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République de Côte d'Ivoire — 26 octobre 2025

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Tourisme mémoriel, écotourisme et investissements // Siandou Fofana noue des partenariats stratégiques en Israël

jeudi, 27 juin 2019 17:23 Written by

 Du 21 au 25 juin 2019, le ministre du Tourisme et des Loisirs était en mission d’offensive et d’imprégnation du modèle de l’Etat hébreux dans le cadre de la promotion de « Sublime Côte d’Ivoire ». Le tourisme mémoriel, la formation, l’écotourisme et la recherche d’investissements sont les points-clefs qui ont été au centre de la mission qu’a effectué le ministre du Tourisme et des Loisirs, Siandou Fofana, accompagné de 5 collaborateurs, du 21 au 25 juin à Tel-Aviv, capitale économique de l’Etat d’Israël. Des Mémorandums d’entente  ont été paraphés, au cours de cette mission d’imprégnation et de prospection qui s’est avérée fructueuse, à maints égards. Ainsi, la délégation ministérielle a-t-elle visité le Musée de commémoration de l’holocauste, « Yad Vashem », en vue de s’en inspirer dans l’activation du projet de tourisme mémoriel proposé par le circuit « La route de l’esclave » contenu dans la Stratégie nationale de développement touristique, « Sublime Côte d’Ivoire ». La directrice du Conservatoire israélien a, en tout cas, fait des propositions  alléchantes à la délégation ministérielle. Concernant l’écotourisme, Siandou Fofana et ses conseillers se sont-ils imprégnés du modèle de management de l’Autorité nationale des parcs et réserves, en vue d’implémenter ses modèles de valorisation touristique. Le ministre du Tourisme et des Loisirs a, avec les responsables de l’Autorité, échangé sur les possibilités de partenariat dans le cadre de la valorisation touristique des parcs ivoiriens. En effet, cette entité très dynamique gère plus de 400 parcs et réserves sur l’étendue du territoire israélien, a esquissé des possibilités de création de véritables produits à proposer aux visiteurs, en la matière, en Côte d’Ivoire. Un Mémorandum sera signé très prochainement afin de bénéficier de cet appui dans la mise en place des circuits liés à l’écotourisme ivoirien. Cette mission s’inscrivant dans le cadre du renforcement de la coopération, faut-il le rappeler, entre les deux Etats, elle a été aussi l’opportunité pour opérer le benchmarking du modèle israélien dans la mise en œuvre des 9 réformes inscrites dans la stratégie  « Sublime Côte d’Ivoire ». Étant entendu que l’Etat d’Israël a réussi à impulser son développement touristique depuis de nombreuses années par une méthodologie rigoureuse et efficiente, notamment avec le tourisme d’affaires, scientifique, écologique, médical et religieux, constitue donc un modèle dont le ministre souhaite s’inspirer. Avec, en plus, le développement d’un savoir-faire et des curricula en matière de formation touristique et hôtelière. A cet effet, Siandou Fofana a eu une séance de travail avec le Directeur général de l’Université de Haïfa dans le cadre de la réforme sur la formation incluse dans « Sublime Côte d’Ivoire ». les clauses du partenariat avec l’université devraient être validées les prochaine semaines, afin de pouvoir établir un partage de savoir-faire, de développer la formation professionnelle dans le domaine du tourisme et de l’hôtellerie mais surtout de créer un centre de recherches stratégique du tourisme sur le hub ivoirien. Dans le même élan et dans le cadre du projet de création de centres de formation et d’hôtels d’application, le groupe Mitrelli a reçu le ministre Fofana afin d’échanger sur les aspects techniques et financiers dudit projet. Cette rencontre très fructueuse a été soldée par la signature d’un Mémorandum  d’entente avec le groupe et d’un second avec sa filiale Focus Education. Au cours de cette mission de travail, le ministre du Tourisme et des Loisirs et sa délégation ont rencontré le dimanche 23 juin, les entreprises israéliennes Landuse, Medilar ainsi que le Fonds d’investissement Vital Capital Funds. Et ce, toujours dans le cadre des 9 réformes-clés de « Sublime Côte d’Ivoire », relatifs aux domaines de la Santé, la Formation, l’Aérien, le Foncier, les Infrastructures, la Sécurité, les Finances, la Promotion et la Capacité d’action. Qui sont à entreprendre jusqu’en 2025. Ainsi, les sujets liés à la santé, aux infrastructures, à la formation et à la mobilisation des ressources ont-ils été abordés avec ces acteurs et des solutions concrètes ont été apportées. Il importe de rappeler que le secteur du tourisme envisage être le 3ème pôle de développement économique de la Côte d’ivoire sur le septennat 2018/2025 selon l’agenda de la Stratégie nationale. Toute chose qui devrait intégrer l’innovation technologique et l’économie numérique. A juste titre, la délégation conduite par Siandou Fofana a également rencontré une sélection des meilleures startups du pays qui interviennent avec des solutions technologiques permettant d’améliorer la promotion de la destination. Israël étant le pays le plus avancé dans le domaine technologique, il regorge de startups à la pointe de l’innovation. Il était donc plus que nécessaire d’échanger sur les questions de promotion de la destination et d’opter pour des solutions technologiques en phase avec les objectifs de « Sublime Côte d’ivoire ». 

