Prix garanti bord champ (campagne 2023-2024): CACAO 1800 Fcfa / KgCAFE 1500 Fcfa / Kg

jeudi 19 juin 2025
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Société

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Assinie/ Protection de l’environnement- Les collaborateurs d’AGL Côte d’Ivoire et de PACOCI participent à une opération de reboisement

mercredi, 18 juin 2025 17:41 Written by Admin

Dans le cadre de la Journée mondiale de l’environnement 2025, célébrée cette année sous le thème : « Mettre fin à la pollution plastique », AGL Côte d’Ivoire et PACOCI (Société de Palettisation et de Conditionnement de Côte
d’Ivoire), filiale du groupe AGL, ont réaffirmé leur engagement en faveur dela protection de l’environnement et de la lutte contre le changement climatique.
En partenariat avec la Fondation YES, les deux entités ont participé le 11 juin 2025, à une opération de reboisement dans la forêt classée de la ville d’Assinie, située à environ 94 km à l'est d’Abidjan. Cette action, qui a mobilisé plus de 100 collaborateurs, s’inscrit dans une stratégie globale de restauration des écosystèmes, de préservation de la biodiversité et de renforcement du couvert végétal, enjeu crucial dans un contexte de dérèglement climatique.

Un dispositif de suivi à long terme a également été intégré afin de garantir la croissance des arbres plantés et d’assurer un impact durable de cette action environnementale.
« La transition vers des pratiques plus respectueuses de l’environnement repose sur la mobilisation collective. À travers ce reboisement, nous avons voulu démontrer que chaque geste compte. L’engagement environnemental peut être à la fois concret, accessible et profondément porteur de sens », a souligné Marie-Bola Awomon, responsable Durabilité chez Agl Côte d’Ivoire.
Dans le prolongement de cette mobilisation, une conférence en ligne animée par le Professeur Bernard Yapo, Directeur du Centre Ivoirien Anti-Pollution (CIAPOL), a marqué le lancement de la semaine d’engagement environnemental. Cette intervention a permis de sensibiliser les collaborateurs d’AGL Côte d’Ivoire aux impacts de la pollution plastique sur les filières logistiques et maritimes, tout en mettant en lumière des bonnes pratiques en matière de gestion durable.

D’autres actions de terrain ont également été menées, notamment à San Pedro, où les collaborateurs se sont mobilisés pour une opération de nettoyage de plage, apportant ainsi leur contribution à la lutte contre la prolifération
des déchets plastiques dans les zones côtières. Un challenge "Un mois sans plastique" est également lancé entre les collaborateurs d’AGL Côte d’Ivoire, et se poursuivra jusqu’à la fin du mois de juin, afin de maintenir la dynamique de sensibilisation contre l’usage des sachets plastiques.
« En tant qu’opérateur logistique, nous avons un rôle déterminant à jouer dans la préservation de l’environnement, mais aussi dans l’accélération de la transition vers des modèles économiques plus durables. La Semaine de l’environnement que nous avons organisée illustre pleinement la capacité de nos équipes à agir concrètement sur
le terrain, avec conviction, créativité et sens des responsabilités. À travers ces actions, nous renforçons notre vision de réduire notre empreinte environnementale, de promouvoir une logistique plus verte et de contribuer activement à la lutte contre les changements climatiques. », a déclaré Asta Rosa Cissé, Directrice Régionale d’AGL Côte d’Ivoire-Burkina Faso. À travers ces initiatives, AGL réaffirme son ambition de faire de la durabilité un pilier central de son action, en œuvrant localement pour répondre aux grands défis environnementaux mondiaux, notamment la lutte contre la pollution plastique, la préservation des ressources naturelles et l’atténuation des effets du changement climatique.

Bamba M.

