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dimanche 9 février 2025
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Culture

Culture (63)

Gagnoa- presse// Le bureau de l’Amego installé par Aimée Zébéyoux

dimanche, 04 août 2019 17:26 Written by

 Le bureau de l’Association des journalistes et professionnels des média du Gôh (Amego), a été investi, le  samedi 0 3 aout  2019,  par la Secrétaire d’Etat aux Droits de l’Homme, Aimée Zébéyoux, lors d’une cérémonie solennelle à la préfecture de Gagnoa. « Félicitation pour avoir pu vous mettre ensemble », a  salué Mme Zébéyoux, s’adressant au président investi Dogad Dogoui, chef du bureau régional de l’Agence Ivoirienne de Presse (Aip) à Gagnoa et à l’ensemble des membres de cette association, qui a pour objectif essentiel d’aider au renforcement de capacités des hommes de médias. Le professionnalisme du journaliste et l’honnêteté auxquels ils devraient s’en tenir dans le rendu des faits, sont les principaux vœux émis par la secrétaire d’Etat, Haut patron de la cérémonie, qui avait à ces côtés, le député d’Oumé, Touré Virginie, marraine de la cérémonie, qui a abordé dans le même sens. L’ambassadeur Alcide Djédjé, patron de la cérémonie d’investiture, et le président de l’Autorité nationale de la Presse (Anp), Raphaël Lapké, président de l’évènement, tous présents, ont poursuivant dans la vision de la ministre, en encourageant les journalistes aux respects des règles de déontologie de la presse. L’Amego a été créée le 26 mai 2018, et compte en son sein, une quarantaine de journalistes de la presse écrite, des présentateurs et animateurs radio ainsi que les reporters photo et cameramen exerçant dans l’espace territoriale du Gôh. « N’ayez pas peur de rendre disponible l’information », a plaidé le président Dogad Dogoui, s’adressant aux cadres et hommes politiques du Gôh, assurant que l’accessibilité à cette matière première du journaliste, allègera le travail de tous.

 Ayoko Mensah ( Source :Aip)

 Legende photo : Les   personnalités donatrices et  la  secrétaire d`Etat, Aimée Zébéyoux après investiture du président des journalistes du Goh, Dogad Dogui
 

Littérature et Tics// La Côte d’Ivoire perd deux de ses illustres fils en 48 heures

dimanche, 10 mars 2019 21:50 Written by


Bernard B. Dadié, le père de « Monsieur Togo-Gnini », a rangé la plume à jamais ce samedi 9 mars 2019. Triste nouvelle pour le monde de la littérature africaine. Né en 1916 en Côte d’Ivoire, il a été élève de l’Ecole normale William Ponty de Dakar d’où sortirent la plupart des premiers « leaders » de l’Afrique noire francophone des indépendances. Bernard Binlin Dadié entre dès 1933 en littérature. Son œuvre émerge en Afrique au moment où s’affirme le Mouvement de la Négritude à Paris. Durant sa carrière d’écrivain émérite, il a abordé dans sa vingtaine d’ouvrages parus, le journalisme militant, la poésie, le conte, le roman, la chronique, l’aphorisme, le théâtre et la nouvelle. L’œuvre de Bernard B. Dadié « Monsieur Thôgô-Gnini » est une pièce théâtrale qui met sur scène deux femmes et seize hommes. L’œuvre comporte cent quinze (115) pages divisée en six tableaux. Il est édité par les éditions Présence africaine en 1970. De quoi s’agit-il dans cette œuvre? Au milieu du XIXe siècle, un traitant blanc et son acolyte débarquent sur l’une des côtes occidentales afin d’établir des liens commerciaux avec les autochtones. Thôgô-Gnini, le porte canne du roi, devient leur auxiliaire et s’enrichit grâce aux liens commerciaux qu’il réussit à tisser pour son propre compte personnel avec l’Europe. Bernard B. Dadié s’en va au moment où la Côte d’Ivoire et ses fils sont en train de jouer depuis quelques années, l’une des plus grandes pièces de théâtre de son existence. 24 heures avant, c’est un autre digne fils de la Côte d’Ivoire, le Docteur Vincent Kragbé Gadou, le ‘père’ du Village des technologies de l’information et de la biotechnologie( Vitib) de Grand Bassam( Zone franche de Grand Bassam). Vincent Gadou Kragbé qui est décédé à l’Institut de cardiologie d’Abidjan (Ica) à la suite d’une intervention chirurgicale. Mais avant, il avait été opéré du cœur au Maroc, il y a quelques mois de cela. Après la convalescence au Ghana où il vit avec sa famille depuis la crise post-électorale de 2011, il a rejoint Abidjan en vue de ses nombreuses rencontres dans le cadre d’un grand projet de développement qu’il a conçu avec un réseau d’experts multinationaux. Vincent Gadou Kragbé est le père du Village des technologies de l’information et de la Biotechnologie (Vitib). C’est-à-dire, la zone Franche de Grand-Bassam. Il en est le concepteur et le promoteur. Il a conçu le projet au moment où il était conseiller du Président Laurent Gbagbo, chargé des technologies de l’information. C’est à juste titre qu’au démarrage effectif du projet, il a été nommé Pdg, puis Pca. Poste qu’il a gardé jusqu’à la crise post-électorale. Ces deux illustres fils d’Eburnie un dénominateur commun : Ils ont été très proches de Laurent Gbagbo
Bamba Mafoumgbé
Légende photo : Docteur Vincent Kragbé Gadou, le père et concepteur du Vitib

