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dimanche 9 février 2025
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Transport à l’intérieur du pays- Koné Souleymane (Oumé) salue les actions de Ouattara

vendredi, 07 février 2025 15:07 Written by

Venu à Abidjan dans le cadre des activités liées au secteur du transport terrestre, Koné Souleymane, vice –président du Haut Conseil du patronat des entreprises de transport routier de Côte d’Ivoire dans le département d’Oumé, en a profité pour donner les nouvelles fraiches du transport dans cette localité. C’était le mercredi 5 février 2024, au siège du Syndicat national des transporteurs terrestres de Côte d’Ivoire (Syntt-CI), dont il est également le secrétaire général à Oumé. Mais avant d’aborder ce sujet, il s’est livré à une série de reconnaissances et de salutations. «(…) Commençons d’abord par rendre gloire à Dieu, qui a occasionné cette rencontre. Disons LUI merci d’avoir prolongé nos souffles de vie jusqu’à ce jour », a-t-il d’emblée dit. Et de poursuivre : «(…) Je salue monsieur Diallo Abou, le président du Syntt-CI pour son dynamisme et son efficacité à tête de notre mouvement syndical.
En effet, depuis qu’il est là, le Syntt-CI, qui battait de l’aile s’est réveillé de sa léthargie et reprendre sa digne place en étroite collaboration avec le Haut Conseil dans le secteur. C’est d’ailleurs l’occasion pour moi d’adresser mes remerciements aussi bien au conseil d’administration de cette faitière présidée par notre papa Abdramane Camara, que la Direction générale, dirigée par Diaby Brahima. Je réitère mes salutations à toute la grande famille du transport, avec une insistance pour notre ministre, mon ainé Koné Amadou », a—t-il ajouté.
Avant d’avoir un regard particulier pour le Président de la République SEM Alassane Ouattara en ces termes. «(…) Pour notre père, le Président Alassane Ouattara, les mots me manquent pour lui traduire toute ma gratitude et par-delà toute celle des acteurs du transport de la ville de Oumé. Grâce au Président Ouattara, l’activité du transport se fait avec aisance aujourd’hui sur toute l’étendue du territoire national. Il n’y a pas une seule ville qui n’a pas bénéficié d’infrastructures flambant neuves. Il y a du bitume partout. Il a vraiment investi dans du lourd pour nous alléger la charge. Car, le goudron, c’est du lourd. Sans entrer dans les chiffres, à bien écouter les techniciens, on sait tout de suite qu’un (01) seul km, c’est beaucoup de millions. Donc, ce sont des centaines de mille milliards qui ont été investis. Nous ne pouvons que lui dire merci et on en profite pour lui souhaiter tous nos vœux d’excellente année 2025. Longévité et pleine santé de fer à lui afin qu’il puisse continuer de diriger le pays », a renchéri Koné Souleymane. Qui précise : «(…) Dans un passé récent, précisément dans les années 2000, il n’y avait pas de routes à Oumé. A preuve, d’Oumé à Toumodi, longue à peine de 50 km, on y passait au moins 3 heures de temps. Mais aujourd’hui, cet axe est bitumé et dès que le bitume prend un coup, il est automatiquement réhabilité. Si bien qu’en moins d’une heure de temps, on rallie ces deux localités aujourd’hui. Donc le calvaire de ces années relève désormais du passé. Actuellement, les travaux de bitumage de l’axe routier Oumé –Divo avancent bien, de même que ceux d’Oumé –Gagnoa. C’est au vu de tout ceci que je dis que le transport se porte bien à Oumé aujourd’hui », a insisté l’orateur.
Koné De Sayara
Légende : Koné Souleymane après sa rencontre avec la presse.

