
Economie (1196)
BTP // Koné Lamine pdt Gibtp à la cérémonie d’ouverture SIA2024 // «En 2023, notre secteur a contribué à hauteur de 7,5% au Pib »
mercredi, 13 novembre 2024 16:14 Written by Admin« (…)Au nom du Conseil d’Administration du GIBTP et en mon nom personnel, je voudrais vous souhaitez le traditionnel Akwaba, bienvenu au Parc de Expositions d’Abidjan, à l’occasion de la 4eme édition du Salon des Infrastructures d’Abidjan, SIA 2024.
En cette heureuse circonstance, permettez-moi avant tout propos, de témoigner au nom des Entreprises du secteur du Bâtiment et des Travaux Publics, toute notre gratitude à son Excellence Monsieur Alassane OUATTARA, Président de la République, qui a fait du secteur des infrastructures un des piliers essentiels de la transformation économique et sociale de notre pays.
Grâce à son leadership, notre secteur a contribué à renforcer la compétitivité de notre pays. Cela est une grande source de fierté pour nous entreprises du secteur du BTP.
Je voudrais ensuite dire toute ma reconnaissance à Monsieur le Ministre de l’Équipement et de l’Entretien Routier, Dr. Amedé KOUAKOU, qui n’a pas pu être avec nous ce matin, mais qui sera là cet après-midi après le Conseil de Gouvernement, pour la visite des stands, et j’ajouterai, qui est très bien représenté ici par Monsieur Aristide YAO, Directeur de Cabinet. Merci au Ministre d’avoir bien voulu accorder son parrainage pour cette 4ème Edition du Salon des Infrastructures d’Abidjan qui nous réunit ce jour.
Cher frère, vous voudriez bien lui transmettre nos remerciements.
Son parrainage, démontre encore une fois l’intérêt qu’il porte à l’émergence d’un secteur fort du BTP et surtout aux préoccupations des acteurs de notre corporation.
A Monsieur le Ministre de la Construction du Logement et de l’Urbanisme, Monsieur Bruno Nabagné KONE, nous adressons également nos vifs remerciements pour son écoute et son appui constant à notre Groupement.
Monsieur GBA TEAN, Directeur de Cabinet, nous vous saurions gré de lui transmettre toute notre reconnaissance.
Honorables invités, Mesdames et Messieurs,
Le Salon des Infrastructures d’Abidjan est de retour !
C’est avec enthousiasme que nous accueillons le retour du SIA, suspendu quelques années en raison de la pandémie à COVID 19 et des travaux de construction du magnifique Parc des Expositions qui nous accueille aujourd’hui.
Initié en 2014 sous le sigle de ROUTEXPO et plus tard Salon des Infrastructures d’Abidjan (SIA en abrégé) pour les éditions 2016 et 2018, c’est avec force, détermination et plein d’ambition que le Salon des Infrastructures d’Abidjan revient sur le devant de la scène pour exposer sur le savoir-faire des professionnels du BTP en Côte d’Ivoire.
Décliné en un format inédit pour cette édition 2024, le SIA qui se déroulera sur trois jours, se définit comme l’espace qui porte les ambitions du dynamisme retrouvé d’un secteur du Bâtiment et des Travaux Publics, qui je le rappelle, a contribué à hauteur de 7,5% au PIB ivoirien en 2023.
En plus de l’exposition des produits et services, le SIA 2024 innove en proposant :
• Un forum économique
• Des démonstrations d’engins
• Un Atelier de formation sur la Planification opérationnelle des
projets
• le « SIA INNOVATIVE DAY » dédié aux jeunes PME
proposant des solutions innovantes pour le BTP
• Une série de conférences et panels pour débattre des tendances et
défis du secteur
Permettez-moi à ce stade de saluer le rôle déterminant des initiateurs de cet évènement, en particulier le Past-Président KONGO Kouadio et le Président d’Honneur Philippe EPONON. Par leur vision et leur engagement, ils ont su donner une tribune aux acteurs du BTP afin de mettre en valeur la chaîne de valeurs du secteur.
Honorables invités, Mesdames et Messieurs,
Le thème retenu pour cette édition du SIA 2024 à savoir : ‘’Technologies émergentes et innovations dans l’industrie du Bâtiment et des Travaux Publics’’ , trouve tout son sens en cette année marquant le 90ème anniversaire du GIBTP, et que nous célébrerons les 12 et 13 Décembre prochains sous le Patronage de son Excellence Monsieur le Premier Ministre.
Mesdames et Messieurs,
Faces aux enjeux de notre époque, nous avons la responsabilité de moderniser notre secteur. Les nouvelles technologies telles que l’IA, le BIM (Modélisation de l’information du Bâtiment), l’impression 3D et les drones, pour ne citer que ces quelques exemples, transforment notre manière de concevoir et de réaliser des projets. Imaginez un chantier où des drones survolent le site pour surveiller les avancements, ou encore des imprimantes 3D capables de produire des structures en béton, avec une précision et une rapidité inégalée. Ces innovations, loin d’être de simples gadgets, sont de véritables leviers de compétitivité, de productivité et de durabilité.
La durabilité est désormais un impératif pour l’avenir de notre secteur. En intégrant des matériaux écologiques et en utilisant des techniques de construction responsables, nous nous engageons à répondre aux normes environnementales et à générer des économies à long terme.
Nos entreprises sont résolues à s’adapter aux nouvelles exigences du marché pour offrir des solutions pérennes et performantes.
Nous sommes aussi conscients que les défis liés à l’emploi et la formation professionnelle des jeunes aux métiers du BTP sont des sujets essentiels et urgents à adresser dans notre corporation. Au sein du GIBTP nous sommes engagés aux côtés des acteurs de la formation-emploi à l’élaboration de nouveaux curricula et à offrir à travers nos innovations, un accompagnement à la formation et à l’insertion professionnelle de ceux-ci.
Le « SIA INNOVATIVE DAY » de cette édition du SIA 2024 est une journée justement dédiée à cette jeunesse. J’invite la jeunesse et nos universités à y participer activement.
Je tiens à remercier les membres du Comité scientifique présidé par le Dr Paulin KOUASSI, ainsi que les panélistes experts, sponsors et exposants pour leur implication sans faille, sans oublier la Direction Exécutive du GIBTP et les équipes de Axes Marketing pour la réussite de cette édition.
Honorables invités, Mesdames et Messieurs,
Les membres du GIBTP par ma voix, expriment leur ferme volonté de participer activement à la construction d’infrastructures sûres, durables et adaptées aux enjeux climatiques.
Aux côtés du Gouvernement et des partenaires au développement, nous nous engageons à coconstruire une politique d’infrastructures répondant aux besoins présents et futurs de notre pays.
Nous espérons que ces trois jours d’échanges, d’expériences partagées et de démonstration du savoir-faire de nos entreprises, contribueront à faire avancer notre ambition commune de construire un avenir résilient et prospère. Puissent ces rencontres inspirer notre jeunesse à embrasser les métiers exaltants du BTP.
C’est sur cette note d’espoir et de dynamisme que je voudrais clore mon propos en vous renouvelant mes chaleureux remerciements pour votre présence et votre soutien constant.