 

Ebony 2018 / Prix sectoriel Transport // Le confrère Bamba Mafoumgbé primé

dimanche, 09 décembre 2018 19:27 Written by

Fin  de la célébration de la vingtième nuit de la Communication «  Noel X Ebony » 2018. Qui a  eu lieu dans la nuit  du Samedi au dimanche 2018 au Palais des Congrès du Sofitel Ivoire. Traoré Tié Médandjé du quotidien L’Inter a été sacré Super Ebony 2018, le prix distinguant le meilleur journaliste de l’année, au cours de la 20e nuit de la Communication organisée samedi soir par l’union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire.  Le super Ebony 2018 a également raflé trois   autres prix à savoir le prix spécial de la meilleure enquête, du prix spécial du meilleur reportage et du prix Ebony de la presse écrite et numérique.  Dans la catégorie des  prix sectoriels,  Bamba Mafoumgbé, journaliste  au  quotidien Lginfos a remporté le prix spécial promotion des Transports sponsorisé par   Bolloré Transport  et Logistics Côte d’Ivoire.   Il a soumis à l’appréciation du jury  au moins 9 articles  dont trois  par grand genre.  Entre autres textes retenons le reportage  ayant  sur le  Transport sur le plan d’eau lagunaire d’Abidjan ainsi qu’une enquête sur la dégradation et l’entretien routier en Côte d’Ivoire. Le  confrère reçoit un trophée, un ordinateur portable, une enveloppe  de 200 mille fcfa entre autres. Bamba Mafoumgbé dédie son prix à l’ensemble   du personnel du Groupe cyclone et acteurs de la chaine des transports en Côte d’Ivoire .  A noter  que  cette 20e nuit de la communication était présidée par  Madame Dominique Ouattara, Première Dame de Côte d’Ivoire. A l’occasion elle a dit : « Plus que jamais, votre métier doit prendre en compte les évolutions technologiques». Aussi, la marraine de la cérémonie en exhortant les journalistes ivoiriens « à persévérer dans la recherche de l’excellence ».Avant elle, Sidi Tiémoko Touré, le ministre ivoirien de la communication et des médias, a réaffirmé l’engagement du gouvernement ivoirien à accompagner la presse, soulignant que les défis de ce secteur sont nombreux. « Le développement du numérique est une véritable opportunité pour qui sait le capitaliser. Loin d’être un ennemi, c’est un véritable atout pour les entreprises de presse », a soutenu  M. Touré      Moussa Kader Légende photo :  Bamba Mafoumgbé, de Lginfos  reçoit  son prix des mains  du représentant de Bolloré  Transport  et Logistics Côte d’Ivoire 

