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Dr Coulibaly Adama( Dg du Cca)Législation de la commercialisation de l’anacarde // « Faites nous des propositions(…) »

lundi, 17 décembre 2018 13:45 Written by

La Capitale politique Yamoussoukro abrite depuis ce matin, et ce durant 48 heures, un atelier d’échanges et de renforcement de capacités sur la législation en matière de commercialisation de l’anacarde. Cet Atelier a pour objectif principal d’échanger avec les principaux animateurs de l’appareil judicaire dans les zones de production et d’Abidjan sur les conditions d’une bonne mise en œuvre des textes applicables en matière de commercialisation de l’anacarde, afin de permettre une prise en charge efficace des cas d’infraction ou de conflit à l’occasion de ces activités.  A l’ouverture des travaux qui ont lieu à l’Hôtel des parlementaires,   le Docteur Adama Coulibaly, le Dg du Conseil du coton et anacarde a salué  la forte présence des magistrats notamment ceux en fonction   à Abidjan  dans les zones de production d’anacarde  d’avoir effectué nombreux le déplacement, pour participer à cet atelier de renforcement  de capacité. «  Merci à ceux qui nous aident sur le  terrain dans le cadre  de nos activités. Il s’agit de renforcer les capacités de nos collaborateurs car nous sommes parfois confrontés à l’interprétation des textes. Beaucoup de  personnes demandent les agréments et appliquent les textes de travers. Beaucoup disent qu’ils n’ont pas besoin d’agrément pour exercer. Le Conseil du Coton et de l’anacarde est fier de l’appareil judiciaire pour l’immense travail abattu sur le terrain. C’est grâce aux magistrats. Il vous appartient de lever les  discontinuités et nous faire des propositions. En vue d’un bon déroulement de la campagne de commercialisation  de l’anacarde qui  sera lancé à la mi-frévier 2019 »  a dit le Dg  du Cca.  Quant  à M. Bamba Mamadou, le Président du Conseil d’administration  de  cet  organe de régulation, il a ajouté que cette rencontre s’inscrit dans le cadre de la réforme de la filière coton- anacarde. « Aucun  n’étant parfait, il apporter    des ajustements .Le gouvernement a apprécié les principes fondamentaux  et   la mise en œuvre qui est enviée par  de nombreux pays producteurs de noix  de cajou. Nous voulons ici saluer et féliciter le  Dg pour  l’initiative de cette rencontre. Nous prenons l’engagement d’intégrer vos propositions et recommandations dans  notre gestion pour plus de fluidité  dans nos activités »   Durant  deux jours, les participants  auront à   identifier les difficultés rencontrées et les contraintes dans l’application des dispositions légales et réglementaires sur le terrain. Mais aussi et surtout  relever les moyens juridiques pour lever ces contraintes, particulièrement pour une répression efficace des infractions commises dans le cadre de la commercialisation de l’anacarde. Prennent part   à cet Atelier, les magistrats en fonction dans les juridictions de première instance des zones de production de l’anacarde et d’Abidjan, les agents du Conseil du Coton et de l’anacarde, des représentants du Secrétariat général du gouvernement, du ministère de la Justice, du ministère de l’Agriculture et du développement rural, notamment de la Direction des affaires juridiques, du contentieux et de la coopération et de membres issus de l’Institut national de formation judiciaire.    Moussa kader,  Légende photo :   

Le Docteur Adama Coulibaly, Dg du Conseil  coton-anacarde

Activités bancaires en Côte d’Ivoire // La Bicici forme des entreprises partenaires