Ensemble, bâtissons des infrastructures qui feront la fierté de notre Nation.
Que Dieu veille sur notre beau Pays,
Je vous remercie. »
ABIDJAN LE 12 NOVREMBRE 2024
SIA 2024//Salon des infrastructures d’Abidjan// Technologies émergentes et innovations dans l’industrie du Btp au menu
mardi, 12 novembre 2024 20:54 Written by AdminL’édition 2024 du Salon des infrastructure d’Abidjan (SIA), une plateforme de rencontre des acteurs majeurs de l’industrie du bâtiment et des travaux publics en Côte d’Ivoire, a ouvert ses portes ce mardi 12 Novembre 2024, au Parc des expositions d’Abidjan.
C’était en présence du Koné Bruno, ministre de la Construction, logement et de l’urbanisme, des membres du Groupement ivoirien du bâtiment et des travaux publics(Gibtp), des exposants et de plusieurs étudiants d’écoles de formation aux métiers du btp. A l’ouverture solennelle de l’exposition, M. Boga Nguessan Ismael de l’agence Axes Marketing et commissaire général du Sia, a remercié le gouvernement ivoirien pour son engagement aux côtés des organisateurs. Mais aussi et es entreprises qui participent à cette exposition. Non sans préciser qu’une soixantaine d’exposants de l’industrie du Btp seront présents à ces assises pour échanger et nouer des partenariats d’affaires et booster leurs entreprises.
Pour tout dire, l’évènement revient dont après une période d’interruption consécutivement à la pandémie de la Covid19. Le thème retenu cette année est : « Technologies émergentes et innovations dans l’industrie du Btp » et une série de panels et de conférences sont au menu de ces assises.
M. Koné Lamine, le Gibtp, a au nom de ses paires, félicité le gouvernement ivoirien, pour avoir doté la Côte d’Ivoire, d’un parc d’exposition ultramoderne qui permet depuis quelque temps d’organiser des expositions et des foires dans d’excellentes conditions.
Le président Koné Lamine a insisté sur la nécessité de moderniser le secteur du Btp. «Nous avons la responsabilité de moderniser notre secteur.Nous nous engageons au respect de l’environnement. La durabilité est désormais l’avenir de notre secteur d’activités » a- t-il dit.
Aussi, il n’a pas manqué de préciser que grâce au leadership du Chef de l’Etat ivoirien, « notre secteur a contribué à renforcer la compétitivité de notre pays. Cela est une grande source de fierté pour nous entreprises du secteur du Btp »
Empêché, le Docteur Kouakou Koffi Amédée, ministre de l’Equipement et de l’entretien routier, était représenté par son Directeur de cabinet, Aristide Yao. Portant la parole, du ministre Amédée, il invité les acteurs du secteur à se tourner vers des solutions innovantes. « Les technologies innovantes sont une piste de solutions à laquelle nous aurons recours » a affirmé, le directeur de cabinet », a -t-il ajouté
« Depuis son accession à la magistrature suprême de notre pays, le président de la République accorde une place de choix au développement et la modernisation du pays à travers une industrialisation de tous les secteurs productifs et l’amélioration de la qualité des services de base. Le secteur routier a besoin d’investissements notables en vue de sa transformation. Ce sont un peu plus de 3000 milliards de Fcfa qui ont été mobilisés par l’État pour la réalisation des différents projets. Nous projetons de poursuivre le développement de l’autoroute du nord jusqu’à la frontière avec le Burkina Faso », a rappelé Yao Aristide.
Notons pour terminer que c’est le jeudi 14 Novembre prochain que le SIA 2024 ferme ses portes, par un forum économique sur le thème « Défis et opportunités de l’industrie du Btp en Côte d’Ivoire »
Bamba Mafoumgbé,Cette adresse courriel est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
BTP- // 4e édition du Salon des infrastructures d’Abidjan (SIA)// Le président du comité scientifique présente les enjeux
dimanche, 10 novembre 2024 12:30 Written by AdminLe Parc des expositions d’Abidjan abrite du 12 au 14 Novembre 2024, la 4e édition du Salon des infrastructures d’Abidjan (SIA). En attendant, le Dr Kouassi Paulin, président du comité scientifique, dans une interview accordée à l’Agence ivoirienne de presse ( Aip), a partagé les enjeux des technologies émergentes dans le secteur du bâtiment et des travaux publics (BTP). Cet événement, est organisé par le Groupement ivoirien du bâtiment et des travaux publics (GIBTP) en collaboration avec Axes Marketing.
Le Dr Kouassi Paulin a indiqué au confrère, que l’édition 2024 du coïncide avec la célébration des 90 ans du GIBTP. Bien que ce groupement ait prévu une célébration conjointe, celle-ci a été décalée.
« Les défis sont nombreux, surtout en ce qui concerne l’avenir du BTP. L’enjeu majeur est d’amener les entreprises, les bureaux d’études et les maîtres d’ouvrage à s’approprier les nouvelles technologies et méthodes de construction. Cela leur permettra de rester compétitifs tout en offrant des infrastructures durables et résilientes à leurs communautés. Nous espérons que ce salon incitera les professionnels à acquérir des compétences techniques avancées et à porter une attention particulière à l’impact carbone de leurs projets. Il est également crucial d’encourager les jeunes participants à se former et à s’engager dans des réseaux professionnels. Deux conférences inaugurales porteront sur le thème central de cette année : la première, animée par le BNETD, traitera des technologies émergentes, tandis que la seconde, présentée par l’entreprise COLAS, se concentrera sur les innovations dans le secteur routier. », a-t-il précisé.
Avant de lever un coin de voile du salon qui est : « Technologies émergentes et innovations dans l’industrie du BTP » ?
Il convient de noter que comme lors des éditions précédentes, le comité d’organisation prévoit environ 5 000 visiteurs. « Pour cette édition, le comité a souhaité inclure des participants de toute la sous-région, et des démarches sont entreprises en ce sens. Ce salon représente une occasion précieuse pour les acteurs de la sous-région de se rencontrer et d’échanger. De nombreux acteurs institutionnels seront également présents, bien que nous ne puissions pas encore confirmer leurs noms. L’événement sera ouvert à de nombreux acteurs venant d’Europe et d’autres régions du monde, offrant ainsi aux Africains l’opportunité de s’imprégner des pratiques innovantes dans le secteur du BTP. », a précisé le Dr Kouassi Paulin.
Bamba M.
Développement durable//7e édition du Forum de Paris sur la paix // L’ancien Premier ministre Patrick Achi fait une importante communication ce lundi
dimanche, 10 novembre 2024 12:21 Written by AdminLa 7e édition du Forum de Paris sur la Paix se tiendra les 11 et 12 novembre 2024, au Palais de Chaillot à Paris, lieu emblématique situé en face de la Tour Eiffel. Le thème de cette année est : « À la recherche d’un ordre mondial qui fonctionne », abordera le besoin urgent d’une gouvernance internationale efficace dans un monde marqué par les rivalités entre grandes puissances, l’instabilité mondiale, la méfiance Nord-Sud et les nouveaux défis transnationaux.