Visite presse/ Programme de dialogue et de partage // 3 journalistes Ivoiriens au cœur des institutions de l’Ue

lundi, 19 novembre 2018 19:51 Written by

 Une délégation de 3 journalistes Ivoiriens séjourne depuis le dimanche 18 novembre 2018 à Bruxelles en Belgique et ce, à l’invitation de la Friedrich-Ebert-Stiftung afin de découvrir les institutions de l’Union Européenne et la coopération de cette Institution avec les Etats africains, de même que mieux découvrir les accords de Cotonou. Ladite délégation conduite par M. Séraphin Konan KOUAME, Chargé de Programme à la Fondation Friedrich Ebert, est composée de M. Guillaume Gbato (Secrétaire Général du Syndicat National des Professionnels de la Presse de Cote d’Ivoire SYNAPPCI, journaliste au Service Politique du quotidien Notre Voie ; Mme Lagon Marie-Adèle Djidje Epse Ebiegnin Journaliste au Service Société de Fraternité-Matin et membre de l’Olped (Observation pour la Liberté de l’Ethique et la Déontologie) ; M. Wakoubo Samuel, Chef du Programme Communication et information de la Commission nationale Ivoirienne pour l’UNESCO, Journaliste au Service Politique du quotidien l’Expression et chargé de missions de l’Intersyndicale des Médias de Côte d’Ivoire (ISMCI). Le programme de cet échange entre les journalistes Ivoiriens et l’Union Européenne prendra fin le vendredi 23 novembre prochain. Moussa Kader Légende : Les journalistes   ivoiriens  en compagnie des  responsables  de la Fes

 

Côte d’Ivoire: 23 journalistes sélectionnés pour le Prix Ebony 2018

mardi, 13 novembre 2018 07:40 Written by

 Côte d’Ivoire: 23 journalistes sélectionnés pour le Prix Ebony 2018  

 Une liste de 23 sélectionnés pour l’édition 2018 du Prix Ebony qui récompense annuellement les meilleurs journalistes de la Côte d’Ivoire, a été dévoilée par l’Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire ( UNJCI) dans un communiqué transmis lundi à APA.Dans les quatre différentes catégories figurant sur cette liste, l’on dénombre notamment 6 nominés pour la Radio, 5 pour la télévision, 10 pour la presse écrite et en ligne et 2 pour l’Agence ivoirienne de presse (AIP).L’édition 2018 du prix Ebony est prévue le 08 décembre prochain sous le parrainage de la première dame ivoirienne, Dominique Ouattara. Les lauréats de cette grande soirée dénommée également « Nuit de la communication » repartiront avec plusieurs lots. L’an dernier, le prix du super Ebony ( meilleur journaliste) a été remporté par Pargassoro Koné de la première chaîne de télévision de la Radiodiffusion télévision ivoirienne ( RTI, service public).Ce dernier avait raflé également le prix du meilleur reportage et celui de l’Ebony télé empochant ainsi divers lots dont les clés d’un véhicule et un terrain viabilisé.
La liste des sélectionnés ( Ebony 2018)
Radio :
Soro Sita ( Radio Côte d’Ivoire)
Koffi Kouassi Régis Vincent ( Radio Côte d’Ivoire)
Kouassi Kouassi Gervais ( Radio Côte d’Ivoire)
Ly Goua Aimé Ludovic ( Radio Yopougon)
Kouande Wa Carlos ( Radio Yopougon)
Kanate Kassoum ( Radio Albayane)
Télévision:
Amy Cissoko ( TV1)
Chrystel Menan ( TV1)
Serges Kolea ( TV1)
Michel Digré ( TV1)
Hervé Blé ( TV1)
Presse écrite et en ligne:
Emeline Pehé Amangoua ( Fratmat)
Nesmon De Laure ( Pôleafrique.info)
Traoré Tié ( L’Inter)
Bamba Mafoungbé ( LG Infos)
Attoungbré Joseph ( Le temps)
Essi Jean Baptiste ( Le temps)
M’Bra Konan ( Soir Info)
Kouadio Allé Paul ( La tribune de l’économie)
Rodrigue Konan ( Le Jour plus)
Eugène Djaha ( LG Info)
Agence ivoirienne de presse: 
Mariam Coulibaly Sonia ( AIP)
Soro Piechion Benjamin ( AIP)
 APA 