Ayoko Mensah Légende photo : Le ministre duTourisme et des Loisirs, Siandou fofana, lors  de sa visite en Israël

Recherche et développement// Nestlé présente son programme «R&D Innovation Challenge »

jeudi, 27 juin 2019 16:03 Written by

Le centre de recherche et de développement de Nestlé, vient de présenter devant les acteurs de l'écosystème technologique et entrepreneurial au Sénégal, son programme « R&D Innovation challenge ». Selon un communiqué de presse, dont nous avons eu copie, « Ce programme vise à stimuler l’esprit d’entrepreneuriat et fournira aux start-ups et aux universités une plate-forme pour contribuer à la croissance locale durable en apportant des idées novatrices sur le marché. Cette collaboration avec ces startups et universités a pour objectif d’identifier des solutions scientifiques et technologiques durables et évolutives permettant d’accélérer l’innovation de produits répondant aux besoins des consommateurs locaux » Le programme « R&D Innovation challenge » recherche des solutions innovantes dans quatre domaines: Les emballages alimentaires plus soucieux de l’environnement, les produits abordables pour une nutrition saine et de qualité, Les nouveaux mécanismes de commercialisation de produits, les solutions durables aux mécanismes de transport et culture des plants de cacao. Stefan Palzer, Chief Technology Officer chez Nestlé, a déclaré: « un nombre croissant d’entrepreneurs et de chercheurs locaux basés en Afrique ont des idées créatives pour résoudre les problèmes de leurs communautés. Ce défi de l’innovation en matière de Recherche et Développement (R&D) offre à notre société une opportunité exceptionnelle de tirer parti de la créativité exceptionnelle, tout en aidant à concrétiser les idées les plus prometteuses »Afin de travailler avec les startups, Nestlé s’est associé à Kinaya Ventures, dans le cadre de son programme d’octroi de bourses « Spring Fellowship » Cette collaboration donne l’opportunité aux jeunes entrepreneurs, aux universités du Sénégal mais aussi de toute l’Afrique subsaharienne de soumettre leurs idées Innovantes autour des thématiques indiquées plus haut. M. Xavier Beraud, administrateur général de Nestlé Sénégal a encouragé les jeunes à faire preuve d’audace afin de faire briller les idées qui fourmillent en eux, car a-t-il dit « la collaboration multipartite en matière d’innovation, recherche scientifique et développement est une approche indiquée pour améliorer la qualité de vie et contribuer à un avenir plus sain des populations locales ».L’appel à candidatures est ouvert jusqu’au 7 juillet 2019 à 23h59′. Pour participer, cliquez sur ce lien
https://eur02.safelinks.protection.outlook.com/

« Au travers de cette collaboration, les équipes sélectionnées participeront à un programme d’accélération de 4 mois à Abidjan pour faire avancer et potentiellement commercialiser leurs idées. Le programme d’accélération débutera d’ici à la fin du mois d’août 2019. Au cours du programme, les startups et les équipes universitaires auront accès au savoir-faire et aux infrastructures du Centre de Recherche et Développement de Nestlé à Abidjan, en Côte d’Ivoire », a expliqué Joëlle Abega-Oyouomi, directrice de centre recherche et développement. À la fin du programme d’accélération, les équipes auront la possibilité de présenter leurs concepts à la direction de Nestlé. «R&D Innovation challenge» fait partie de l’Initiative globale de Nestlé pour les jeunes, qui a pour ambition de permettre à 10 millions de jeunes de par le monde à avoir accès à des opportunités économiques d’ici 2030. Cela soutient les objectifs de développement durable des Nations Unies visant à promouvoir une croissance économique inclusive et durable, l’emploi et le travail décent pour tous. En 2018, Nestlé s’est également associé à Ashoka et à la Direction du développement et de la coopération suisse pour créer l’accélérateur d’investissements sociaux, qui accélère l’entrepreneuriat social et stimule le développement économique de l’Afrique. Nestlé est la plus grande organisation privée de recherche sur l’alimentation et la nutrition au monde, regroupant environ 5 000 personnes dans environ 30 centres de R & D dans le monde, y compris le centre de R & D d’Abidjan, en Côte d’Ivoire, qui a ouvert ses portes en 2008. En 2018, Nestlé a investi environ 1,5 milliard d’euros en R & D. , soit  plus de 750milliards de Fcfa
Moussa Kader
Légende photo : Stefan Palzer, Chief Technology Officer chez Nestlé « (…) Ce défi de l’innovation en matière de Recherche et Développement (R&D) offre à notre société une opportunité exceptionnelle

 