jeudi, 13 décembre 2018 12:19 Written by

La Banque Internationale pour le Commerce et l’Industrie de la Côte d’Ivoire (Bicici), filiale du Groupe Bnp Paribas, en partenariat avec le Cabinet d’audit et de conseil Kpmg, a organisé  récemment  à l’hôtel Novotel d’Abidjan un séminaire de formation dénommé « Académie des Entreprises ». Destiné à une vingtaine de clients, filiales de multinationales pour la plupart, ce séminaire a traité de deux thèmes principaux :  «Introduction à la notion du transfert indirect de bénéfices en Côte d’Ivoire» d’une part, et  «Les récentes modifications du statut fiscal des bureaux de représentation en Côte d’Ivoire» lors de cette rencontre, M. Abdelhafid Haned, Directeur de la Clientèle des Entreprises et Institutionnels de la Bicici a précisé qu’Il est important pour nous de convier régulièrement nos clients à ce type d'initiatives et d'avoir un réel échange avec eux» Quant à Mme Nadia Hamilton, Directeur Tax&Legal à Kpmg Côte d’Ivoire, elle a échangé plus en profondeur avec les participants sur les différents sujets du séminaire. Au terme des débats d’une demi-journée, les participants qui ont poursuivi les discussions avec le Directeur Général de la Bicici, M. Jean-Louis Memann-Kouamé, étaient bien outillés pour cerner tous les contours des thèmes développés. En organisant l’Académie des entreprises,  les deux parties  démontrent leur volonté de contribuer au renforcement des capacités des entreprises. L’Académie des entreprises s’inscrit dans le cadre de la volonté de la  structure qu’il dirige d’accompagner ses clients Corporate grâce au dynamisme et à la réactivité de ses équipes commerciales, mais aussi à travers le conseil et le coaching de sa clientèle sur l’environnement global des affaires.  Moussa Kader  

Légende photo : l’un des formateurs lors du séminaire « Académie des Entreprises ».

Tourisme et Loisir // Une maison dédiée aux femmes à Port-bouet

mercredi, 12 décembre 2018 16:52 Written by

Le ministre du Tourisme et des Loisirs, Siandou Fofana a signé, le mardi 11 décembre 2018 à Abidjan, une convention avec la Province de Yunnan de la République populaire de Chine pour la construction de "la Maison des Loisirs" dédiée à l’autonomisation des femmes à Port-Bouët. "La Maison des Loisirs" est un projet d’un coût de 50 millions dollars soit plus de 25 milliards de Fcfa C’est un don de la province de Yunnan et participe, selon M. Siandou Fofana au renforcement de la coopération entre la Chine et la Côte d’Ivoire. « Cette maison dédiée aux loisirs, trouve son sens et puise son essence dans ce qui est essentiel pour la femme. La femme ne peut vivre ces loisirs que si elle a des moyens. C’est pour cela que cette maison contribuera à leur donner des outils pour un véritable épanouissement social », a-t-il signifié.
Moussa Kader
Légende photo : Siandou Fofana ministre du Tourisme et loisirs

 

Accès aux sources énergétiques Le Sénégal lance la construction de son premier parc éolien