La journée d’ouverture, le 11 novembre, comprendra des panels, tables rondes et autres sessions collaboratives au Palais de Chaillot. Les sessions en scènes A et Spotlight seront retransmises en direct ici, sur notre chaine YouTube et nos réseaux sociaux (X, LinkedIn et Facebook).
Sur ce tableau du jour 1, l’évènement enregistre la participation de plusieurs experts. L’Afrique et particulièrement la Côte d’Ivoire sont dignement représentés par Patrick Achi, l’ancien Premier ministre ivoirien et Envoyé spécial pour le 80e anniversaire de Bretton Woods, Banque mondiale et Fonds monétaire international (Fmi). Ce brillant technocrate ivoirien interviendra le premier jour des assises, sur le thème : inégalité et ODD.
Cette première journée sera suivie d’une série d’événements thématiques organisés par des organisations partenaires à travers la ville le 12 novembre, offrant un large éventail de perspectives et de solutions sur les questions de gouvernance mondiale
Le 12 novembre 2024, une série d’événements thématiques seront organisés par le Forum et des organisations partenaires dans tout Paris, offrant un large éventail de perspectives et de solutions sur les questions de gouvernance mondiale.
Rappelons qu’en juin 2023, les dirigeants mondiaux se sont réunis à Paris pour le Sommet pour un nouveau pacte financier mondial, où ils ont lancé le Pacte de Paris pour les peuples et la planète (4P), une alliance innovante pour renouveler l'architecture financière internationale. Depuis lors, le nombre de pays partageant les priorités politiques du 4P n'a cessé de croître. Aujourd'hui, 67 pays de tous continents et niveaux de richesse font partie de la communauté du 4P et travaillent ensemble dans un esprit d'inclusion et d'égalité par le biais de coalitions opérationnelles et du Secrétariat du 4P hébergé à l'OCDE.
La quatrième Conférence internationale sur le financement du développement durable (FfD-4), qui se tiendra à Séville en 2025, peut être l'occasion d'accélérer les efforts de réforme du système financier international. Cette session sera l’occasion de discuter avec les dirigeants de leurs priorités pour Séville et de la manière dont le 4P peut faciliter la réalisation de résultats ambitieux dans des domaines critiques tels que la mobilisation des finances publiques, le financement privé, les solutions à la dette et la fiscalité internationale. Ce panel fera le point sur les progrès réalisés dans la réforme du système financier international depuis le lancement du Pacte de Paris pour les peuples et la planète et discuter des résultats clés qui pourraient être obtenus lors de la troisième Conférence internationale sur le financement du développement durable. Il convient de rappeler qu’autres participants et non des moindres comme le Chef de l’Etat Emmanuel Macron et l’ancien Dg de l’Omc, Pascal Lamy participent à ces travaux.
Bamba Mafoumgbé, Cette adresse courriel est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. (Source : https://parispeaceforum.org/fr/2024-forum/)
Légende photo : Patrick Achi, ancien Premier ministre ivoirien fera une importante communication sur les ODD
Artci Days //Cybercriminalité en Côte d’Ivoire // Un préjudice financier de plus de 9 milliards de Fcfa enregistré en 2023
samedi, 09 novembre 2024 20:08 Written by Admin
L’édition 2024, ARTCI DAYS a eu lieu les 7 et 8 novembre 2024, au Parc des expositions d’Abidjan- Port- Bouet. Deux jours pour experts, société civile et acteurs gouvernementaux de faire le point dans le secteur des Tics en Côte d’Ivoire et se projeter dans l’avenir. Ce sont environ 2 300 participants, incluant aussi le grand public, qui ont pris part à cette 2ème édition des ARTCI DAYS dédiée la cybersécurité, et dont le thème était « Cybersécurité au service de l'inclusion numérique : protéger les citoyens et renforcer la compétitivité des entreprises ».
Dans son discours d’ouverture, Narcisse Ekissi, directeur de cabinet, a au nom du ministre de l’économie numérique, des Télécommunications et de l’Innovation, déploré qu’en 2023, la côte d’ivoire ait enregistré un préjudice financier de 9, 206 milliards de Fcfa.
« 9 Milliards 206 millions Fcfa. C’est le préjudice financier en côte d’ivoire en 2023 par nos services compétents en charge de la lutte contre la cybercriminalité. Derrière ce chiffre vertigineux, se trouvent des entreprises paralysées, des économies personnelles volatilisées, des vies bouleversées. Cette hémorragie financière qui fragilise notre économie numérique doit cesser », a indiqué M. Narcisse EKISSI.
Narcisse Ékissi a expliqué que dans un monde où tout est de plus en plus interconnecté – de la gestion des administrations à la banque en ligne, en passant par les services de santé – la sécurité des données personnelles et des systèmes, avec pour corolaires, les cyberattaques, les arnaques numériques, le vol de données, la Cybersécurité devient une condition sine qua non pour une société numérique en confiance.
« Nous devons favoriser la collaboration entre les différents acteurs du secteur du numérique : Autorités publiques, Entreprises, Experts en cybersécurité et Chercheurs, créer un véritable écosystème de sécurité pour les entreprises et œuvrer pour un environnement où les entreprises peuvent innover sans crainte et où leurs données et leurs activités sont protégées », a dit le directeur de Cabinet.
Porté par la dynamique de jouer pleinement sa partition, le gouvernement a adopté, le 30 octobre 2024, le décret portant création de l’Agence nationale de sécurité des systèmes d’information (Anssi), dans le but de centraliser et piloter la stratégie nationale de cybersécurité.
La directrice générale de l'Autorité de régularisation des télécommunications de Côte d'Ivoire (Artci), Namahoua Bamba Touré, a évoqué les mesures prises par sa structure pour protéger les entreprises et les citoyens contre les attaques des cybercriminels. Il s'agit, entre autres, de l'offre de service de veille de gestion de crises cybernétiques et l'assistance aux entreprises en cas d’incidents de sécurité informatique. En organisant cette deuxième édition, le ministère de la transition numérique et de la digitalisation à travers l’Artci, réaffirme son engagement à œuvrer en faveur d’une société numérique en confiance.
Bamba M.
Omc//Clôture des candidatures au poste de Directeur général // Ngozi Okonjo-Iweala seule candidate en lice
samedi, 09 novembre 2024 18:57 Written by Admin
Après la clôture des dépôts de candidatures au poste de Directeur général de l’Organisation mondiale du commerce,( Omc) , l’actuelle Directrice générale Ngozi Okonjo-Iweala, devrait rempiler pour un nouveau mandat. L'ambassadeur Petter Ølberg de Norvège, Président du conseil général, a informé les membres de l'Organisation mondiale du commerce(Omc), le 9 novembre 2024 qu'aucune autre candidature au poste de Directeur général n'avait été reçue avant la date limite du 8 novembre et que la Directrice générale en exercice, Ngozi Okonjo-Iweala, était donc la seule candidate à ce poste. Rapportent les services de l’Omc via son site internet ; https://www.wto.org.
Dans une lettre adressée au président le 16 septembre 2024 la Directrice générale Okonjo-Iweala a confirmé sa volonté d'effectuer un second mandat de quatre ans. Le 8 octobre, l'Omc a officiellement lancé le processus de nomination de son prochain Directeur général, les membres ayant jusqu'au 8 novembre 2024 pour soumettre des candidatures.