Recherche et développement// Nestlé présente son programme «R&D Innovation Challenge »

jeudi, 27 juin 2019 16:03 Written by

Le centre de recherche et de développement de Nestlé, vient de présenter devant les acteurs de l'écosystème technologique et entrepreneurial au Sénégal, son programme « R&D Innovation challenge ». Selon un communiqué de presse, dont nous avons eu copie, « Ce programme vise à stimuler l’esprit d’entrepreneuriat et fournira aux start-ups et aux universités une plate-forme pour contribuer à la croissance locale durable en apportant des idées novatrices sur le marché. Cette collaboration avec ces startups et universités a pour objectif d’identifier des solutions scientifiques et technologiques durables et évolutives permettant d’accélérer l’innovation de produits répondant aux besoins des consommateurs locaux » Le programme « R&D Innovation challenge » recherche des solutions innovantes dans quatre domaines: Les emballages alimentaires plus soucieux de l’environnement, les produits abordables pour une nutrition saine et de qualité, Les nouveaux mécanismes de commercialisation de produits, les solutions durables aux mécanismes de transport et culture des plants de cacao. Stefan Palzer, Chief Technology Officer chez Nestlé, a déclaré: « un nombre croissant d’entrepreneurs et de chercheurs locaux basés en Afrique ont des idées créatives pour résoudre les problèmes de leurs communautés. Ce défi de l’innovation en matière de Recherche et Développement (R&D) offre à notre société une opportunité exceptionnelle de tirer parti de la créativité exceptionnelle, tout en aidant à concrétiser les idées les plus prometteuses »Afin de travailler avec les startups, Nestlé s’est associé à Kinaya Ventures, dans le cadre de son programme d’octroi de bourses « Spring Fellowship » Cette collaboration donne l’opportunité aux jeunes entrepreneurs, aux universités du Sénégal mais aussi de toute l’Afrique subsaharienne de soumettre leurs idées Innovantes autour des thématiques indiquées plus haut. M. Xavier Beraud, administrateur général de Nestlé Sénégal a encouragé les jeunes à faire preuve d’audace afin de faire briller les idées qui fourmillent en eux, car a-t-il dit « la collaboration multipartite en matière d’innovation, recherche scientifique et développement est une approche indiquée pour améliorer la qualité de vie et contribuer à un avenir plus sain des populations locales ».L’appel à candidatures est ouvert jusqu’au 7 juillet 2019 à 23h59′. Pour participer, cliquez sur ce lien
https://eur02.safelinks.protection.outlook.com/

« Au travers de cette collaboration, les équipes sélectionnées participeront à un programme d’accélération de 4 mois à Abidjan pour faire avancer et potentiellement commercialiser leurs idées. Le programme d’accélération débutera d’ici à la fin du mois d’août 2019. Au cours du programme, les startups et les équipes universitaires auront accès au savoir-faire et aux infrastructures du Centre de Recherche et Développement de Nestlé à Abidjan, en Côte d’Ivoire », a expliqué Joëlle Abega-Oyouomi, directrice de centre recherche et développement. À la fin du programme d’accélération, les équipes auront la possibilité de présenter leurs concepts à la direction de Nestlé. «R&D Innovation challenge» fait partie de l’Initiative globale de Nestlé pour les jeunes, qui a pour ambition de permettre à 10 millions de jeunes de par le monde à avoir accès à des opportunités économiques d’ici 2030. Cela soutient les objectifs de développement durable des Nations Unies visant à promouvoir une croissance économique inclusive et durable, l’emploi et le travail décent pour tous. En 2018, Nestlé s’est également associé à Ashoka et à la Direction du développement et de la coopération suisse pour créer l’accélérateur d’investissements sociaux, qui accélère l’entrepreneuriat social et stimule le développement économique de l’Afrique. Nestlé est la plus grande organisation privée de recherche sur l’alimentation et la nutrition au monde, regroupant environ 5 000 personnes dans environ 30 centres de R & D dans le monde, y compris le centre de R & D d’Abidjan, en Côte d’Ivoire, qui a ouvert ses portes en 2008. En 2018, Nestlé a investi environ 1,5 milliard d’euros en R & D. , soit  plus de 750milliards de Fcfa
Moussa Kader
Légende photo : Stefan Palzer, Chief Technology Officer chez Nestlé « (…) Ce défi de l’innovation en matière de Recherche et Développement (R&D) offre à notre société une opportunité exceptionnelle

 