samedi, 08 décembre 2018 08:52 Written by

  Le Sénégal vient  de procéder  au   lancement des travaux du premier parc éolien d’utilité publique en Afrique de l’Ouest. Selon une note remise à la presse,  « le  Sénégal a l’opportunité de devenir un pionnier de l’énergie propre et un exemple à suivre pour les autres communautés africaines, selon les délégués réunis aujourd’hui pour le lancement des travaux marquant ainsi le début de la construction du premier parc éolien à échelle industrielle en Afrique de l’Ouest. Une fois achevé en 2020, le Parc Éolien Taiba N’Diaye (Petn ) fournira 158,7 Mw d’énergie éolienne propre et renouvelable à plus de 2 millions de personnes au Sénégal. Il constitue un élément essentiel du bouquet énergétique de Senelec et du Plan Sénégal Émergent du gouvernement. Le projet est l’un des nombreux en cours de construction en Afrique par la société de production d’énergie renouvelable Lekela »  Plusieurs parties prenantes ont pris la parole devant un public de quelques centaines de personnes qui, collectivement, ont contribué à la transformation du parc éolien, du concept à la réalité. La Senelec et le Maire de Taiba ont prononcé leurs discours portant sur le projet et à son importance pour le pays et ses citoyens. Les fondateurs du projet, Messieurs Bruno Vigneron et Jeannot Schlernitzauer, M. Chris Antonopoulos, Pdg de Lekela, et M. Massaer Cisse, Directeur Général de Lekela au Sénégal étaient également présents lors de ladite cérémonie. Parallèlement à la création de centaines d’emplois au cours de la phase de construction, le Petn déploie également un programme socio-économique plus large dans la région de Taiba N’Diaye, créant ainsi des sources de revenus à long terme pour les communautés locales. Des projets visant à améliorer l’agriculture locale, à favoriser des possibilités de formation professionnelle et à rénover ou à construire des infrastructures locales, caractérisent le lancement de ce programme qui se déroulera pendant 20 ans, et qui investira jusqu’à 20 millions de dollars soit  plus de 10 milliards de Fcfa, sur la durée de vie du parc éolien. Un nouveau marché a déjà été érigé pour la communauté agricole de Taiba N’Diaye, tandis qu’un nouveau centre informatique est en cours de construction pour les élèves de la région. Le parc éolien de 46 turbines de la marque Vestas, devrait être en pleine phase opérationnelle dans moins de deux ans et fournira plus de 450 000 Mwh d’énergie par an. Cela représente une augmentation d’environ 15 % à la capacité de production du Sénégal. Le Plan Sénégal Émergent, un programme gouvernemental destiné à accélérer le développement économique, a joué un rôle déterminant pour la réussite du  projet. Chris Antonopoulos, Président-Directeur Général de Lekela, a déclaré : « Le Sénégal a rapidement adhéré à l’idée et aux avantages des énergies renouvelables. Entre le parc Éolien Taiba N’Diaye et plusieurs projets d’énergie solaire également en cours, le pays est en train d’établir un modèle clair d’énergie propre que les autres communautés africaines pourront étudier et suivre. »« Une énergie propre, fiable, produite rapidement et qui réduit le besoin d’importer des combustibles fossiles coûteux est une formule très attractive. Cependant, beaucoup de gens ont dû travailler dur et réfléchir pour transformer ce concept en 46 éoliennes et en énergie propre pour 2 millions de personnes. Aujourd’hui, nous célébrons ces efforts et nous remercions tous ceux qui, au Sénégal et au-delà, nous ont aidés à en arriver là. » Aly Lo, Maire de Taiba, a déclaré : « Le Petn jouit de la confiance de la population de Taiba N'Diaye, qui soutient pleinement ce projet qui offre déjà des avantages directs et indirects, notamment par la création d’emplois et d’infrastructures et de services pour les travailleurs, qui auront des retombées positives pour la région(…)En outre, des initiatives ont été mises en place pour rénover le marché, fournir du matériel pédagogique aux écoles de la région et une salle informatique au Lycée de Taiba Ndiaye. Le projet laissera un héritage aux générations futures. » conclue la note. Bamba M.  

Fin de la 77e plénière du Conseil consultatif coton Les recommandations d’Abidjan