Par ailleurs, le président du Conseil général communiquera les prochaines étapes de ce processus dans les prochains jours. Le processus a été dirigé par le Président du Conseil général conformément aux « Procédures de nomination des directeurs généraux » de l'OMC ( WT/L/509 ). A noter que le mandat actuel du Dg Okonjo-Iweala prendra fin le 31 août 2025.
Ngozi Okonjo-Iweala a pris ses fonctions en tant que Directrice générale de l'Omc le 1er mars 2021. Elle est spécialiste du financement mondial, économiste et a plus de 30 ans d'expérience professionnelle dans le développement international en Asie, en Afrique, en Europe, en Amérique latine et en Amérique du Nord. Elle a été présidente du conseil d'administration de Gavi, l'Alliance du Vaccin. Auparavant, Mme Okonjo-Iweala a siégé aux conseils d'administration de la Standard Chartered PLC et de Twitter Inc.
A noter que L'Omc s'occupe des règles internationales régissant le commerce entre les nations. Sa principale fonction est de garantir que les échanges commerciaux se déroulent de la manière la plus fluide, prévisible et libre possible.
Bamba Mafoumgbé,Cette adresse courriel est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
Transports//Pour ses engagements dans le développement durable//Société générale Côte d’Ivoire a acquis des véhicules électriques
vendredi, 08 novembre 2024 19:37 Written by Admin
Société générale Côte d’Ivoire a acquis des véhicules électriques auprès des concessionnaires automobiles RIMCO-MOTORS et LOXEA, marquant ainsi une étape significative dans son engagement vers la durabilité. A appris afrikchallenges.info de sources officielles à Abidjan.
Ces acquisitions s’inscrivent dans la démarche de la banque de promouvoir des solutions de mobilité écologique et de favoriser la transition vers des véhicules moins polluants, en ligne avec l’engagement du Groupe société générale de réduire de 50% ses émissions carbone d’ici 2030.
Les véhicules acquis sont les premiers d’un plan global de rotation progressive de son parc automobile vers des véhicules électriques. Ils serviront à la phase pilote du projet. La banque prévoit de s’équiper en bornes de recharges rapides dans ses futurs sièges, actuellement en construction.
Des Solutions Innovantes
Société générale Côte d’Ivoire a déjà mis en œuvre diverses initiatives pour limiter son empreinte de carbone, notamment dans le secteur immobilier, principal émetteur.
Le transport représente le deuxième poste d’émissions de la banque de 180 véhicules thermiques qui seront renouvelés d’ici 2027. En 2024, le gouvernement Ivoirien a manifesté sa volonté de développer le secteur de l’électrique et les infrastructures. En effet, le marché des voitures électriques a vu l’émergence de plusieurs modèles à la vente.
Société générale Côte d’Ivoire s’inscrit dans cette dynamique en acquérant les deux modèles ci-dessous actuellement proposés sur le marché :
Ces premiers véhicules ont été achetés auprès des concessionnaires RIMCO MOTORS et LOXEA, reconnus pour leur expertise et leur gamme de modèles électriques de haute qualité. Dans le cadre de son programme de renouvellement de son parc automobile, Société Générale Côte d’Ivoire compte désormais intégrer progressivement de nouveaux véhicules électriques.
« Cette initiative confirme l’engagement de Société Générale Côte d’Ivoire à prendre des mesures concrètes pour faire face aux défis environnementaux et énergétiques du continent tout en améliorant le bien-être de nos collaborateurs. Nous sommes fiers de franchir cette étape importante en faveur de la durabilité », a déclaré Magloire N’Guessan, Directeur général adjoint, en charge des ressources, de la finance et du secrétariat général, chez Société générale Côte D’Ivoire.
Bamba Mafoumgbé
District d’Abidjan//Infrastructures routières en Côte d’Ivoire//Beugré Mambé sur les chantiers de construction de 6 ouvrages à Abidjan
mercredi, 06 novembre 2024 07:03 Written by AdminLe Premier ministre, Robert Beugré Mambé, a effectué, le mardi 5 novembre 2024, en compagnie du ministre de l’Équipement et de l’entretien routier, Amédé Koffi Kouakou, la visite de six chantiers d’infrastructures routières à Abidjan. Il s’agit notamment des travaux d’aménagement du carrefour Akwaba à Port-Bouët, des travaux de construction de l’échangeur du grand carrefour de Koumassi, de ceux des quatre échangeurs sur le boulevard Germain Coffi Gadeau (ex-boulevard François Mitterrand) aux carrefours de l'École de Police, de la Riviera 3, de la Palmeraie, et de Faya dans la commune de Cocody. Rapporte le Cicg.
Les travaux d’aménagement du carrefour Akwaba réalisés à 85% prendront fin entre décembre 2024 et janvier 2025. La construction de l’échangeur du grand carrefour de Koumassi exécutée à 43% est prévue s’achever en août 2025. Le projet de construction des échangeurs aux carrefours de l'École nationale de Police, de la Riviera 3 et de la Palmeraie, prendra fin en mars 2026. L’état d’avancement physique global des travaux des 3 échangeurs est de 27%. À l’échangeur de Faya, le taux d’avancement est de 82%, et la fin des travaux est programmée pour avril 2025.
« Nous avons rencontré des entreprises engagées et déterminées sur les chantiers. (…) Nous leur avons demandé de faire en sorte que la fin des travaux arrive avant les délais théoriquement annoncés », a dit le Premier ministre à la presse.
Le Chef du gouvernement a, par ailleurs, félicité les populations pour leur compréhension quant aux désagréments causés par les chantiers dans le Grand Abidjan, non sans les inviter à s’armer davantage de patience. « Dites aux Ivoiriens que la seule préoccupation du Président Alassane Ouattara, c'est de leur offrir des infrastructures de qualité, parce que la force d'un pays et la bonne santé d'une économie reposent aussi sur la qualité de ses infrastructures qui donnent des perspectives d'investissement aux entreprises », a-t-il expliqué.
D’un coût global de 145 milliards de Fcfa hors taxe, ces chantiers inscrits dans le programme routier du Président de la République, Alassane Ouattara, visent à contribuer au renforcement et au développement des infrastructures en vue d'accroitre la mobilité au niveau de la ville d'Abidjan. Ils embauchent 80 % d'Ivoiriens dont environ 30 % de jeunes dames.
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Partenariat// Projet d'appui au programme social du gouvernement// Abidjan et la BAD passent en revue le portefeuille projets
mardi, 05 novembre 2024 08:11 Written by AdminLa Banque africaine de développement (Bad)est un partenaire clé qui contribue au développement de la Côte d’Ivoire. Cette institution dont le siège est en Côte d’Ivoire, précisément à Abidjan, mène, du 4 au 8 novembre 2024, la revue des activités du Projet d'Appui au Programme social du gouvernement (PA-PSGouv). L'objectif est de faire l'état d'avancement du projet et de relever les difficultés qui entravent sa mise en œuvre, en vue d'améliorer les résultats. A appris afrikchallenges.info, de sources officielles
Au cours de la cérémonie d'ouverture de la mission, qui s'est tenue, au siège du PSGouv à Abidjan-Cocody, il a été relevé que le projet enregistre de bons progrès dans la mise en œuvre des activités.