Reconnaissance - La diaspora de Bouroumasso magnifie Ali Cissoko et intronise Moussa Doumbia

mardi, 04 février 2025 14:03 Written by

C’est dans la ferveur populaire, composée de danses traditionnelles, de conciliabules et de grandes retrouvailles, que la diaspora de Bouroumasso, localité au nord du pays, dans le département de Madinani à un peu plus de 800 km d’Abidjan, la capitale économique de la Côte d’Ivoire, a organisé une double cérémonie le dimanche 02 février 2025 à Anyama.
Primo : L’hommage à Ali Cissoko, digne fils dudit village et maire de la commune de Grand-Lahou, ville dans le Sud du pays à environ 200 km d’Abidjan, dans la région du Bas-Sassandra. Secundo : L’intronisation de Moussa Doumbia comme chef de la diaspora. Pour la première séquence, c’est Daouda Doumbia le président du comité d’organisation par ailleurs président de la Mutuelle de développement socio-économique de Bouroumasso qui est monté au créneau et a, au nom de tous, dit ceci à leur illustre hôte : « (...) Ali, tes parents de Bouroumasso ne peuvent jamais t’oublier, car tu as posé des actions concrètes qui resteront ineffaçablement gravées dans les mémoires collectives. Grâce à toi, les femmes ne vont plus dans les marigots ou elles ne puissent plus l’eau dans les puits. L’eau est source de vie et tu nous as allégé l’obtention de cette matière naturelle de vie. Merci infiniment ». Et de préciser que ce digne fils a aussi à son arc les routes et les infrastructures sanitaires. Idem pour Doumbia Lassina, président du fan club Cissoko. Celui-ci a cependant renchéri pour dire qu’à travers ce club, il est question de toujours mettre en lumière les œuvres de leur leader.
Avant l’honorable député Falikou Soumahoro d’Anyama, qui y était, a exhorté la jeunesse à s’abreuver, s’armer de courage et à aller à l’école de leur leader. Bouchant la série des allocutions, Ali Cissoko a tenu un discours d’anthologie, invitant toutes les filles et tous les fils de son village natal à se donner la main pour un développement harmonieux et inclusif du vieil héritage laissé par les ancêtres. Outre les populations qui ont effectué le déplacement d’un peu partout, cette double cérémonie s’est déroulée en présence des personnalités comme l’honorable député Soumahoro Falikou de la cité de la Cola comme ci-dessus indiqué et Abou Diallo président du Syndicat national des transporteurs terrestres de Côte d’Ivoire (SYNTT-CI), par ailleurs 5ème adjoint au maire de Songon, chargé du transport et chargé de mission du 1er Ministre Beugré Mambé.
La seconde séquence a porté sur l’intronisation de Moussa Doumbia comme chef de diaspora. Il a tenu en message rassembleur, exhortant les uns et les autres à s’approprier les valeurs de paix et d’entraide.
Koné De Sayara.

 

LES MARDIS DE NK/Ombres et Lumières des Réseaux Sociaux - Le Contexte Électoral en Côte d'Ivoire

mardi, 04 février 2025 07:56 Written by


Introduction : Une ère de dualité numérique

Dans le monde moderne, les réseaux sociaux sont devenus une véritable force motrice, particulièrement en période électorale, où les opinions, les émotions et les convictions politiques s’entrelacent. Ces plateformes permettent d'exprimer des idées, de construire des ponts de solidarité et de diffuser des messages d’espoir, mais elles peuvent aussi, dans l’ombre, être un terrain fertile pour la manipulation, les rumeurs et la désinformation. À l’approche des élections, l’impact des réseaux sociaux se fait sentir avec une intensité particulière, entre ombres et lumières, où chaque clic peut être un acte de solidarité ou de division.


1. Les Lumières des Réseaux Sociaux en Période Électorale

A. Le rôle de rapprochement et de connexion

Les réseaux sociaux, comme des phares dans un océan d'incertitudes, ont le pouvoir d’unir des individus autour d’une même cause. En période électorale, ils deviennent des outils de mobilisation puissants, permettant à des citoyens de toutes parts de :

Exprimer leur opinion librement : Que ce soit pour soutenir un candidat, dénoncer une injustice ou partager des idées, les réseaux sociaux sont devenus des forums ouverts à la libre expression.

Créer des communautés solidaires : Ils facilitent la formation de groupes de discussion, d’activisme et de soutien, rassemblant ceux qui partagent les mêmes préoccupations ou objectifs.


B. Diffusion rapide de l’information et soutien à la démocratie

Dans un monde où l’information circule à la vitesse de la lumière, les réseaux sociaux ont révolutionné la manière dont les citoyens s’informent, surtout en période électorale. Ils permettent :

L’accès direct à l’information : Les candidats, les partis et la société civile utilisent ces plateformes pour diffuser leurs messages, leurs projets et leurs visons politiques.