Un jeune réalisateur marocain réussi la fusion du jazz avec Ahwach , une danse communautaire de la région de Ouarzazate

samedi, 31 mars 2018 15:25 Written by

Hassan Mrani, réalisateur et producteur, s'est découvert très tôt une passion pour l'image et le cinéma. Son émerveillement pour les choses simples de la vie l'a alors naturellement conduit à tout faire pour mettre en image ces détails d’une réalité que les autres, bien souvent, ne voient que rarement.
Les défis lui plaisent et quand l’occasion de réaliser son premier vidéoclip « Ahwach Jazz » s’est présentée, il n’a pas hésité à la saisir. Il a pu ainsi mettre en valeur le patrimoine immatériel et culturel de la région de Ouarzazate qui est riche par sa diversité dont les Kasbahs et les oasis. Et aussi de faire de l'Ahwach un symbole de reconnaissance internationale d’Ouarzazate.
Le vidéo-clip « Ahwach Jazz » a rassemblé une équipe professionnelle et expérimentée dans le domaine du cinéma et l'audiovisuel et a été produit avec les dernières tendances technologiques qui respectent les mesures internationales de production cinématographique et audiovisuelle.
Hassan, en tant qu’activiste de sa ville Ouarzazate et de la région de Draâ-Tafilalet, a pris l'initiative de rendre service à sa région par montrer au monde les capacités touristiques, naturelles et culturelles de la région à travers de prochains vidéoclips.

 

https://www.youtube.com/watch?v=orSQyHUdq-U

 

 

10ème édition MASA 2018 : De grandes innovations en ligne de mire

samedi, 10 février 2018 11:59 Written by

Le Marché des Arts du spectacle d’Abidjan (MASA) qui se tiendra du 10 au 17 mars 2018 prévoit de grande innovation tant par la qualité des participants, que par la qualité de l’organisation. C’est l’annonce faite par le Prof. Yacouba Konaté, Directeur Général du Masa au cours d’une conférence de presse, le jeudi 8 février 2018 à son siège sis au Plateau, Abidjan.

Les innovations spécifiques du Masa 2018 sont entre autres, une implication forte du canada, une collaboration renforcée avec les professionnels du spectacle, inscription de l’humour et des Arts de la Rue comme discipline à part entière, recadrage du Masa festival autour des showcases et des speed-mettings, deux programmes de formation à l’intention des metteurs en scène et managers de troupes et plusieurs rencontres des réseaux professionnels, a tenu à préciser à l’entame de ces propos, Prof. Yacouba Konaté

C’est à l’issu d’une sélection rigoureuse de candidatures de groupes venant d’Afrique, d’Europe et d’Amérique que 138 groupes ont été sélectionnés cette année dont, 48 groupes de musique, 7 en Danse, 10 Théâtre, 4 en Conte, 2 en Humour, 2 en Arts de la rue et 1 en Slam, ce qui fait 74 groupes dont 13 de Côte d’Ivoire qui ont été retenu pour le festival et 64 dans le cadre du Marché, a-t-il livré.

Ainsi en plus des partenaires traditionnels, un accent tout particulier a été mis cette énième édition sur les pays fondateurs de ce festival notamment, la Belgique et le Canada (Quebec), serons impliqué avec une délégation substantiel, a expliqué Prof. Yacouba Konaté.

Cette 10ème édition sera aussi l’occasion de fêter les 25 ans d’existence qui offre l’opportunité de faire un bilan historique et une réflexion prospective autour du thème général « Quels modèles économique pour les arts de la scène ? Festivals, Troupes et salle de spectacles », dit-il.

Il poursuit, « Pour seulement cinq mille francs cfa (5.000 fcfa), les festivaliers auront droit au marché et aux salles de spectacles durant ces 8 jours », tout ceci dans l’optique de sortir du « modèle économique de la gratuité », a-t-il insisté. 

Il faut noter qu’une caravane mobile sillonnera les villes de l’intérieur à quelque jour du festival à savoir, Korhogo, Bouaké, Bondoukou, Yamoussokro et Tiassalé.

Ciss Toum

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