En effet, ajoute nos sources dont le Cicg, à fin octobre 2024, le taux d’engagement a connu une hausse, pour se situer à 45% contre 34,5% à la dernière supervision (mai 2024) et le taux de décaissement s’est amélioré à 25% contre 18% en mai 2024. François Wongue, chargé de Projet du PA-PSGouv à la BAD s'est félicité des progrès enregistrés et a exhorté le projet à redoubler d'efforts pour accélérer la mise en œuvre des activités.
Le PA-PSGouv, financé par la BAD, contribue à l’amélioration des conditions et niveaux de vie des populations rurales et des jeunes, à travers la production et la transformation des productions agricoles, l’amélioration de leur accès aux services sociaux de base, et l’accès des jeunes au marché de l’emploi.
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Transports//Nouvelle gare routière d’Adjamé //Le président de l’ Utngra fait arrêter les travaux de construction d’une gare
dimanche, 03 novembre 2024 19:25 Written by AdminLe président de l’Union des transporteurs de la nouvelle gare routière d’Adjamé (Utngra) Koné Bakary, est amer. Au cœur de son amertume, la présence inopinée selon lui, d’un groupe de personnes cherchant à construire une gare sur le site appartenant à feu Inza Fofana, rappelé à Dieu il y a moins d’un an. Ainsi, sitôt alerté par les ayant-droits, le président Koné Bakary s’est rendu sur les lieux le samedi 2 novembre 2024 pour non seulement constater les faits, mais pour surtout bloquer les travaux. De fait, le 3 novembre, face à la presse, donnant les raisons de son attitude, il a dit ceci : «(…) Pour l’heure, je les considère comme des vandales. Dans la mesure où depuis le protocole d’accord signé entre le ministère des Transports et celui du Logement, du cadre de vie et de l’environnement le 22 juillet 1998, ce site appartient à feu Inza Fofana. C’est vrai qu’il a été rappelé par Dieu, mais les ayant-droits sont là et ils continuent d’exploiter les lieux », dit-il. Et de s’interroger : «(…) Alors, je ne comprends pas la présence d’une tierce personne sur ce même lieu ? ». Pour moi donc, en ma qualité de président de l’Utngra, j’ai fait arrêter les travaux en attendant que toutes les preuves soient fournies par ces nouveaux propriétaires des lieux. Auquel cas, je porte plainte contre eux.
Koné De Sayara
Légende photo : Le président Koné Bakary, lors de son intervention.
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Dossier - Finance//Viabilité et gouvernance de la dette ivoirienne// A Abidjan, la course à l’endettement fait grincer les dents
dimanche, 03 novembre 2024 12:31 Written by AdminA Abidjan, depuis quelques mois, la course à l’endettement et la gestion de la dette suscitent des débats entre acteurs politiques, experts, universitaires ivoiriens et hommes de la rue. Dossier…
En Côte d’Ivoire, à Abidjan, la gestion de la dette ivoirienne est, à plus d’un an de la présidentielle, au centre de débats entre acteurs politiques, universitaires et dans une moindre proportion des cadres des Institutions de Bretton Woods ; le Fonds monétaire international(Fmi), et la Banque mondiale( Bm). Sans oublier la Banque africaine de développement, (Bad).
Approchés à plusieurs reprises par nos soins, pour se prononcer sur une supposée re admission de la Côte d’Ivoire à l’Initiative des pays pauvres très endettés(Ppte),un cadre de la Banque africaine de développement(Bad), tout en nous orientant vers les services du Fmi de la Banque mondiale à Abidjan, nous apprend : « La Côte d’Ivoire a été éligible à cette initiative en Février 1997, elle a atteint le Point de décision en Mars 2009 et le Point d’achèvement en 2012 ;avec une remise de dette et autres facilités dans le cadre de l’allègement de sa dette. La Cote d’Ivoire c’est elle encore endettée ? Ça c’est un autre débat. Rapprochez -vous des services de la Banque mondiale et du Fmi, ils vous donneront plus de précisions sur ce dossier »
Ce que nous avons fait, moins d’une heure après ce jeudi 16 Mai 2024, en posant la même question à une personne ressource pourtant d’ordinaire très ouverte à la presse. La réponse de notre interlocuteur est claire relativement à « la course à l’endettement ».
« La réponse que je vous donne n’est pas officielle, mais retenez qu’il y a trop de rumeurs sur cette affaire. La Côte d’Ivoire a un risque de surendettement très modéré. », nous a- t-il indiqué de façon laconique.
A Washington, au niveau des Institutions de Bretton woods, notamment au Fmi, même si ce n’est pas la position officielle, des économistes africains qui suivent l’évolution des finances des pays africains abordent le sujet avec précision sur leurs pages facebooks. C’est le cas de M. Allè Koffi Marcellin, administrateur principal pour l’Afrique au Fmi. Pour lui « Il n’y a plus de PPTE pour la Côte d’Ivoire… » ( Voir contribution)
« Risque de surendettement très modéré » ; un bout de phrase qui vaut de l’or dans les prises de paroles des membres du gouvernement ivoirien.
Face à un auditoire le jeudi 25 avril 2024, lors d’une cérémonie de présentation du rapport, « Risque Pays Côte d’Ivoire 2024 », organisée par Bloomfield Investment,( structure spécialisée dans la notation financière) la ministre de l’Economie, du Plan et du Développement, Nialé Kaba, a profité de cette occasion pour rassurer les Ivoriens sur le risque d’endettement de la Côte d’Ivoire.
Le taux d’endettement de la Côte d’Ivoire estimé à 58,1% à fin 2023, est au cœur des débats. La ministre de l’Economie, du plan et du développement rassure les populations et les économistes que le risque de surendettement de notre pays reste modéré.
Nialé Kaba dit à propos : « En ce qui concerne le niveau de la dette, il convient de noter, avec un taux d’endettement de 58,1% à fin 2023, que le pays est en deçà du seuil communautaire de 70% du Pib. Il faut également noter que l’analyse de la viabilité de la dette, prenant en compte tous les ratios notamment celui relatif à la liquidité, indique que la Côte d’Ivoire est à risque de surendettement modéré »
L’économiste qui a été également ministre de l’Economie et des finances de Côte d’Ivoire, (la seule femme pour l’instant), s’est voulue plus pertinente en rappelant le vote de la loi portant politique nationale d'endettement et de gestion de la dette publique par l'Assemblée nationale, qui « vient renforcer davantage la gestion de la dette et permet d’anticiper sur les risques y afférents ».
En réponse aux différents points d’attention soulevés par le rapport, liés notamment, au climat des affaires, aux performances macroéconomiques, elle a répondu que « les points de fragilité mentionnés dans le rapport font déjà l’objet d’attention par le gouvernement, à travers la mise en œuvre de mesures de mitigation, notamment, le renforcement de la surveillance et de la réglementation des prix des produits de grande consommation, l’élaboration en cours d’une Stratégie de mobilisation des Recettes à Moyen Terme (SRMT),la rationalisation des exonérations, afin d’améliorer les recettes fiscales, le développement des grappes industrielles et des agropoles tout en renforçant l’écosystème de gestion et de développement des infrastructures industrielles », a-t-elle indiqué.