Foncier urbain/ Bruno Koné rassure les députés- « Il n’y a pas de recrudescence des litiges fonciers en Côte d’Ivoire »

mercredi, 18 juin 2025 15:18 Written by Admin

Le ministre de la Construction, du Logement et de l’Urbanisme, M. Bruno Nabagné Kone, a pris part, le mardi 17 juin 2025, à une séance de questions-réponses à l’Assemblée nationale, à l’invitation des députés. Cet exercice républicain, le premier du genre pour un membre du gouvernement à l'hémicycle, a permis d’échanger en toute transparence sur les enjeux et les défis de la gestion du foncier urbain en Côte d’Ivoire.
Au cours de son intervention, le ministre Bruno KONÉ a dressé un tableau clair de la complexité du secteur du foncier, en revenant d’abord sur les limites du système antérieur, marqué par l’anarchie, l’insécurité juridique et la faiblesse des outils de planification.
Il a ensuite présenté les réformes majeures entreprises par son département pour rétablir l’ordre et la transparence, au rang desquelles figurent :
• le Système Intégré de Gestion du Foncier Urbain (SIGFU), un outil numérique innovant qui garantit la traçabilité, l’interopérabilité et la sécurisation des actes fonciers ;
• le Code de l’Urbanisme et du Domaine Foncier Urbain, adopté en 2020, qui modernise le cadre législatif ;
• le décret n°2021-784 du 8 décembre 2021, encadrant les opérations de lotissement ;
• le Référentiel Géodésique Unique, mis en place pour uniformiser la lecture de l’espace urbain sur l’ensemble du territoire.
Le Ministre a également insisté sur le rôle central de l’Attestation de Droit d’Usage Coutumier (Adu) considérée comme une avancée dans la sécurisation des droits fonciers des populations locales. « L’Adu n’est en rien une menace pour les droits des communautés. Bien au contraire, elle constitue une reconnaissance légale des droits coutumiers et protège les acquéreurs contre les doubles attributions », a-t-il précisé.
Répondant aux inquiétudes liées à une supposée recrudescence des litiges fonciers, le Ministre a été formel : « Je tiens à rassurer, chers députés et nos concitoyens : il n’y a pas de recrudescence des litiges fonciers en Côte d’Ivoire. Nous disposons aujourd’hui d’une cartographie précise des zones à risque. Et grâce à nos outils numériques, chaque dossier est traité avec la plus grande rigueur, en mobilisant, si nécessaire, toutes les voies de recours, y compris judiciaires. »
Enfin, concernant les retards dans la délivrance des Arrêtés de Concession Définitive (Ac)d, Bruno Koné a rappelé que des mesures correctives ont été prises pour fiabiliser le processus, en renforcer la sécurité et accélérer les délais de traitement. Il a réaffirmé que l’objectif du Président de la République et du Gouvernement reste inchangé : permettre à chaque citoyen ivoirien d’accéder à un titre de propriété sécurisé, clair et incontestable.
Bamba Mafoumgbé avec Sercom Cette adresse courriel est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Lancement du Hedera Africa Hackathon - 1 million de dollars de récompenses pour accélérer la transformation numérique du continent

mercredi, 18 juin 2025 12:02 Written by Admin

The Hashgraph Association, organisation suisse à but non lucratif s’associe à la fondation Exponential Science pour lancer le Hedera Africa Hackathon 2025. Objectif : former et mobiliser la nouvelle génération de développeurs Web en Afrique, et favoriser une inclusion économique à l’échelle du continent grâce aux technologies du futur.

Avec plus de 20 villes africaines mobilisées, ce hackathon est appelé à devenir le plus grand événement Web3 du continent. Développeurs, étudiants, entrepreneurs… sont invités à concevoir des solutions décentralisées autour de secteurs stratégiques comme la finance, la santé, les télécommunications, l’agriculture, l’industrie ou encore le développement durable.
L’innovation s’appuiera sur Hedera – la technologie DLT la plus efficace au monde – ainsi que sur d’autres technologies de pointe comme l’IA, l’IoT, la robotique ou l’informatique quantique.

