des opportunités de partenariat afin de renforcer et d’amplifier les initiatives déjà en place. « Nous voulons utiliser sa plateforme pour toucher encore plus de bénéficiaires, notamment les populations les plus vulnérables », a-t-elle affirmé.

 

Un engagement commun contre la pauvreté

 

Madame Uwanyiligira a rappelé que la Banque Mondiale, dont la mission principale est la lutte contre la pauvreté, partage les mêmes préoccupations que la Première Dame, qui place la cause des plus démunis au cœur de ses actions. « Nous prêchons à une convertie », a-t-elle souligné avec enthousiasme, insistant sur le fait que la Première Dame et sa Fondation sont déjà très actives dans ces domaines.

 

Enfin, elle a exprimé sa satisfaction quant à l’accueil chaleureux qui lui a été réservé et son admiration pour l’ampleur du travail réalisé par Madame Dominique Ouattara. « Je suis très heureuse de l’avoir rencontrée et très impressionnée par le travail qu’elle fait », a-t-elle conclu.

 

Cette audience marque ainsi une étape importante dans la collaboration entre la Banque Mondiale et la Fondation Children of Africa, avec pour ambition commune d’améliorer les conditions de vie des populations les plus fragiles et de promouvoir un avenir meilleur pour les jeunes filles de Côte d’Ivoire et de la région.

 Bamba M.

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