samedi, 08 décembre 2018 08:32 Written by

La 77ème Réunion plénière du Conseil consultatif international du coton( Ccic). Rendez-vous est pris pour Australie en 2019. En attendant, on peut le dire sans se tromper, des propositions concrètes ont été faites à Abidjan. « Selon les résultats du comité scientifique desdites assises, les participants ont fait des propositions sur l’augmentation des rendements, la lutte contre les ravageurs et la production mutualisée des semences à haut rendement. Mais aussi et surtout la traçabilité de la production cotonnière » a indiqué le Docteur Adama Coulibaly, Directeur général du Conseil du coton et de l’anacarde, par ailleurs, président du comité d’organisation. Aussi, il a ajouté que les participants ont également planché sur l’utilisation des innovations technologiques dans la lutte contre les ravageurs. Surtout l’utilisation des drones. « Nous entendons tirer le maximum de de ces technologies et innovation y compris les drones. Ce pour détecter les attaques des ravageurs, les plants susceptibles d’être maladies. Autant de sujets que nous allons capitaliser dans les jours à venir. En ce qui concerne la lutte contre les effets des changements climatiques, il a été préconisé de semer à bonne date. Les cotonculteurs doivent s’adapter à la culture de variétés à cycle cours avec lesquels, il est possible d’avoir des fibres en moins de trois mois. » , a dit le président du Comité d’organisation. Faut-il parler de menace des fibres synthétiques ? Vraiment pas ! Car la demande de fibre est en ce moment plus forte que la production mondiale de coton. Des experts en la matière estiment que l’avenir du coton est devant nous. Au nom de Sangafowa Mamadou Coulibaly, ministre de l’Agriculture et du Développement rural, son directeur de cabinet Coulibaly Siaka Minayah a adressé les félicitations du gouvernement aux participants venus d’une quarantaine de pays. A noter que la production ivoirienne de coton atteindrait ainsi 470 000 tonnes contre 413 000 tonnes réalisées sur la campagne 2017/18. L’objectif formulé en début de campagne était de 500 000 tonnes. Le gouvernement ivoirien a fixé pour objectif 600 000 tonnes d'ici 2020.
Moussa Kader
Légende photo : le Docteur Adama Coulibaly ,président du Comité d’Organisation de la 77e plénière du Ccic

Recettes des collectivités territoriales // Les comptables publics sensibilisés sur le recouvrement électronique

samedi, 08 décembre 2018 08:05 Written by

Des comptables publics composés de Trésoriers Généraux, Payeurs de District et de Région, Trésoriers Principaux et Trésoriers se sont réunis à l’hôtel Président de Yamoussoukro ce vendredi 07 décembre 2018. A l’invitation de la Direction Générale du Trésor et de la Comptabilité Publique (DGTCP), ils y sont pour être sensibilisés sur le recouvrement électronique des recettes propres des collectivités territoriales. La rencontre est présidée par Pierre Gnagnély Meless, Conseiller technique représentant le Directeur Général du Trésor et de la Comptabilité Publique, et Boniface Oulaï de la Direction générale de la décentralisation et du développement local et Ali SANGARE, Payeur Général du Secteur Parapublic. En effet, dans la dynamique d’optimiser la mobilisation des ressources intérieures en vue de faire face à l’amenuisement de l’aide publique au développement, la DGTCP a opté pour le recouvrement électronique des recettes propres des collectivités territoriales à travers un système électronique de collecte et de recouvrement dénommé « Net Collect-Services » actuellement en expérimentation.Cette innovation, selon le Représentant du Directeur Général, constitue une réponse adaptée aux difficultés jusqu’ici relevées au niveau de la mobilisation des ressources propres des collectivités territoriales.« Après Abidjan le 03 décembre dernier, nous sommes ici (ndlr : Yamoussoukro) pour permettre aux comptables publics de s’imprégner du fonctionnement de la plate-forme, du champ de compétence de l’opérateur et des acteurs intervenant dans le processus de recouvrement électronique au regard des règles des finances publiques », a indiqué Gnagnely Meless.Pour sa part, Sékongo Clotcho, Directeur Général de BMI international consulting Côte d’Ivoire, a démontré qu’il s’agit d’une solution efficace à la réduction efficiente de la déperdition, à l’optimisation de la des ressources des collectivités territoriales et à une meilleure gouvernance dans l’économie des communes.Ainsi, bâti sur une plate-forme monétique avec une interface web, « Net Collect-Services » permet de suivre à temps réel toutes les opérations de collecte sur le terrain.Cette solution technologique a été conçue par BMI international consulting Côte d’Ivoire, société ivoirienne de droit privé, spécialisée dans la conception, le financement et la mise en œuvre de projets intégrés de développement communautaire et de sécurité urbaine.« Net Collect-Services » a déjà permis de constituer une base de données fiable pour ces communes et contribué à maîtriser le potentiel fiscal desdites communes et d’améliorer significativement leur recouvrement par des moyens modernes de collecte. Des échanges entre les comptables publics et le promoteur du « Net Collect-Services », étaient au menu des travaux en vue d’une appropriation de cet outil d’une part, et d’autre part, de la définition de son champ de compétence conformément à la règlementation en matière de recouvrement.
www.abidjan.net