Une dynamique continentale
L’édition 2025 combinera une participation en ligne avec des événements en présentiel dans plus de 15 pays. Plus de 10 000 participants sont attendus entre le 1er août et le 30 septembre 2025, avec un accompagnement technique de haut niveau assuré par des ingénieurs certifiés Hedera. Des « hacking stations » seront déployées notamment, à Lagos, Le Caire, Nairobi, Kinshasa, Le Cap, Casablanca, Tunis.

Pour Kamal Youssefi, Président de The Hashgraph Association, « L’Afrique abrite l’une des communautés tech les plus jeunes et dynamiques au monde. Son avenir repose sur le digital. En formant les développeurs aux outils Web3, nous répondons non seulement aux enjeux d’aujourd’hui, nous préparons un futur numérique décentralisé pour tous. »

Quatre axes pour construire le futur
Les participants travailleront autour de quatre grands axes d’innovation :

1. La finance décentralisée et la tokenisation d’actifs réels (RWA)
2. Le développement durable et la traçabilité ESG
3. L’identité numérique souveraine (SSI) et l’intelligence artificielle
4. Gaming, Métavers et NFTs

Aucune expérience préalable en blockchain n’est requise. Grâce aux ressources de formation de la Hedera Academy et à une communauté de développeurs active, chaque candidat peut monter en compétences et se lancer dans l’aventure.

Une mobilisation à grande échelle
Soutenu par plus de 50 partenaires internationaux et locaux ainsi que 100 universités et tech hubs africains, le hackathon veut marquer un tournant. Des campagnes de sensibilisation et des sessions de formation seront organisées dès le mois de juin pour préparer les candidats.

Pour Paolo Tasca, cofondateur et Président exécutif de la fondation Exponential Science, « Ce hackathon est une formidable opportunité pour les talents africains de s’approprier la blockchain et d’imaginer les solutions concrètes de demain. Nous espérons qu’au-delà de cette compétition, les participants créeront leurs propres projets et contribueront activement à l’écosystème technologique du continent. »

Le Hedera Africa Hackathon 2025 est coordonné par DAR Blockchain, hub tunisien spécialisé dans le Web3 actif depuis 2017. Fort de son expérience, il jouera un rôle clé dans le déploiement de l’événement à travers l’Afrique.

Plus d’informations et inscriptions : https://hedera-hackathon.hashgraph.swiss/

A propos :
The Hashgraph Association
The Hashgraph Association soutient des programmes de formation et d’innovation dans de nombreux secteurs d’activité. Elle œuvre en priorité pour la montée en compétences numériques des citoyens et la diffusion d’applications décentralisées de qualité professionnelle, développées sur la technologie Hedera. Ces actions incluent des parcours d’accréditation et de certification. En tant qu’organisation à but non lucratif, l’Association finance la recherche, le développement et l’innovation, dans une démarche favorisant l’inclusion économique et ayant un impact positif sur les plans environnemental, social et de gouvernance (ESG).
En savoir plus : www.hashgraph-association.com

Fondation Exponential Science
Fondée par le Dr Paolo Tasca et Nikhil Vadgama, Exponential Science est une fondation qui promeut l’innovation par la recherche, la formation et l’expérimentation autour des technologies émergentes. Convaincus que la convergence entre blockchain, intelligence artificielle et autres outils numériques peut relever les défis les plus complexes, les fondateurs ont créé Exponential Science pour construire un avenir plus inclusif, interdisciplinaire et innovant.
En savoir plus : www.exp.science

Hedera
Hedera est un réseau public de registres distribués (DLT) à haute performance, sécurisé, durable, et gouverné par un conseil d’institutions mondiales de premier plan. Il permet de tokeniser des actifs physiques ou numériques (NFT, titres financiers, etc.) en alliant performance, sécurité et conformité. Grâce à ses outils open source, Hedera accompagne les développeurs et les entreprises dans la création d’applications décentralisées et de solutions de marché de nouvelle génération.
En savoir plus : www.hedera.com

Bingerville- Madame Lauriane Doumbouya, Première Dame de la République de Guinée, visite l’Hôpital Mère-Enfant Dominique Ouattara

mardi, 17 juin 2025 20:41 Written by Admin

La Première Dame de la République de Guinée a enregistré la participation de Madame Nassénéba Touré, Ministre de la Femme, de la Famille et de l'Enfant Nassénéba Touré ; Madame Patricia Sylvie Yao, Directrice de cabinet de la Première Dame et la direction de l’Hôpital Mère-Enfant de Bingerville.