La dénonciation des abus : Ils servent de relais pour exposer des pratiques politiques opaques, des injustices ou des abus, permettant aux citoyens d’être vigilants et critiques envers leurs dirigeants.


2. Les Ombres des Réseaux Sociaux en Période Électorale

A. Amplification des rumeurs et des mensonges

Malheureusement, les réseaux sociaux sont aussi un terrain propice à la désinformation. En période électorale, cette situation peut devenir particulièrement périlleuse, avec des conséquences graves sur la paix sociale et l’intégrité des élections :

Propagation rapide des rumeurs : Les fausses informations et les théories du complot circulent rapidement, divisant les électeurs et semant la confusion.

Manipulation de l’opinion publique : Des campagnes de diffamation ou de dénigrement peuvent se propager sur ces plateformes, distillant la méfiance et la haine entre les groupes politiques ou sociaux.


B. Polarisation et violence verbale

Les réseaux sociaux exacerbent parfois les tensions, entraînant une polarisation extrême des opinions politiques. Cette division se manifeste par :

Discours haineux et violence verbale : Les affrontements numériques peuvent virer à la violence verbale, avec des attaques personnelles, des insultes et des appels à la haine, créant un climat toxique pendant la période électorale.

Exacerbation des tensions sociales : Ce climat de tension peut se transformer en véritable violence sociale, où les électeurs, manipulés par des discours extrémistes, se sentent poussés à l'intolérance ou au rejet des autres.


3. Sagesse et Responsabilité Numérique en Période Électorale

A. Responsabilité des citoyens et des leaders

Dans cette ère numérique, chaque citoyen et chaque leader politique porte une responsabilité morale. Voici quelques réflexions et actions concrètes pour une utilisation plus sage et constructive des réseaux sociaux pendant la période électorale :

Choisir la lumière : Dans chaque publication, choisir de partager des messages positifs, des informations vérifiées et des idées qui promeuvent l’unité et la réconciliation plutôt que la division.

Vigilance face à la manipulation : Être conscient des tentatives de manipulation et de désinformation, et ne pas céder à la tentation de relayer des informations non vérifiées ou des discours haineux.

Respect et dignité dans les échanges : Conserver une attitude de respect et de dignité, même lorsque les désaccords surgissent. L'élection ne doit pas devenir un terrain de guerre, mais un exercice démocratique.


B. Actions des autorités et des institutions

Renforcer la régulation des réseaux sociaux : Les autorités doivent mettre en place des mécanismes de régulation des contenus, en s’assurant que la liberté d’expression ne soit pas utilisée pour propager des discours de haine ou de désinformation.

Éducation numérique pour les citoyens : Promouvoir des programmes de sensibilisation numérique pour informer les citoyens sur les dangers de la désinformation et l’importance de l’esprit critique dans l’utilisation des réseaux sociaux.

Collaboration avec les plateformes : Travailler en partenariat avec les géants des réseaux sociaux pour mettre en place des filtres de vérification des faits et des alertes sur les informations suspectes.


4. L’Impact des Réseaux Sociaux sur la Paix Sociale et les Élections

Les réseaux sociaux jouent un rôle paradoxal en période électorale, agissant tantôt comme des instruments de démocratisation, tantôt comme des instruments de destruction. Leur influence peut être positive ou négative selon la manière dont elles sont utilisées. Le futur de la Côte d'Ivoire, et de ses élections, dépendra en grande partie de la manière dont ces plateformes seront gérées et utilisées, à la fois par les citoyens et par les autorités. Pour garantir des élections inclusives et apaisées, il est impératif que :

Le dialogue démocratique se déroule dans un cadre respectueux et paisible, où l’information est partagée avec responsabilité.

La lumière des réseaux sociaux triomphe sur leurs ombres, grâce à une régulation efficace et à une vigilance collective.


5. Sagesse et Leçons pour les Élections Apaisées

A. Pour les citoyens :

Prendre le temps de réfléchir avant d’agir : Ne pas se laisser emporter par l’impulsivité des émotions, mais réfléchir aux conséquences de chaque action en ligne.