 

Insécurité: Le Mobil Banking une solution efficace contre l’insécurité dans le monde rural

mercredi, 05 décembre 2018 17:52 Written by

 Face à la recrudescence des  braquages, l’on est tenté de se demander   s’il ne faudrait vulgariser  à grande échelle,  le mobile Banking dans nos campagnes. Précisément de  zones de production des  spéculations comme le cacao, le café et la noix  de cajou.     Des projets pilotes portés par la Société financière internationale( Ifc)  l’ a  implémenté  dans le sud-ouest ivoirien et ça marche bien.  Selon Omeneka M.  de l’Ifc, « le taux  de l’inclusion financière a quasiment doublé entre 2014 et  2017. Passant  de 12 à 23%. ( …)  l’Ifc a  un projet dans ce sens  avec les producteurs de cacao et cela leur permet de mieux épargner à travers le mobil Banking »Des structures de microfinance internationale  comme Advans.ci sont également sur le  coup avec des coopératives  café-cacao et d’anacarde.  Aujourd’hui acteur majeur de la filière cacao où elle opère depuis 2013, l’institution de microfinance Advans CI après deux années d’essai fructueux,  s’est lancé  dans  la filière anacarde en signant avec Perform World SA, une société d’exportation et de négoce de produits agricoles, positionnée parmi les quatre premiers exportateurs nationaux de noix de cajou, une convention de financement de 3 milliards Fcfa. Les prêts seront accordés par Advans Ci  à une vingtaine de sociétés coopératives  d’anacarde sélectionnées par Perform World SA pour leur permettre de s’équiper en camions pour la collecte de leur production et aussi faire face à leur besoin en fonds de roulement. Les producteurs d’anacarde sélectionnés bénéficieront chacun de crédits allant jusqu’à 200.000.000 Fcfa, pour un financement d’une valeur totale de 03 milliards Fcfa annoncé pour l’année 2018. En effet, «  les fournisseurs pris en compte dans le cadre de la convention sont implantés dans les zones de production de l’anacarde, à l’intérieur du pays et notamment dans les villes de Korhogo, Daloa, Bouaké,Bondoukou et Boundiali. Cette année, Advans CI envisage de développer de nouvelles synergies et de poursuivre ses efforts en faveur de l’inclusion financière à travers la bancarisation et l’accompagnement des populations urbaines et rurales en marge du système bancaire classique ». Le  mobile Banking a l’avantage de  sécuriser leurs revenus. Avec le Mobile banking,  les  clients peuvent désormais ouvrir instantanément leur compte bancaire mobile à distance, tout en bénéficiant de services innovants d'un simple glissement de doigt. Les banques mobiles (mobile banking) enregistrent une « percée fulgurante » en Côte d’Ivoire ces dernières années  avec près de 20 millions d’abonnés, selon l’Association des professionnels des banques et établissements financiers de Côte d’Ivoire (Apbef-ci). Qui ne manque pas   de mentionner  une percée fulgurante de mobile banking en Côte d’Ivoire 19 à 20 millions de clients sur une population de 24 millions d’habitants. C’était en janvier 2015.    Bamba MafoumgbéLégende photo :   (Kiosque   mobile money,  barrer le logo  de l’opérateur mobile)  bien  vulgarisé le mobile Banking peut  contribuer à sécuriser l’épargne  dans le monde agricole
  
   
 
 