Lors de cette visite, Madame Lauriane Doumbouya a visité les différents services de l’HME notamment le service de la pédiatrique, la maison d'accueil des parents des malades, le service d'imagerie, le restaurant, la salle d'amphithéâtre, le bureau des assistantes sociales, la salle d'hospitalisation, le bloc opératoire ainsi que la salle d'hospitalisation pédiatrique et le service de cardiologie. Cette immersion lui a permis découvrir les initiatives mises en place par la Première Dame Dominique Ouattara pour relever le défi de la prise en charge de la mère et de l’enfant.

A l’issu de cette visite, une réunion de présentation de l’établissement de santé a eu lieu dans l’amphithéâtre de l’HME. L’honneur est revenu au Professeur Da Silva Anoma, Directrice médicale et scientifique de l'Hôpital Mère-Enfant Dominique Ouattara de Bingerville de présenter les différents services et les pathologies prises en charge par l’établissement sanitaire. En effet, elle a évoqué la réussite dans la prise en charge du cancer de l’œsophage, l’opération des enfants d’orthophonie depuis 2 ans, l’opération du cancer du sein d’une jeune fille de 29 ans. Abordant le cas de la vaccination contre le paludisme, Madame Nassénéba Touré, Ministre de la Femme, de la Famille et de l’Enfant, a émis le souhait que ce programme soit entrepris en partenariat avec le Ministère de la Santé. Elle a également souhaité que ce programme soit accompagné d’une campagne de sensibilisation.

Madame Lauriane Doumbouya, Première Dame de la République de Guinée, a adressé ses félicitations et encouragements à Madame Dominique Ouattara pour la construction de ce bel édifice.

Bamba M.

Les Mardis de NK- Silence, les Cieux nous Écoutent

mardi, 17 juin 2025 08:02 Written by Admin

Quand les peuples doutent, les sages doivent parler

« Lorsque la nuit devient trop dense, ce ne sont pas les armes qu’il faut convoquer, mais les lanternes de l’âme. »

Le fracas du monde et le silence des justes

Il est des saisons où les peuples doutent.
Non pas seulement des gouvernements, mais d’eux-mêmes.
Ils doutent de la bonté du voisin, du sens du devoir, du souffle du lendemain. Les cœurs sont asséchés, les regards méfiants, les mots devenus tranchants.
Dans ce tumulte, ce ne sont pas les cris des foules qui effraient, mais le silence des sages.

Quand les tambours du chaos résonnent dans les rues, qui élève encore la voix de la raison ?
Quand les réseaux propagent la colère comme du vent sur les braises, qui murmure encore la paix ?
Les cieux nous écoutent. Et ils n’entendent plus nos prières, mais nos querelles.

Les Cieux attendent les veilleurs du dedans

Dans toutes nos traditions — qu’elles soient chrétiennes, musulmanes, animistes ou philosophiques — les sages ont toujours veillé sur la communauté comme les anciens veillent au feu sacré.

Mais aujourd’hui, les veilleurs dorment, ou se taisent, ou ont été remplacés par des marchands de colère.
Les sages sont devenus invisibles, les paroles de paix inaudibles.
Et les cieux — ces témoins éternels de nos serments, de nos pactes, de nos cultures — nous regardent sombrer sans dire Amen.

Quand la parole devient médecine

Ce texte est un appel.
Pas un appel au vote. Pas une convocation partisane.
Mais un sursaut spirituel et citoyen.