Bafing : Développement régional // Le Conseil régional fixe ses grandes priorités

lundi, 10 juin 2019 15:39 Written by

Mamadou Sanogo, président du Conseil régional du Bafing vient de marquer un acte fort : la construction à Touba, chef-lieu de la région du Bafing, d’un siège ultra moderne dont les travaux ont été lancés, le samedi 8 juin 2019 en présence des autorités administratives, politiques, coutumières et populations. L’édifice, sera bâti sur une superficie de 1,5 hectare. Sur cet espace, sortiront de terre, trois bâtiments: le bloc administratif (en R+1) comprenant seize bureaux ; la grande salle de réunion de 420 m2.Le troisième bâtiment, dimensionné à 676 m2 et abritant la présidence de l’institution régionale, sera construit en hauteur au sommet d’une colline. On y logera le bureau du président, une salle de réunion et des bureaux de secrétariat. Le reste de l’espace, recevra, une cafétéria, des espaces forts et un parking. Justifiant cet investissement majeur, Mamadou Sanogo, indique, « notre collectivité est vielle d’environ 16 ans, nous n’avons pas un siège digne de notre région ».Il ajoute que la région du Bafing ambitionne de se doter de son propre patrimoine pour son fonctionnement et « non un bâtiment public réhabilité et adapté à cet effet » comme par le passé. Mamadou Sanogo a assuré que le futur siège du conseil régional du Bafing, sera « plus adapté car conçu en fonction des besoins actuels et futurs». Avant de lancer : « chers collègues élus, faisons en sorte que ce chantier soit l’un des marqueurs de notre mandat. Réalisons-le pour les générations à venir ». La deuxième session ordinaire du conseil régional qui a suivi, s’est tenue dans les locaux du siège transitoire rénové, inauguré le même jour. A l’unanimité, les 25 conseillers régionaux présents, ont adopté le programme triennal 2020-2022. 100 projets seront financés dans les différents départements : 45 à Touba, 29 à Koro et 26 à Ouaninou. Le secteur éducation, absorbe 50% des investissements prévus, 30% affectés aux infrastructures, 20% aux dépenses de santé.
Ayoko Mensah, envoyé spécial à Touba
Légende photo : Le ministre Mamadou Sanogo et les 25 conseillers régionaux ont adopté le programme triennal 2020-2022

Soutien et promotion des Pme :invité de la Tribune de l’Aip// Anoblé Félix présente sa recette

dimanche, 09 juin 2019 10:14 Written by

Le Secrétaire d’Etat auprès du Ministre du commerce, en charge des Pme était l’invité du forum d’échanges de l’Aip. Le onzième (11ème) numéro de la « Tribune de l’Aip »  le  jeudi 06 juin 2019 avait pour invité, Félix Anoblé, Secrétaire d’Etat auprès du Ministre du commerce, de l’industrie et de la promotion des Pme, en Charge des Pme  M. Anoblé   est venu présenter la politique d’accompagnement du Gouvernement en vue d’améliorer l’implantation, le dynamisme et la pérennisation de la chaîne des Petites et Moyennes Entreprises. Le Secrétaire d’Etat Félix Anoblé  a d’entrée, remercié le Président de la République et le Premier Ministre qui lui ont confié l’avenir de la Côte d’Ivoire. Selon lui, « les Pme réussies et bien encadrées sont l’avenir de la Côte d’Ivoire ». Croyant fermement aux potentiels du secteur des Pme dont il a la charge, le Secrétaire d’Etat mise sur son plan stratégique de développement dénommée « Phoenix ».  Pour un coût de financement de 350 milliards sur (04) ans, ce plan inclut la création d’une « Maison des Pme » et la mise en place (en cours) d’un fond de garantie de 30 milliards pour l’accompagnement des entreprenants.  Sur la promesse du Gouvernement d’octroyer un quota de 20% des marchés aux Pme locales par les multinationales et industriels, Félix Anoblé a fait signifier l’avancée de ce taux passant de 16,1% il y’a quelques années à 19,1% aujourd’hui et de l’atteinte très prochaine de cet objectif. Le Secrétaire d’Etat de Côte d’Ivoire qui ne compte pas s’arrêter là, annonce la création dix mille (10.000) micros et petites entreprises qui viendront compléter la volonté du Chef de l’Etat qui compte créer deux cents une (201) unités de production dans chacune des communes du pays d’ici à fin 2020. L’ensemble de ces mesures devant conduire à l’atteinte des objectifs fixés dans l’accompagnement des Pme Ayoko MensahLégende  photo :  Le Secrétaire d’Etat  Anoblé Félix était l’invité de l’ AipSource :  Sercom

Assemblées annuelles 2019 de la Banque africaine du Développement// La Guinée équatoriale l'un des pays les plus développés de l'Afrique,selon la Bad