Partager des messages positifs : Choisir de relayer des informations vérifiées et des propos qui renforcent l’unité nationale, la compréhension et la paix sociale.


B. Pour les leaders politiques :

Cultiver un discours de paix : Les leaders doivent utiliser les réseaux sociaux pour promouvoir des messages d’unité, d’espoir et de réconciliation. Ils ont la responsabilité de ne pas alimenter les divisions.

Être des modèles de sagesse numérique : Leur influence peut transformer les débats en discussions constructives et respectueuses, même en période de tensions électorales.


C. Pour les autorités et la société civile :

Créer des outils de vérification des faits : Mettre en place des structures indépendantes pour vérifier l’information en ligne et réduire la propagation des fake news.

Éduquer à la responsabilité numérique : Former les jeunes, en particulier, à l’utilisation responsable et constructive des réseaux sociaux.


Conclusion : Ombres et Lumières, un Choix à Faire

Dans l’univers des réseaux sociaux, l’ombre et la lumière s’entrelacent. Alors que ces plateformes peuvent être des catalyseurs de changement et d’unité, elles peuvent aussi devenir des instruments de division. En période électorale, ce phénomène est d’autant plus visible. Les citoyens, les leaders politiques et les autorités doivent œuvrer ensemble pour que la lumière des réseaux sociaux brille sur la Côte d’Ivoire, rendant les élections un moment de paix, de dialogue et de démocratie, loin des pièges de la rumeur et de la violence verbale. Le futur de la Côte d’Ivoire dépendra de notre capacité collective à choisir le bon chemin et à faire des réseaux sociaux des instruments de rassemblement et non de division.

Norbert KOBENAN

Financement de l’Habitat- La Chaf organise une conférence de haut niveau à Abidjan

vendredi, 31 janvier 2025 21:31 Written by

Le Premier Ministre, Robert Beugré Mambé, a ouvert, le jeudi 30 janvier 2025 à Abidjan-Plateau, la conférence sur l'impact du logement sur les économies des pays d'Afrique Francophone organisée par le Centre pour le financement du logement abordable (Cahf). La conférence vise à formuler des propositions pertinentes pour la promotion du secteur du logement en Afrique francophone.
Lors de cette conférence organisée en partenariat avec Onu-Habitat et à laquelle prennent part plus de 200 experts et décideurs, Robert Beugré Mambé a indiqué que le logement contribue à faire rayonner l'économie dans la mesure où la construction d'un logement fait appel à plusieurs acteurs.
« Certains calculs ont montré que 1 franc Cfa dépensé dans le bâtiment, notamment dans le logement, conduit à générer 4 Fcfa dans l'économie, c'est-à-dire qu'il se multiplie par 4 », a dit le Chef du gouvernement.
Pour le Premier Ministre, le logement est un accélérateur du bien-être de l'individu. Un bon logement offre également une bonne santé et contribue à l'équilibre psychologique de ceux qui l'occupent.
De son côté, le ministre de la Construction, du Logement et de l'Urbanisme, Bruno Nabagné Koné, a rappelé que le gouvernement ivoirien est engagé dans la mise en œuvre d'un programme structurant à forte dimension sociale qui est le programme présidentiel de construction de logements sociaux et économiques qui vise la construction de 150 000 logements sur l'ensemble du territoire ivoirien : « À ce jour, ce programme a permis la réalisation d'environ 40000 logements grâce à des efforts importants consentis par l'État, notamment sur le plan de la constitution des réserves foncières ».
Le représentant de l'Uémoa, Gustave Djasso, a, au nom de son institution, renouvelé son engagement à accompagner les initiatives régionales conformément à l'acte 2 de la politique d'aménagement du territoire communautaire qui prône l'accès et la réalisation concertée de grandes infrastructures et d'équipements d'intérêt communautaire, ainsi que la définition d'une armature urbaine régionale
Le directeur régional Afrique de Onu-Habitat, Omar Sylla, a assuré qu'il s'engage à appuyer les initiatives de logements en Afrique, afin de mettre en place un modèle de financement approprié et qui tient compte des contraintes des changements climatiques.Selon l'administrateur du Cahf, Christian Adjossa, c'est la première fois que cette conférence se tient dans un pays d'Afrique francophone.La conférence qui se tient du 30 janvier au 1er février 2025, est marquée par des panels, des expositions, etc.
Bamba M.