Dans ce monde blessé, nous n’avons plus besoin de fausses promesses. Nous avons besoin de prophètes sans titres, de leaders sans couronnes, de sages sans tribune, mais qui osent encore dire :

> « Nous sommes frères avant d’être électeurs. Nous sommes humains avant d’être partisans. »

Réapprendre à vivre ensemble : un art sacré

Dans nos cultures africaines, on lavait le linge sale au clair de lune, pas sur les places publiques.
On guérissait les conflits dans les palabres, pas dans les clashs.
On priait ensemble sous le même arbre, sans savoir à quel dieu l’autre s’adressait.

Aujourd’hui, il faut ressusciter ces gestes d’unité.
Il faut qu’imams, prêtres, pasteurs, chefs traditionnels, mères, enseignants, artistes, tresseurs de mots et bâtisseurs d’âme, reprennent la parole.
Non pour dominer. Mais pour enseigner, éclairer, réparer, unir.

Le temps est venu de parler vrai

Le silence est parfois prière. Mais trop de silence devient complicité.
Et lorsqu’un peuple se cherche, il n’a pas besoin de dogmes, mais de dire vrai.

> Quand les peuples doutent, les sages doivent parler.
Pas pour condamner, mais pour rappeler. Pas pour juger, mais pour aimer.

Le lever du jour dépend de nous

Les cieux écoutent.
Et ils attendent que la voix de la paix couvre le vacarme des rancunes.
Ils attendent que la parole de l’unité brise les clivages.
Ils attendent que nous soyons artisans de l’aube.

Car si nous ne semons pas la lumière aujourd’hui, demain ne récoltera que l’ombre.


> « Il viendra un jour où le silence des sages sera plus assourdissant que les armes des fous. Ce jour-là, il sera trop tard pour prier. »
— Norbert KOBENAN

Récents accidents de la route- Le Conseil supérieur des fédérations de chauffeurs présente ses condoléances et exhorte à l’extrême prudence

lundi, 16 juin 2025 20:50 Written by Admin

La semaine du lundi 9 au dimanche 15 juin 2025 a été émaillée par une série d’accidents. Le 11 juin, c’était sur l’axe Bouna/ Doropo où deux morts ont été signalés. Le 13 juin, c’était à Samorikaha dans le département de Korhogo et le 14 juin à Agboville. La note est salée assez de morts et de nombreux blessés. Toute chose qui laisse perplexe toute la population Ivoirienne avec un peu plus d’onde de choc au niveau des responsables d’organisations professionnelles.
C’est le cas de Issa Sanogo, le président du Conseil supérieur des fédérations des syndicats des chauffeurs professionnels de transport des marchandises voyageurs et assimilés de Côte d’Ivoire (Cosfesyncprotramava-CI). Aussi, peiné par ces tristesses, est-il monté au créneau le lundi 16 juin pour non seulement présenter ses condoléances aux familles des victimes et ses prompts rétablissements aux blessés, mais exhorter l’ensemble des chauffeurs du pays à l’extreme prudence et à la vigilance. « (…) Un mort par accident c’est trop. A plus forte raison autant de morts en une seule semaine. C’est vrai que les accidents émanent souvent des problèmes mécaniques, mais jouons franchement notre partition par l’application strict du code de la route. Par ailleurs, évitons les surcharges, les dépassements inopinés et automatiquement garés pour se reposer dès que la moindre fatigue commence à se faire sentir, car l’accident se produit à la suite de moindre inattention », conseille-il. S’agissant des engins de deux à trois roues, Sanogo Issa, a invité au port obligatoire de casques et également au strict respect du code de la route .
Koné De Sayara.