samedi, 08 juin 2019 12:11 Written by

 Onze jours avant de commencer, à Sipopo, la 54e Réunion annuelle de la Banque africaine de développement (BAD), le secrétaire général de cette institution monétaire du continent africain, Vincent Nmehielle, reconnaît que « la Guinée équatoriale est l'un des pays les plus développés de l'Afrique, mais peu de personnes le sait »Le secrétaire a expliqué que les réunions annuelles de 2019 de la BAD sont une opportunité pour montrer pourquoi l'intégration régionale est importante. Ces informations sont issues de la conférence de presse donnée au siège de la banque, à Abidjan, en présence du vice-président du secteur privé, des infrastructures et de l'industrialisation, Pierre Guislain ; du vice-président des services corporatifs et des ressources humaines, Mateus Magala ; et de Gauthier Bourlard, du département de mobilisation des ressources et des sociétés de la banque. La Guinée équatoriale sera le siège de la 54e Réunion annuelle de la Bad, du 11 au 14 juin 2019, sous la devise « Intégration régionale pour la prospérité économique de l'Afrique », un événement qui réunira environ 2 000 délégués. C'est un ofrum unique pour que les gouvernements, les entreprises, la société civile, les think tanks, le secteur académique et les médias du monde entier discutent de sujets essentiels liés au développement de l'Afrique. Lors des réunions, on abordera également la législation des gouverneurs et des actionnaires de la banque, en plus de plusieurs discussions sur les perspectives économiques de l'Afrique, l'un des rapports le plus emblématiques de l'établissement.
 Source :  site web    présidence  de la République de Guinée EquatorialeBureau d’information et de presse de Guinée équatoriale

Gouvernance/ Pour ses performances// Le Trésor Public rafle trois prix panafricains

vendredi, 07 juin 2019 07:57 Written by

Meilleure administration publique d’Afrique de l’ouest. Meilleure Direction de la communication des structures d’Etat de Côte d’Ivoire. Meilleur Directeur de la communication des structures d’Etat de Côte d’Ivoire. Trois grands prix panafricains raflés par le Trésor Public de Côte d’Ivoire. L’institution a été distinguée le jeudi 6 mars 2019 à Abidjan, par le groupe Interafricaine de Communication et de Sondage (ICS), en présence de plusieurs personnalités.  Selon le Directeur Administratif et Financier de cette structure, Ibrahim Kéita, ces prix récompensent la performance, la compétence,  la rigueur dans la gestion du Trésor Public.  « A travers cette distinction, ICS a décidé d’accompagner le Trésor Public dans sa quête inlassable de la performance », ajoutera pour sa part le Directeur Général de cette structure, Charles Sandé, ISC a surtout mis l’accent sur la stratégie institutionnelle du Trésor Public. Cette stratégie qui repose essentiellement sur le Plan Stratégique de Développement (PSD) 2016-2020 a permis, selon les organisateurs du prix l’accélération de la modernisation des outils et des méthodes de gestion ; l’accroissement et la pérennisation des capacités de financement de l’Etat ; l’amélioration de la transparence et de la gouvernance ; le renforcement des capacités opérationnelles et le bien-être social du personnel, qui constituent d’ailleurs les 4 axes du PSD. Au-delà de ces orientations générales qui ne cessent de produire des résultats probants, certaines actions engagées par le Trésor Public ont aussi permis, de façon spécifique, de retenir l’attention du jury. Notamment le Système de management intégré Qualité-Engagements de service-Contrôle interne et maîtrise des risques ; le dispositif d’évaluation des performances avec fixation des objectifs individuels ; le suivi-évaluation du plan d’actions des processus et des activités gérées en projets. Le jury s’est aussi appesanti sur les actions sociales de la direction générale en faveur des agents.  Les promoteurs ont relevé les acquis tels que l’institution de la caisse de retraite complémentaire des agents, le rachat des dettes, la reprise des visites médicales systématiques, la création du comité de mise en œuvre des grands projets immobiliers, la signature de la charte de prise en charge médicale des agents atteints de pathologies sévères. Concernant les prix attribués à la Direction de la Communication et à son Directeur, le jury a souligné que M. KOBENAN Norbert a su déployer la politique de communication des différents Directeurs  Généraux qui se sont succédé à la tête du Trésor Public, notamment le Président DIBY Charles, le Ministre KONE Adama et l’actuel Directeur général ASSAHORE Konan Jacques. « Féru de travail bien fait,  KOBENAN allie technicité, efficacité, courtoisie, discrétion et humanisme dans la conduite quotidienne  des actions de communication associées aux relations avec la presse », ont soutenu les responsables de Ics. Le Directeur Général du Trésor Public ASSAHORE Konan Jacques s’est dit heureux et fier et avec lui, tous les agents du Trésor Public pour ces prix. Toutefois, il a fait remarquer que le Trésor Public ne compte pas s’arrêter sur ces acquis. « En effet, dans notre logique d’amélioration continue, nous avons défini de nouveaux chantiers dont la réalisation devrait renforcer notre apport à l’émergence de notre chère Côte d’Ivoire. Il s’agit principalement de la digitalisation de nos procédures et méthodes de gestion d’une part, et de la certification globale de nos services, érigé au rang des priorités pour cette année », a-t-il conclu. Il faut souligner  que le Trésor Public a déjà glané plusieurs prix. Le Prix d’excellence 2013 de la meilleure administration numérique. Le Prix d’excellence 2014 de la meilleure administration publique. Le Prix d’excellence 2016 de l’administration publique la plus moderne. Le Prix du Partenariat Etat/Secteur Privé en 2017. L e Prix d’encouragement dans la catégorie « Innovation et Amélioration de la Qualité de Service » à l’occasion du Prix Panafricain du Service Public, édition 2018. Ayoko  Mensah Légende photo : Assahoré Konan Jacques, Directeur général du Trésor et de la Comptabilité publique encore primé 