Cette ambition a été corroborée par le président directeur général de Bloomfield Investment, l’ivoirien Stanislas Zézé, lors de la présentation du rapport. « La note globale de la Côte d’Ivoire passe de 6,2 en 2023 à 6,5 en 2024. Elle reste dans la catégorie de risque faible et nous recommandons l’investissement dans ce pays. La Côte d’Ivoire est un pays qui reste résilient au vu des paramètres qui ont affiché une stabilité. », précise Stanislas Zézé.
M. Coulibaly Adama, ministre ivoirien du Budget et des finances, face à la polémique qui enfle aussi bien dans les chapelles politiques que dans les rues, face au feu roulant des questions des élus du Sénat, est monté au créneau pour dire sa vérité. « La Côte d’Ivoire n’est pas un pays pauvre très endettée. Nous en sommes pas un pays pauvre parce que nous sommes un pays à revenu intermédiaire. Et cela vous pouvez le voir, vous pouvez le constater dans tous les rapports qui existent. Nous ne sommes pas non plus un pays très endetté parce que nous avons un Risque d’endettement modéré. Et cela est visible dans tous les rapports qui existent. La dernière mission du Fonds monétaire international (Fmi), assortie d’un communiqué a montré très clairement que notre Risque d’endettement est modéré. La Côte d’Ivoire, depuis 2012 n’est plus dans ces questions et donc on l’a mentionné simplement comme un pays ayant bénéficié de l’initiative Ppte.», martèle le grand argentier de l’Etat de Côte d’Ivoire. Pour éviter le risque de surendettement, la Côte d’Ivoire doit chercher à contenir sa dette en dessous de 60% et ramener son déficit budgétaire au plafond communautaire de déficit public (Uemoa) de 3% du Pib d’ici 2025.
Viabilité de la dette ivoirienne : Ce que disent les universitaires et acteurs politiques
Malgré les assurances des autorités ivoiriennes et des agences de notation, le professeur Prao Yao Séraphin de l’Université Alassane Ouattara de Bouaké tire la sonnette d’alarme quand il dit : « En 2022, le déficit budgétaire de la Côte d’Ivoire était de 6,8% du Pib. En 2023, il était de 5,2% et est projeté à 4,1% du Pib en 2024. Pour rappel, c’est un fort endettement et un fort déficit budgétaire (plus de 13% du Pib) qui ont plongé la Grèce dans la crise en 2008. La Côte d’Ivoire en est loin mais son taux d’endettement est préoccupant et la nécessité de changer de trajectoire s’impose. » (voir encadré 1)
Pour le professeur Prao, par ailleurs, président du Mouvement « les démocrates de Cote d’Ivoire », le pays ne peut plus continuer sur cette voie de développement importé, avec l’épargne des autres. Le pays doit changer de cap pour jeter les bases d’un développement autocentré et réduire sa vulnérabilité aux chocs extérieurs. Ses recettes sont vulnérables aux fluctuations des cours des Matières premières et 40% de ces recettes proviennent des impôts sur le commerce extérieur.
M. Koné Katinan Justin, cadre des impôts et président du Conseil stratégique et politique (Csp) du Parti des peuples africains-Côte d’Ivoire (Ppa-CI), a aussi sa petite idée sur le dossier. Il a abordé, lors d’une conférence dite « 24e numéro de la Tribune du parti », le jeudi 18 avril 2024 la brulante question de la dette de la Côte d’Ivoire.
A l’en croire, le gouvernement ivoirien tente de minimiser l’évolution « dangereuse » de la dette du pays. Il avance que le ratio dette publique sur le Produit intérieur brut (Pib), qui est de 58,5% en 2023, est encore dans les limites de 70% admis comme plafond de soutenabilité de la dette. «Le gouvernement reste imperméable à toute analyse qui tend à soutenir que ce seul ratio n’est pas suffisant pour justifier la solvabilité d’un pays. La comparaison que nous faisons entre quatre économies différentes prend à défaut les certitudes de l’Etat ivoirien sur la soutenabilité de sa dette dont l’impact sur la vie de nos concitoyens devient de plus en plus difficile », a-t-il fait remarquer.
En attendant de trouver un accord sur leurs désaccords, les factures d’eau et d’électricités ont augmenté. Les 2 ajustements successifs de juillet 2023 soit 11% de la population qui concernait les 15 A et plus à 10% puis de janvier 2024 qui concerne 100% des clients à 10% font grogner les pauvres ménages.
Bamba Mafoumgbé, Cette adresse courriel est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
Légende photo : La Côte d’Ivoire devrait mettre le cap sur l’exploitation de ses ressources internes
Encadré 1 : La dette ivoirienne continue de prendre du volume
Avant l’atteinte du point d’achèvement de l’Initiative Ppte en juin 2012, le stock de la dette publique de la Côte d’Ivoire se chiffrait à 8 645,0 milliards de Fcfa, dont 2 271,1 milliards de Fcfa au titre de la dette intérieure et 6 373,9 milliards de Fcfa au titre de la dette extérieure. Au 31 décembre 2012, suite à la réduction de dette extérieure obtenue au point d’achèvement de l’Initiative Ppte, ce stock se chiffrait à 6 129,8 milliards de Fcfa dont 3 839,8 milliards de Fcfa de dette extérieure.
La dette publique qui représentait 73% du Pib avant le point d’achèvement de l’Initiative Ppte ne valait plus que 35% du Pib après l’atteinte du point d’achèvement. Le service de la dette, lui, est passé de 500 milliards par an à 230 milliards de Fcfa. Le profil de la dette extérieure s'est donc nettement amélioré après le point d'achèvement Ppte en 2012, rendant ainsi possibles de nouveaux emprunts.
Depuis l’atteinte du point d’achèvement de l’Initiative Ppte, malheureusement, le régime d’Abidjan a recommencé avec les mauvaises habitudes.
« Ainsi, en fin juin 2023, la dette de la Côte d'Ivoire se chiffre à plus de 25 000 milliards de Fcfa, soit 25739,2 milliards de franc Cfa (chiffres du ministère des Finances et du Budget). A cette même date de fin 2023, le ratio d’endettement se situe à 58,1%. En 2022, il était de 56,7% et est projeté, selon les prévisions du Fonds monétaire international (Fmi), à 57,3% en 2024. Si l’on considère les 8000 milliards de franc Cfa de stock d’endettement d’avant 2012, il apparaît que le stock a été multiplié par 3,125 pour se situer à environ 25000 milliards de Fcfa. Pendant ce temps, le Pib est passé de 12000 milliards de Fcfa, en 2010, à environ 48000 milliards de Fcfa, en 2023, soit 4 fois le niveau de 2010. Ces chiffres cachent un profond malaise. En effet, le service de la dette qui était de 230 milliards de Fcfa en 2012 est passé à 3742,9 milliards de Fcfa en 2023, soit 16,3 fois le niveau de 2012. », précise le professeur Prao dans une belle tribune en date du15 avril 2024.