Bien -être des acteurs et lutte contre l’incivisme routier - Sanogo Vafoumba (Mugetran-CI) propose un alléchant projet

samedi, 14 juin 2025 11:19 Written by Admin

Si l’appui aux acteurs du transport terrestre en termes de facilitation d’obtention de certains documents administratifs et de pièces de recharge figure en bonne place dans les objectifs et missions de la Mutuelle générale des transporteurs de Côte d’Ivoire (Mugetran-CI) présidée par M. Sanogo vafoumba, il n’en demeure pas moins que le premier responsable de cette organisation professionnelle se soucie au quotidien du bien-être social des acteurs. C’est dans cette optique qu’il vient de mettre sur pied alléchant projet : 1chauffeur une maison où un toit. Le mercredi 11 juin 2025, à l’occasion d’une rencontre, Sanogo vafoumba a levé un pan de voile sur ce projet.
Selon lui, parti du triste constat de la précarité dans laquelle vivent les conducteurs, il lui est venu à l’idée de trouver une solution palliative durable, d’où la naissance de ce projet. « (…) Depuis des décennies et jusqu’à ce jour, les chauffeurs sont restés pour compte. Mal rémunérés, ils vivent dans l’extrême précarité, souvent incapables de payer leur loyer. La scolarisation de leurs enfants reste également des fardeaux pour eux. L’ensemble de ces soucis sont bien des fois à la base des accidents, car vous ne pouvez pas avoir des soucis de loyer et travailler en toute quiétude », s’en convainc-t-il. Et de poursuivre : «(…) Pour nous donc, la solution de l’équation réside tout simplement dans le projet un chauffeur, une maison avec des modalités l’acquisition très souples », explique Vafoumba.
Qui rassure sur la fiabilité dudit projet : « (…) Il n’y a aucun problème. Le terrain ne souffre d’aucune ambiguïté, de même que la construction des maisons », indique –t-il avec conviction. Pour l’orateur, l’amélioration du bien –être social des conducteurs est d’une importance capitale dans la lutte contre les accidents de la route. «(…) Beaucoup d’accidents de la route émanent souvent du déséquilibre moral des conducteurs. Il faut faire assez de rotations par jour pour avoir la recette et en avoir pour soi-même. Ce qui évidemment exige les vitesses et bonjour les accidents », souligne Sanogo Vafoumba.
Koné De Sayara
Légende / A travers ce projet, le président Sanogo Vafoumba veut du bien -être des acteurs.

Transport / Conduite en ces temps de pluie- Le message de Traoré Youssouf (Ucrpplao-CI)

samedi, 14 juin 2025 11:02 Written by Admin

Depuis plus d’un mois, d’intenses pluies s’abattent sur Abidjan, rendant ainsi difficile la circulation. Augmentant par la même occasion le nombre des accidents de la route au grand drame de tout le monde. Face à cette situation qui inquiète et qui interpelle tout le monde, Traoré Youssouf, le président de l’Union des conducteurs routiers professionnels de poids lourds Afrique de l’Ouest en Côte d’Ivoire (Ucrpplao-CI) est monté au le mercredi 11 juin 2025 dernier au siège de sa structure à Yopougon, dans les encablures du Centre de gestion intégrée de Quipux Afrique.
Dans son adresse, Traoré Youssouf n’est pas allé du dos de la cuillère pour assener ses vérités. « (…) Depuis le début de la saison de pluies, nous assistons malheureusement à un retour en force des accidents de la route. C’est dommage. Cela nous interpelle tous et c’est pourquoi j’exhorte dès à présent tous les conducteurs, toutes catégories confondues, notamment ceux des woro-woro, des taxis, des gbakas, des cars et des remorques, bref, tout détenteur du permis de conduire et qui roule un engin, au strict respect du code de la route. Au respect également des feux de signalisation, les feux tricolores et les panneaux stop », a-t-il d’emblée noté.
Avant d’interpeller sur les bandes blanches qui constituent selon lui, le langage de la route. En guise de conseils, il a exhorté la grande famille des conducteurs à éviter les stupéfiants au cours des déplacements, ainsi que tout ce qui peut être excitant. Également se reposer dès que la fatigue commence à se faire sentir. Le président de l’Ucrpplao-CI a signalé qu’il y’a à ce jour 3600 permis de conduire qui ont été retirés. Un chiffre qui, selon lui, démontre qu’il y’a assez d’incivisme routier. Alors, il est temps, à l’en croire, d’y mettre fin. Il a clos son propos en brandissant carton rouge aux conducteurs en ces termes : « (…) Evitons les manipulations des organes politiques, les routes constituent nos bureaux, nos lieux de travail, nos gagne-pain », soutient-il.
K. SYARA
Légende : Le président Traoré Youssouf lors de son intervention