Taxe sur les produits de tabac dans l’Uemoa// Les propositions des associations des consommateurs

mercredi, 05 juin 2019 08:26 Written by

Le 31 mai 2019, la communauté internationale a célébré  « la Journée Mondiale sans tabac » marquée chaque année par des discours officiels des politiques et des Organisations non gouvernementales (Ong) antitabac à travers le monde. Mais aussi par la privation symbolique pour certains fumeurs.  En Côte d’Ivoire où le gouvernement a pris il y a quelques années un décret interdisant de fumer dans les lieux publics, les associations de consommateurs demandent au gouvernement de faire plus d’efforts dans l’observance du décret indiqué plus haut et estiment qu’une révision des taxes sur les produits de tabac pourrait aider à lutter contre le tabagisme et faire baisser in fine le nombre de fumeurs. M. Soumahoro Ben Nfally, le bouillant président de la Fédération des associations de consommateurs « Le Réveil » est formel quand il dit : « Lors des différentes crises que notre pays a connu, nous avons   vu en Côte d’Ivoire que   la cigarette a manqué.   Des fumeurs   sont allés jusqu’ à   payer   un paquet de cigarette à 3000 Fcfa voire 5000 Fcfa.  Rien que pour prendre leur dose de nicotine. Pour une telle personne, augmenter la taxe sur les produits du tabac ne pourrait pas le décourager de fumer! Visiblement non. Si l’Etat devait augmenter les taxes, ce n’est pas grave. Mais moi je suis pour le principe. Nous avons des décideurs qui ne peuvent s’empêcher de fumer quand ils sont en réunion, ils sont obligés de sortir constamment pour aller fumer une cigarette et revenir à la réunion. Augmenter les taxes, c’est le moindre mal. L’industriel qui fabrique indique clairement sur le paquet, ‘abus dangereux pour la santé’ mais nous consommateurs, nous mettons notre argent dedans. (…)  Aller dans ce sens pourrait peut-être à terme, contrairement à ce qui a été observé pendant la crise, non seulement diminuer le nombre de fumeurs, mais aussi mettre à l’abri  les non-fumeurs qui sont  des fumeurs passifs. » Marius Comoé, le président de la Fédération des associations de consommateurs actifs de Côte d’Ivoire ( Faca-Ci) ne dit pas le contraire quand il affirme : «Ce qui devrait préoccuper  un Etat  est incontestablement la santé  de ses populations. Il va sans dire que le taux  du nombre de personnes considérées en Côte d’Ivoire comme étant consommateurs de  produits   de tabac est en hausse vertigineuse. Du coup, des actions concrètes de la part de l’Etat sont attendues pour lutter contre le tabagisme. Le consommateur actif ne s’expose pas seulement à la fumée de sa cigarette mais aussi il s’expose à des problèmes de cancer de poumons et à une toux matinale régulière. En même, il expose également le consommateur passif qui inhale aussi la fumée de la cigarette. Pour nous, l’Etat doit limiter l’ascension des industries du tabac en termes de vente de leurs produits sur le marché national en les taxant lourdement. Ce, afin de ramener le taux de consommation de cigarettes à son plus faible niveau ». Pour M. Douakoua Godé,  président  de la  Fédération Nationale des Associations de Consommateurs de Côte d`Ivoire (Fac-ci), «la célébration de ‘la Journée mondiale sans tabac’ est pour nous l’occasion d’interpeller les Pouvoirs publics sur les conséquences néfastes de la consommation du tabac sur la santé des consommateurs.  En Côte d’Ivoire, qu’ils continuent de veiller sur l’application du décret d’interdiction de fumer dans les espaces publics. Les produits du tabac font partie des produits fortement taxés au monde.   En Europe, vous verrez des fumeurs très accrocs partir de certaines villes françaises jusqu’aux frontières avec l’Espagne, par exemple, pour s’acheter des cartouches de cigarettes. Parce qu’en Espagne,  la cigarette coûte moins cher. Cela doit nous interpeller. La Directive communautaire   de Décembre 2017 de l’Uemoa va dans ce sens. Une hausse des taxes sur les produits du tabac serait le moindre mal et notre pays devrait aller dans ce sens.  La santé n’a pas de prix. » Une position qui bien suivie amènera l’Etat ivoirien à opter pour une nouvelle fiscalité sur les produits du tabac mais aussi et surtout collecter des recettes fiscales substantielles. De l’avis d’experts, une augmentation de la base minimale d’imposition dans le processus de transposition de la directive n°01/2017/Cm/Uemoa en Côte d’Ivoire permettrait d’accroitre le niveau des recettes fiscales collectée en interne.  Ainsi, un alignement à un taux plancher de 50% suivant la directive permettrait d’anticiper une augmentation des recettes fiscales à hauteur de plusieurs milliards de Fcfa. Des recettes additionnelles qui pourraient contribuer à financer des dépenses de santé, d’éducation et d’adduction en eau potable etc.) Aux  dernières nouvelles, nous apprenons par des sources officielles ivoiriennes, que la Côte d’Ivoire n’ a pas encore ratifié la fameuse Directive communautaire de décembre 2017. Pourquoi ? Bamba Mafoumgbé,Cette adresse courriel est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.(   In Lginfos)  Légende photo :   le Premier ministre Amadou Gon Coulibaly par ailleurs ministre du Budget est interpellé