Pour la seule année de 2023, les ressources internes du pays s’élevaient à 5281,1 milliards de Fcfa (impôts et taxes) alors que le service de la dette exigible s’élevait à 3742,9 milliards de Fcfa. Conséquences : 70,87% des ressources internes sont utilisés pour rembourser les dettes contractées. C’est un poids énorme sur les ressources. Les 30% qui restent ne peuvent même pas couvrir la masse salariale qui représente 37 % de ces ressources internes.
De l’avis du Mouvement « Les démocrates de Côte d’Ivoire » dont le président est le professeur Prao, « la croissance est à crédit et les fonctionnaires sont payés à crédit. Même la dette est payée à crédit. En effet, c’est pour préserver la viabilité des finances publiques et de la dette que le Fonds monétaire international (Fmi) a accordé, en 2023, à la Côte d’Ivoire, un prêt de 3,5 milliards de dollars, soit un peu plus de 2000 milliards de Fcfa. »
B. Mafoumgbé
Encadré :«Le change ; le plus grand risque auquel est exposé la Côte d’Ivoire » ( Contribution)
Dans une contribution publiée sur sa page Facebook, l’ivoirien Allè Koffi Marcellin, Conseiller principal de l'Administrateur pour l'Afrique au Fmi au Fonds monétaire international, face à la polémique, a dit ce qu’il savait sur la dette ivoirienne. Des faits rien que faits très objectifs.
« Le parcours de la Côte d’Ivoire sous l’Initiative PPTE
La Côte d’Ivoire a été déclarée éligible à l’Initiative PPTE en Février 1997 sur la base du ratio dette/recettes fiscales.
La Côte d’Ivoire a atteint le point de décision de l’Initiative PPTE en Mars 2009, et a bénéficié d’un allègement partiel de sa dette
La Côte d’Ivoire a atteint le point d’achèvement de l’Initiative PPTE en juin 2012, et a vu l’annulation d’une partie substantielle de sa dette extérieure
Comme vous le voyez, il n’y a pas un fait économique de notre pays plus « réconciliateur » que le PPTE. En effet, chacun des 3 grands leaders qui se disputent ou se disputaient le marché politique ivoirien depuis près de 30 ans, a eu sa contribution au PPTE.
La Côte d’Ivoire a été déclarée éligible au PPTE en 1997 sous le Président Bédié a atteint le point de décision avec effacement partiel de la dette en Mars 2009 sous le Président Gbagbo, et a enfin atteint le point d’achèvement avec effacement substantiel de la dette extérieure en Juin 2012 sous le Président Ouattara.
D’où vient-il donc que ce fait réconciliateur a recommencé à diviser les Ivoiriens (encore !) depuis quelques semaines ?
La Côte d’Ivoire est-elle redevenue PPTE ?
La réponse est non, si on veut dire que le pays est retourné dans l’Initiative PPTE que je viens de décrire.
La Côte d’Ivoire est sortie de l’Initiative PPTE après le point d’achèvement. Il n’y a plus de PPTE Côte D’Ivoire !
Quelle est la source de la polémique actuelle ?
Le 9 Mai 2024 dernier, la Banque mondiale a publié la liste des 37 pays dont 31 Africains, qui ont bénéficié de la remise de leur dette sous l’Initiative PPTE depuis le lancement de l’Initiative en 1996 (lien en 1er commentaire). La Côte d’Ivoire figure naturellement sur cette liste. La Banque mondiale faisait juste une mise à jour de la liste pour y inclure la Somalie qui vient de bénéficier de la remise de sa dette sous le PPTE en Décembre 2023.
Même si la Côte d’Ivoire en a fini, mais l’Initiative elle continue. En Afrique, les 2 pays qui n’ont pas encore bénéficié du PPTE sont le Soudan et l’Erythrée.
En conclusion, Oui la dette extérieure de la Côte d’Ivoire a augmenté depuis le point d’achèvement du PPTE, mais le pays n’est pas « redevenu PPTE » au sens de ce qu’on entend au bord de la Lagune Ebrié.
Si ça peut faire plaisir à certains, je dirais que l’accroissement rapide de la dette extérieure des pays à faible revenu, post-PPTE, est une réalité générale sur laquelle Bretton Woods attire l’attention de nos pays depuis quelques années. Cette réalité est devenue plus inquiétante quand elle s’est accompagnée de la baisse mondiale de la croissance depuis la pandémie du COVID-19. Le plus grand risque est le risque de change auquel sont exposés ces pays, compte tenu de ce que cette dette extérieure est libellée en monnaie étrangère. Merci de lire, commenter et partager. »
B.Mafoumgbé
Nb : extrait d’une contribution de Allè Koffi Marcellin
Photo : Allè Koffi Marcellin, Conseiller principal de l'Administrateur pour l'Afrique au Fmi
Industrialisation //Amélioration du climat des affaires //Beugré Mambé présente les efforts du gouvernement ivoirien
samedi, 02 novembre 2024 16:00 Written by AdminLe Premier ministre, Ministre des Sports et du Cadre de Vie, Robert Beugré Mambé a exhorté les acteurs du secteur privé à s’impliquer davantage aux côtés de l’Etat ivoirien pour l’industrialisation de l’économie ivoirienne. Il l’a indiqué le jeudi 31 octobre 2024 lors de la cérémonie de clôture de la 7e édition du forum « La finance s’engage. Qui avait pour thème : « financement des PME : face aux enjeux actuels et futurs ».
« La question de la transformation de la chaine des valeurs est au cœur de toute notre politique d’industrialisation. Notre secteur privé en particulier, les Petites et moyennes entreprises (PME) doivent être outillées à porter l’ambition du gouvernement à travers le renforcement du partenariat Etat-secteur privé », a déclaré le Premier ministre.
Le chef du gouvernement ivoirien s’est dit satisfait de l’organisation de cette rencontre. A l’en croire, ce forum « rejoint les ambitions du gouvernement ». Il a également souligné les efforts de l’Etat ivoirien en faveur des Pme.
Il s’agit, notamment de la mise en place du Guichet unique de développement des Pme (GUDE-PME), le Programme économique pour l'innovation et la transformation des entreprises (PEPITE) et de la Caisse des dépôts et consignations de Côte d’Ivoire (CDC-CI Capital). « Des réformes importantes ont été mises en œuvre pour l’amélioration du climat des affaires », s’est félicité le Premier Ministre qui a exhorté les PME à « saisir les opportunités » offertes par cet environnement et ces réformes.
Pour rappel, le forum « la Finance s’Engage » est organisé par la Confédération générale des entreprises de Côte d’Ivoire (Cgeci) et la firme Entrepreneurial Solutions Partners (ESPartners). Il vise à transformer durablement le secteur privé en offrant des solutions concrètes à la problématique du financement du secteur privé, avec un accent particulier sur les Pme.
Au cours d’un panel, dans la mouvance de cette édition 2024, le ministre ivoirien de l’industrie et du Commerce, Souleymane Diarrassouba a indiqué que le gap reste très élevé entre la demande de financement qui est de l’ordre de 10 000 milliards Fcfa contre 1200 milliards Fcfa mobilisés, soit 10%.