Journée mondiale de environment- ABIDJAN TERMINAL s’engage contre la pollution plastique

jeudi, 12 juin 2025 09:13 Written by Admin


Le 5 juin 2025, à l’occasion de la Journée mondiale de l’environnement, Abidjan Terminal, concessionnaire du premier terminal à conteneurs du port d’Abidjan, a organisé une opération de nettoyage du plan d’eau situé à proximité de ses quais. Cette initiative vise à lutter contre la pollution plastique, en particulier celle causée par les déchets ménagers qui, transportés par les eaux de ruissellement pendant la saison des pluies, se retrouvent dans la lagune.
Cette action s’inscrit dans le prolongement des engagements d’Abidjan Terminal en matière de développement durable. Le thème retenu cette année par les Nations Unies, « Combattre la pollution plastique », résonne fortement avec les valeurs de l’entreprise, qui a fait de la réduction de son empreinte environnementale l’un des piliers de sa stratégie de responsabilité sociétale.
Lors de la cérémonie de lancement de l’opération, Édouard Ancély, Directeur général adjoint d’Abidjan Terminal, a salué la mobilisation des équipes et rappelé l’importance de cette action. « Nous en sommes conscients, ce geste est modeste, mais profondément porteur de sens. Il traduit notre volonté d’agir de manière concrète et solidaire pour un environnement plus sain, plus propre et plus harmonieux », a-t-il déclaré devant les représentants des autorités portuaires, ainsi que les mairies de Port-Bouët et de Marcory, venus soutenir l’initiative.
Dans un souci de cohérence avec sa démarche liée à l’économie circulaire, Abidjan Terminal a annoncé que tous les déchets plastiques collectés lors de cette opération seront recyclés. Ils seront transformés en bennes à ordures, qui seront ensuite offertes aux municipalités présentes, en appui à leurs actions de salubrité publique.
Ce temps fort a également été l’occasion de rappeler les multiples actions environnementales déjà engagées par l’entreprise. Tri sélectif des déchets, traitement des eaux usées, campagnes de sensibilisation internes et dons de matériel de propreté figurent parmi les initiatives déployées ces dernières années dans une logique de responsabilité durable.
Achille N’Guetta, Directeur général de AES CI, partenaire technique d’Abidjan Terminal sur ce projet, a souligné l’importance de l’engagement collectif. « Voir les équipes et partenaires d’Abidjan Terminal se mobiliser avec autant d’enthousiasme et de détermination autour d’un objectif commun est un signal fort. La transition écologique ne peut se faire sans l’implication de chacun », a-t-il affirmé.
Dans une ambiance conviviale et solidaire, cette opération a mis en lumière la capacité d’Abidjan Terminal à conjuguer action environnementale et utilité sociale. Au-delà du nettoyage, c’est un message fort qui a été envoyé : celui d’une entreprise logistique résolument tournée vers l’avenir, engagée aux côtés des collectivités et des acteurs locaux pour bâtir un écosystème durable.

Bamba M.

Affaire GreenTech Sénégal- 80 jeunes continuent de se battre pour obtenir réparation

mercredi, 11 juin 2025 21:07 Written by Admin


Depuis plusieurs mois, 80 jeunes Sénégalais se battent pour obtenir réparation après avoir été recrutés, puis abandonnés sans rémunération, par la filiale sénégalaise du groupe français GreenTech. Cette filiale est détenue à plus de 70 % par le groupe international GreenTech, basé à Clermont-Ferrand, en France.