Taxe sur les produits de tabac dans l’Uemoa// Les propositions des associations des consommateurs

mercredi, 05 juin 2019 08:26 Written by

Le 31 mai 2019, la communauté internationale a célébré  « la Journée Mondiale sans tabac » marquée chaque année par des discours officiels des politiques et des Organisations non gouvernementales (Ong) antitabac à travers le monde. Mais aussi par la privation symbolique pour certains fumeurs.  En Côte d’Ivoire où le gouvernement a pris il y a quelques années un décret interdisant de fumer dans les lieux publics, les associations de consommateurs demandent au gouvernement de faire plus d’efforts dans l’observance du décret indiqué plus haut et estiment qu’une révision des taxes sur les produits de tabac pourrait aider à lutter contre le tabagisme et faire baisser in fine le nombre de fumeurs. M. Soumahoro Ben Nfally, le bouillant président de la Fédération des associations de consommateurs « Le Réveil » est formel quand il dit : « Lors des différentes crises que notre pays a connu, nous avons   vu en Côte d’Ivoire que   la cigarette a manqué.   Des fumeurs   sont allés jusqu’ à   payer   un paquet de cigarette à 3000 Fcfa voire 5000 Fcfa.  Rien que pour prendre leur dose de nicotine. Pour une telle personne, augmenter la taxe sur les produits du tabac ne pourrait pas le décourager de fumer! Visiblement non. Si l’Etat devait augmenter les taxes, ce n’est pas grave. Mais moi je suis pour le principe. Nous avons des décideurs qui ne peuvent s’empêcher de fumer quand ils sont en réunion, ils sont obligés de sortir constamment pour aller fumer une cigarette et revenir à la réunion. Augmenter les taxes, c’est le moindre mal. L’industriel qui fabrique indique clairement sur le paquet, ‘abus dangereux pour la santé’ mais nous consommateurs, nous mettons notre argent dedans. (…)  Aller dans ce sens pourrait peut-être à terme, contrairement à ce qui a été observé pendant la crise, non seulement diminuer le nombre de fumeurs, mais aussi mettre à l’abri  les non-fumeurs qui sont  des fumeurs passifs. » Marius Comoé, le président de la Fédération des associations de consommateurs actifs de Côte d’Ivoire ( Faca-Ci) ne dit pas le contraire quand il affirme : «Ce qui devrait préoccuper  un Etat  est incontestablement la santé  de ses populations. Il va sans dire que le taux  du nombre de personnes considérées en Côte d’Ivoire comme étant consommateurs de  produits   de tabac est en hausse vertigineuse. Du coup, des actions concrètes de la part de l’Etat sont attendues pour lutter contre le tabagisme. Le consommateur actif ne s’expose pas seulement à la fumée de sa cigarette mais aussi il s’expose à des problèmes de cancer de poumons et à une toux matinale régulière. En même, il expose également le consommateur passif qui inhale aussi la fumée de la cigarette. Pour nous, l’Etat doit limiter l’ascension des industries du tabac en termes de vente de leurs produits sur le marché national en les taxant lourdement. Ce, afin de ramener le taux de consommation de cigarettes à son plus faible niveau ». Pour M. Douakoua Godé,  président  de la  Fédération Nationale des Associations de Consommateurs de Côte d`Ivoire (Fac-ci), «la célébration de ‘la Journée mondiale sans tabac’ est pour nous l’occasion d’interpeller les Pouvoirs publics sur les conséquences néfastes de la consommation du tabac sur la santé des consommateurs.  En Côte d’Ivoire, qu’ils continuent de veiller sur l’application du décret d’interdiction de fumer dans les espaces publics. Les produits du tabac font partie des produits fortement taxés au monde.   En Europe, vous verrez des fumeurs très accrocs partir de certaines villes françaises jusqu’aux frontières avec l’Espagne, par exemple, pour s’acheter des cartouches de cigarettes. Parce qu’en Espagne,  la cigarette coûte moins cher. Cela doit nous interpeller. La Directive communautaire   de Décembre 2017 de l’Uemoa va dans ce sens. Une hausse des taxes sur les produits du tabac serait le moindre mal et notre pays devrait aller dans ce sens.  La santé n’a pas de prix. » Une position qui bien suivie amènera l’Etat ivoirien à opter pour une nouvelle fiscalité sur les produits du tabac mais aussi et surtout collecter des recettes fiscales substantielles. De l’avis d’experts, une augmentation de la base minimale d’imposition dans le processus de transposition de la directive n°01/2017/Cm/Uemoa en Côte d’Ivoire permettrait d’accroitre le niveau des recettes fiscales collectée en interne.  Ainsi, un alignement à un taux plancher de 50% suivant la directive permettrait d’anticiper une augmentation des recettes fiscales à hauteur de plusieurs milliards de Fcfa. Des recettes additionnelles qui pourraient contribuer à financer des dépenses de santé, d’éducation et d’adduction en eau potable etc.) Aux  dernières nouvelles, nous apprenons par des sources officielles ivoiriennes, que la Côte d’Ivoire n’ a pas encore ratifié la fameuse Directive communautaire de décembre 2017. Pourquoi ? Bamba Mafoumgbé,Cette adresse courriel est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.(   In Lginfos)  Légende photo :   le Premier ministre Amadou Gon Coulibaly par ailleurs ministre du Budget est interpellé