Organisation internationale du sucre// L’ivoirien Aly Touré prend la vice- présidence

mardi, 04 décembre 2018 17:02 Written by

L’Organisation Internationale du Sucre (Ois) a tenu, à Londres, au Royaume-Uni, la 54ème session du Conseil International du Sucre et ses organes subsidiaires, du 27 au 30 Novembre 2018. Cette réunion du Conseil était présidée par la vice-présidente, Madame Nicola Hinder (Australie), en l’absence du Président en exercice, Son Excellence Monsieur Endaweke Abite Degefu, Directeur Général de l’Ethiopian Sugar Corporation. L’Ois est un organisme intergouvernemental, créé en 1968, pour administrer les différends Accords Internationaux sur le Sucre, dont le dernier en date est l’Accord International de 1992. Son rôle est de promouvoir le commerce et la consommation du sucre, suivre l’évolution du marché sucrier mondial et encadrer les politiques sucrières nationales. Basée à Londres, l’Organisation Internationale du Sucre compte 87 Etats-Membres qui représentent 87% de la production mondiale de sucre, 68% de la consommation mondiale de sucre, 90% des exportations mondiales et 40% des importations mondiales. La Côte d’Ivoire participe de façon active aux réunions de l’Ois, dont elle est membre depuis le 23 mars 1993. C’est ainsi qu’elle siège au sein du Comité Administratif de cette Organisation depuis 2016, à travers la personne de Sem Aly Touré, Représentant Permanent de la Côte d’Ivoire auprès des Organisations Internationales de Produits de Base à Londres. Le Comité Administratif est l’organe consultatif du Conseil, organe suprême, lui faisant des recommandations sur les questions financières et administratives de l’Ois. La 54ème session du Conseil s’est penchée, en particulier, sur la question importante de la révision ou non de l’Accord International sur le Sucre de 1992, sans parvenir à une décision consensuelle. Elle a, par ailleurs, élu respectivement, Madame Hinder et S.E.M. Aly Touré, en qualité de Présidente et Vice-président du Conseil International du Sucre pour l’année 2018/19.Cette session a été précédée par la 27ème édition du Séminaire International du Sucre dont le thème « Réforme du secteur sucrier : Menace ou Défi ? », a attiré plus de 400 participants venus de 60 pays à travers le monde. La Côte d’Ivoire, qui vise l’augmentation de sa production en sucre pour être autosuffisant, continuera de prendre une part active à ces assises afin de tirer parti des expériences réussies de développement durable du secteur sucrier des autres Pays-membres, ainsi que des opportunités de coopération offertes et facilitées par l’Organisation Internationale du Sucre.Une correspondance particulière  

Guinée équatoriale / Marché mondial du Pétrole/ Gabriel Obiang Lima : « L’unité des nations productrices n’a jamais été aussi importante(…) »