Bamba Mafoumgbé( Source : Primature)
Industrialisation //Amélioration du climat des affaires //Beugré Mambé présente les efforts du gouvernement ivoirien
samedi, 02 novembre 2024 16:00 Written by AdminLe Premier ministre, Ministre des Sports et du Cadre de Vie, Robert Beugré Mambé a exhorté les acteurs du secteur privé à s’impliquer davantage aux côtés de l’Etat ivoirien pour l’industrialisation de l’économie ivoirienne. Il l’a indiqué le jeudi 31 octobre 2024 lors de la cérémonie de clôture de la 7e édition du forum « La finance s’engage. Qui avait pour thème : « financement des PME : face aux enjeux actuels et futurs ».
« La question de la transformation de la chaine des valeurs est au cœur de toute notre politique d’industrialisation. Notre secteur privé en particulier, les Petites et moyennes entreprises (PME) doivent être outillées à porter l’ambition du gouvernement à travers le renforcement du partenariat Etat-secteur privé », a déclaré le Premier ministre.
Le chef du gouvernement ivoirien s’est dit satisfait de l’organisation de cette rencontre. A l’en croire, ce forum « rejoint les ambitions du gouvernement ». Il a également souligné les efforts de l’Etat ivoirien en faveur des Pme.
Il s’agit, notamment de la mise en place du Guichet unique de développement des Pme (GUDE-PME), le Programme économique pour l'innovation et la transformation des entreprises (PEPITE) et de la Caisse des dépôts et consignations de Côte d’Ivoire (CDC-CI Capital). « Des réformes importantes ont été mises en œuvre pour l’amélioration du climat des affaires », s’est félicité le Premier Ministre qui a exhorté les PME à « saisir les opportunités » offertes par cet environnement et ces réformes.
Pour rappel, le forum « la Finance s’Engage » est organisé par la Confédération générale des entreprises de Côte d’Ivoire (Cgeci) et la firme Entrepreneurial Solutions Partners (ESPartners). Il vise à transformer durablement le secteur privé en offrant des solutions concrètes à la problématique du financement du secteur privé, avec un accent particulier sur les Pme.
Au cours d’un panel, dans la mouvance de cette édition 2024, le ministre ivoirien de l’industrie et du Commerce, Souleymane Diarrassouba a indiqué que le gap reste très élevé entre la demande de financement qui est de l’ordre de 10 000 milliards Fcfa contre 1200 milliards Fcfa mobilisés, soit 10%.
Bamba Mafoumgbé( Source : Primature)
Excellence//Edition 2024 de « Les Sublimes du Tourisme » // L’art culinaire ivoirien comme niche à promouvoir, au cœur de l’évènement
jeudi, 31 octobre 2024 15:49 Written by Admin
La troisième édition de l’évènement annuel de distinction des opérateurs du secteur du Tourisme et des Loisirs, a été, officiellement lancée le 30 octobre 2024, au Sofitel Abidjan Hôtel Ivoire par le ministre Siandou Fofana avec, en point de mire, l’art culinaire ivoirien comme niche à promouvoir.
2024, aura été, sans nul doute, une année fort riche, pleine et sublime Avec, pour point de mire, l’organisation, en terre ivoirienne, de la Coupe d’Afrique des Nations (Can) de football, « la plus belle », jamais organisée. Autour et par cet évènement sportif d’appel touristique et ludique, la « Can de l’hospitalité » et de tous les superlatifs, a vu les ivoiriens, en chœur avec leurs hôtes du monde entier, (dé) monter que le tourisme est un véritable vecteur de paix 2025 devra donc s’écrire, en lettres dorées sur les empreintes de l’année écoulée et qui a cimenté la paix entre Ivoiriennes et Ivoiriens.
Au cœur de cette hospitalité, trône en bonne place, l’art culinaire ivoirien, riche, divers et varié que le ministre du Tourisme et des loisirs, Siandou Fofana, entend mettre sur orbite en 2025 et l’inscrit comme thématique de la 3ème édition des « Sublimes du Tourisme », « Côte d’Ivoire, terre de gastronomie et de découvertes », qui se tiendra le vendredi 20 décembre au Palais des congrès du Sofitel Abidjan Hôtel Ivoire.
Annonce faite par le ministre Siandou Fofana, en présence de ses pairs en charge des affaires étrangères, de la promotion de la jeunesse, et de la culture.
En outre, la destination ivoirienne s’érigeant comme un hub régional des loisirs et du divertissement, le ministre Siandou Fofana entend mettre un point d’honneur aux acteurs qui en sont le moteur. Dans cet élan, il a tenu à rendre un hommage particulier à feu « Gros Bedel » alias Ahoua Bletchi Noel, promoteur et manager émérite arraché à l’affection de tous en 2024. Et ce, en écho aux propos de Dr Marcel Nguettia, président du Fonds de développement touristique (Fdt) et président du comité d’organisation des Sublimes. Qui a rappelé l’ascension exponentielle du secteur grâce à la matrice qu’est la stratégie nationale de développement touristique, « Sublime Côte d’Ivoire » qui a reçu l’assentiment de tous les acteurs nationaux. Dont « Gros Bedel », multiple lauréat des « Sublimes ». En outre, rappellera M Nguettia, cette même stratégie a été adoubée par les instances mondiales du tourisme qui ont valu au Ministre Siandou Fofana d’intégrer l’establishment.
Toutes choses qui sous-tendent qualité et rigueur. À l’instar des critères et innovations de la présente édition dont le Conseiller technique du ministre, ordonnateur de la régie, membre du comité scientifique, Andy Leal Daniel en rappellera les grand principes et items.
Pour en revenir à la promotion de l’art culinaire qui tend à s’ériger en gastronomie pour être une niche du tourisme gastronomique, disons que le tourisme gastronomique, également appelé tourisme gourmand ou culinaire, est un type de voyage touristique associé à la cuisine locale, dans le but de découvrir l’histoire, le savoir-faire et la culture d’un pays ou d’une région à travers ses spécialités culinaires.
Le mercredi 20 décembre donc, tout l’écosystème touristique et ludique, se retrouvera, pour la seconde année consécutive à l’auditorium du Palais des congrès du Sofitel Abidjan Hôtel Ivoire de Cocody, pour célébrer en grande pompe, l’excellence au cours de la soirée de distinction des acteurs du secteur dénommée « Les Sublimes du Tourisme ».
Pensée et conçue par le ministre Siandou Fofana pour épouser les ambitions de faire de l’industrie touristique un pilier du développement économique du pays porté par la stratégie éponyme, et mis en route par le ministère du tourisme et des loisirs de Côte d’Ivoire en collaboration avec les faîtières du secteur, « Les Sublimes du Tourisme » s’érige, en trois éditions, comme la grand'messe annuelle du secteur du tourisme et des loisirs en Côte d’Ivoire.
Cette édition 2024 de « Les Sublimes du Tourisme », à maints égards, mettra, avec plus de clarté, en avant l'excellence dans différents domaines de l’écosystème. Au total, près de 50 trophées seront décernés dans les catégories de l'hébergement et résidences meublées, établissements de restauration, établissements et espaces de loisirs, agences de voyages et des loueurs de véhicules de tourisme. Ainsi que des prix spéciaux consacrant le « Life achievment » de certains opérateurs.
Bamba Mafoumgbé,Cette adresse courriel est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.