Tourisme :« Sublime Côte d’Ivoire »// Siandou Fofana obtient l’engagement en 4 points de l’Union européenne

jeudi, 30 mai 2019 14:36 Written by

 La Délégation de l'Union Européenne en Côte d'Ivoire a reçu le ministre ivoirien du Tourisme et des Loisirs qui a présenté la stratégie nationale de développement 2018/2025. SEM Jobst von Kirchmann, Ambassadeur de l'Union européenne en Côte d’Ivoire, au sortir d’une séance de travail autour de la stratégie nationale de développement touristique, « Sublime Côte d’Ivoire », a confié au ministre du Tourisme et des Loisirs, Siandou Fofana : « On va vous soutenir ». C’était le mercredi 29 mai, au siège de la Délégation de l’UE à Abidjan.Mieux, « sublimé » par « Sublime Côte d’Ivoire », le diplomate s’est engagé en engageant la Communauté européenne et ses pays-membres à accompagner, en 4 points majeurs, cette stratégie en: « mettant à disposition  les instruments de financements pour la construction  des éco-loges, par exemples ou toute autre infrastructure ;  continuant et renforçant la conservation des parcs de la Comoé et de Taï, le renforcement de l’appui à la construction des routes ; définissant des formations en adéquation avec les exigences de l’écosystème touristique ». SEM Jobst von Kirchmann fonde sa conviction sur l’alliance de l’Union européenne avec l’Union africaine et pour laquelle la seconde s’est engagée vis-à-vis de la première à soutenir les secteurs pourvoyeurs d’emplois sur le continent africain. Et, à l’en croire, la présentation de haut-vol de « Sublime Côte d’Ivoire » par Siandou Fofana, démontre par sa transversalité et son impact direct sur les populations, jeunes notamment, ainsi que rurales, que le tourisme est un secteur porteur d’employabilité et  de croissance. Bien plus, il agrée à la trilogie de l’incidence recherchée par  la stratégie et résumée par le ministre :«  développer un moteur de croissance du PIB et démultiplier les recettes fiscales, favoriser le développement territorial hors Abidjan, créer un réservoir d’emplois ».En tout état de cause, la Délégation de l’UE estimant que le tissu économique ivoirien étant l’un des plus en adéquation avec ses conditionnalités, il est tout à fait normal qu’il capte les financements. En ce qui concerne l’industrie touristique, sa donne écologique, donc l’écotourisme, pourrait capter bien des fonds. Et ce, à l’aune de l’économie circulaire dans laquelle elle s’inscrit et qui intègre la nouvelle vision axiologique et utilitaire des soutiens de l’Union.En outre, les parties ivoirienne et européenne ont convenu d’esquisser des circuits adaptables ou sur-mesure, indépendamment des « Routes » officielles et bien des projets à structurer avec le privé. C’est donc, au final, sur une note de satisfecit partagé que le ministre Siandou Fofana a clôt la séance de travail. Toute chose qui, à la boussole des 9 projets-phares et 9 réformes de bon aloi contenu dans « Sublime Côte d’Ivoire », laisse augurer qu’à l’horizon 2025,  la destination ivoirienne sera, inéluctablement,  dans le Top 5 du tourisme africain avec 5 millions de touristes dont 4 millions de visiteurs internationaux, la création de 650 000 emplois dont 230 000 qualifiés. Ce qui devrait faire de l’industrie touristique l’un des piliers du développement  intégral du pays. Et cela devrait nécessiter des investissements privés comme publics de plus de 3200 milliards de FCFA. 

Moussa Kader  

Légende photo : Siandou Fofana, ministre ivoirien du Tourisme et des Loisirs et Chef de délégation de l’Ue Sem Jobst von Kirchmann

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