lundi, 03 décembre 2018 21:17 Written by

« Le Ministère des mines et des hydrocarbures, représentant le gouvernement de la Guinée équatoriale, appelle à l’unité des producteurs de pétrole avant que ne se déroule cette semaine la 175e réunion ordinaire de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) à Vienne. La réunion arrive à un moment crucial pour l’organisation alors qu’elle lutte contre des cours du baril en déclin et doit se décider quant à prolonger les coupes de production qui ont jusqu’ici stabilisé les marchés pétroliers mondiaux et sauvé l’industrie de sa chute » rapporte un comité de presse émanant du gouvernement équato-guinéen istribué par APO Group dont nous avons eu copie. Selon ladite note, « La Guinée équatoriale se joint aux pays membres et non-membres de l’Opep, renouant son soutien au fort leadership dont ont fait preuve les pays membres et S.E. Mohammad Barkindo durant une période complexe pour l’industrie des hydrocarbures » Dans cette note, S.E. Gabriel Mbaga Obian Lima, ministre des Mines et des Hydrocarbures de la Guinée équatoriale ajoute que : « L’unité des nations productrices n’a jamais été aussi importante que maintenant au cours de notre histoire. Nous appelons les pays producteurs à être soudés et à faire preuve de solidarité avec l’Opep et avec notre frère S.E. Mohammed Barkindo, dans un effort commun pour maintenir l’équilibre et la stabilité des marchés pétroliers, » La Guinée équatoriale a adhéré à l’Opep en 2017, après avoir été partie prenante des accords de coupe de production initialement conclus avec les pays non-membres de l’Opep en 2016. Suite au crash de 2014, l’économie rentière de la Guinée équatoriale est entrée en récession. A l’horizon 2019, en revanche, la Guinée équatoriale s’attend à recevoir 2,4 milliards de dollars d’investissements étrangers et à forer huit puits d’exploration. Ses espoirs pour 2019 ne sont pas uniques en Afrique, continent qui a connu les plus grandes découvertes récentes d’hydrocarbures et s’apprête à accueillir de nouveaux producteurs, comprenant le Sénégal, l’Ouganda, la Mauritanie et le Mozambique. La collaboration des producteurs membres et non-membres de l’Opep à s’engager et adhérer aux coupes de production a notamment mené à la Déclaration de coopération historique de 2017. L’accord majeur est largement crédité pour avoir stabilisé les marchés pétroliers et déclenché une nouvelle vague d’investissement en exploration, ce qui est crucial pour des nations africaines comme la Guinée équatoriale. « Il y a seulement deux ans, l’industrie des hydrocarbures était en péril et les nouveaux investissements dans la chaîne de valeur étaient mis en arrêt ou complètement annulés» a déclaré S.E. Gabriel Mbaga Obiang Lima. Qui termine : « Mais les marchés ont connu une récupération remarquable, due en grande partie à l’engagement de tous les pays membres et non-membres de l’Opep à la Déclaration de coopération historique. Dans cet environnement, les compagnies pétrolières et gazières ont pu émerger de cette période de troubles plus fortes et plus efficaces. Les investisseurs cherchent activement de nouvelles opportunités. » A noter que hier 03 décembre 2018, selon le site www.prixdubaril.com, « le Witi a terminé à 53,09 dollars contre 61,89 dollars pour le Brent »
Bamba Mafoumgbé,Cette adresse courriel est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.


Distribué par APO Group pour Ministry of Mines and Hydrocarbons, Equatorial Guinea.

 

Développement de l’économie cotonnière:: Abidjan capitale mondiale du coton

samedi, 01 décembre 2018 18:24 Written by


Le  Docteur  Adama Coulibaly, Directeur général du Conseil coton et anacarde  et  président du comité d’organisation, était face à la presse le  jeudi 29 novembre 2018.   Ce pour expliquer  les enjeux de la 77ème réunion plénière du CCIC .Qui aura lieu du  2 au 6 décembre 2018  à Abidjan. A l’occasion,  Abidjan va  recevoir  la 77ème réunion plénière du Comité consultatif international du coton (CCIC).  Environ 400 délégués viendront des 29 pays membres du CCIC. Ils auront à faire des propositions « innovantes » en vue de la « durabilité » du secteur mondial de l’or blanc. Une filière confrontée à la concurrence des fibres synthétiques. En 2017-2018, le monde a produit 25,4 millions de tonnes de coton fibre. Les principaux pays producteurs sont l’Inde avec 6,3 millions de tonnes. La Chine talonne avec ses 5,9 millions de tonnes. États-Unis, Brésil et Pakistan occupent respectivement le 3ème, 4ème et le 5ème rang. En Afrique, le Mali tient le haut du pavé avec ses 700.000 tonnes produites en 2017-2018. Le Burkina Faso est classé second devant le Bénin. La production ivoirienne est de 413.205 tonnes. Le CCIC est une vieille organisation. Née en 1939, il a son siège à Washington, aux États-Unis. La Côte d’Ivoire y a adhéré en 1973. C’est la toute première fois que le pays abrite une des plénières annuelles de cette « fédération » de producteurs mondiaux de l’or blanc.  Kader Moussa Legende photo :   Dr Adama Coulibaly, Dg du Conseil du coton et anacarde et président du comité d’organisation  de la 77e  réunion plénière du Comité consultatif international du coton

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