Ces jeunes ont cru à un projet structurant, porteur d’emploi et d’espoir. Ils ont travaillé durant près de huit mois sans percevoir le moindre salaire, exploités dans leur propre pays par un groupe étranger venu faire fortune sur le dos de la jeunesse africaine.

Face à cette injustice, Hapsatou Sy, animatrice, entrepreneure et femme d’engagement, a pris position. Aux côtés de ces jeunes, elle défend depuis des mois leurs droits bafoués.

Plutôt que d’assumer ses responsabilités, Jean-Yves Berthon, dirigeant du groupe GreenTech, a lancé une vaste contre-offensive médiatique : à coups de millions de francs CFA, il tente d’imposer sa version des faits, multipliant les campagnes de désinformation, jusqu’à nier l’existence des salariés qu’il a pourtant validés lui-même par écrit. Ce mépris est inacceptable.

Plus grave encore : Jean-Yves Berthon n’a pas seulement tenté de détourner l’objet social du projet, mais aussi le terrain affecté par l’État sénégalais dans le cadre de ce projet d’intérêt public. Son objectif était clair : réaffecter ce terrain stratégique à l’une de ses autres activités commerciales, laissant sur le carreau les salariés non payés, tout en augmentant artificiellement la valeur des actifs de sa société française.

Hapsatou Sy a catégoriquement refusé ce détournement, fidèle aux engagements initiaux qui plaçaient la jeunesse sénégalaise au cœur du projet.
Dans le cadre de cette campagne de déstabilisation, il a également été avancé que les comptes du projet et l’utilisation des fonds n’auraient jamais été communiqués à Jean-Yves Berthon. Cela est inexact et trompeur. En réalité, le cabinet d’expertise comptable mandaté — reconnu à l’international — a à plusieurs reprises, par écrit, demandé à Jean-Yves Berthon, en tant qu'engagé au versement des honoraires dus, de régler les prestations avant la remise des documents comptables. Une démarche parfaitement légitime, conforme à toute pratique professionnelle.

Jean-Yves Berthon a pourtant considéré qu’il était en droit d’obtenir ces documents sans jamais régler les personnes qui les avaient produits. Le cabinet, dans le respect de son éthique et de ses obligations, a donc refusé de transmettre les comptes sans paiement, comme l’exige toute relation contractuelle saine.

Par ailleurs, Jean-Yves Berthon fait l’objet de poursuites judiciaires en France, intentées par un ancien partenaire, pour des faits similaires liés à ses tentatives d’expansion opportuniste sur d’autres marchés africains.
Contrairement aux mensonges propagés dans certains médias, Hapsatou Sy a multiplié les démarches amiables, dans l’intérêt général. Ce n’est qu’après avoir constaté des manœuvres de détournement et un mépris total pour les engagements pris qu’elle a décidé de rompre tout accord.

Les accusations selon lesquelles elle aurait perçu plus de 330 000 euros du groupe GreenTech sont totalement fausses. Les seules sommes perçues l’ont été dans le cadre de missions dûment contractualisées, justifiées et déclarées, en lien avec les activités du groupe en France, aux Émirats Arabes Unis et au Sénégal.

Aucune somme liée au terrain du projet — qui reste la propriété de l’État sénégalais — n’a jamais été encaissée par Mme Sy. Les honoraires relatifs au projet ont été versés directement à l’architecte par le directeur financier de la filiale française, sur ordre de Jean-Yves Berthon.

Cette campagne de diffamation n’a qu’un but : masquer des pratiques indignes, qui ont déjà terni l’image de GreenTech, en France comme au Sénégal.
Aujourd’hui, ni les 80 jeunes concernés, ni Hapsatou Sy ne renonceront à faire valoir leurs droits. Ce combat est celui de la vérité, de la justice et de la dignité.
Nous appelons les autorités sénégalaises à faire preuve de la plus grande vigilance face à ces pratiques, et à protéger notre jeunesse des abus de certains investisseurs étrangers, dont les méthodes ne seraient jamais tolérées dans leur propre pays.
le porte- parole du collectif de travailleurs grugés

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