Transport /Rencontre annuelle du Syntp-Ci- Koné Siaka salue les efforts des transporteurs.

vendredi, 31 janvier 2025 21:14 Written by

Ce qui apparait désormais comme une coutume au Syndicat national des transporteurs professionnels de Côte d’Ivoire (Syntp- Ci), dont le président est El Hadj Fofana Soumaila, natif de Seydougou, au nord du pays, a été respectée cette année. C’est-à-dire une rencontre annuelle avec les syndiqués, le monde du transport, l’administration du transport, les autorités municipales et bien évidement les partenaires stratégiques au développement notamment : Pool Tpv, Carte brune Cédéao, Fdtr, Quipux Afrique. Le tout coiffé par le ministère des Transports. En 2024, le 20 janvier, cette cérémonie qui avait pour thème : ’’ La digitalisation’’ s’est tenue à la Coopec d’Abobo, route Anyama 2ème arrêt. Cette année, elle a lieu au même endroit le samedi 25 janvier avec pour cette fois ci thème :’’ Lutte contre l’insécurité routière et l’adhésion à la carte brune Cédéao’’.
Représentant madame la Maire Kandia Camara, le 2ème adjoint au maire Koné Siaka a, au nom de la première magistrate d’Abobo, reconnu les mérites des transporteurs en ces termes : « (...) Oui à Abobo, qui n’emprunte pas un moyen de transport. Depuis les taxis ordinaires, jusqu’au transport de marchandises en passant par les gbakas, toute la population emprunte l’un de ces modes de transport.
Ce qui démontre que vous êtes incontournables dans les activités de la population. A cet effet, la maire me charge de venir vous traduire ses sincères remerciements et formuler pour vous les vœux de prospérité et de bonheur pour cette année 2025. Elle me charge également de vous dire de vous approprier le code de la route de sorte à éradiquer les accidents » a noté Koné Siaka. Pour sa part, le président du SYNTP-CI Fofana Soumaila, il a exhorté les siens à adhérer à la carte brune Cédéao qui ne coûte que 1000f. Il a clos son propos par des bénédictions fortes à l’endroit du Chef de l’Etat, SEM Alassane Ouattara pour toutes ses actions de développement à l’égard du pays en général et pour le monde du transport en particulier. Il n’a pas non plus oublié le ministre des Transports Amadou Koné pour la mise en œuvre des reformes salvatrices du secteur. Venu représenter le Directeur Général du transport terrestre (Dgttc) Sako Oumar à cette cérémonie, Kamagaté Bassati a, au nom de celui-ci, exhorté les transporteurs à désormais brandir carton rouge à l’incivisme routier.
Koné De Sayara

Macta / Version 2025- Du costaux

mercredi, 29 janvier 2025 21:45 Written by

Après une formidable résilience en 2024, la nouvelle année 2025 s’ouvre sous des bons auspices pour la Mutuelle d’assurances des taxis compteurs d’Abidjan (Macta). Sous le leadership avéré du Président du conseil d’administration (Pca) Touré Faman et le dynamisme managérial du Directeur général, le Dr. Guédou Elie Ousmane, la structure a fait preuve de grandeur nature en surmontant tous les clivages de détractions.BLa note s’est avérée bonne. Certes, les défis sont nombreux, de même que les challenges. Mais, à l’image de la guêpe maçonne qui échafaude son logis avec patience et détermination et conformément à l’adage qui dit qu’à cœur vaillant, rien d’impossible.
L’équipe de Faman Touré, croit dur comme fer au destin d’une Matca rayonnante. Et fin 2024 a été bouclée sur une note d’espoir : Celle de la pose de la Tour Macta, avec toutes les commodités. Une œuvre d’une prestance exceptionnelle qui fait rêver avec fierté dans le monde des assurances.
Outre cet enchanteur chantier qui se veut pour l’heure unique dans ce monde des assurances au bord de la lagune Ebrié, les dirigeants de la Matca, soucieux du bien-être des sociétaires et au regard de l’évolution environnementale, voudront relever d’autres immenses défis en challenges qui se nomment : Construction de centre médical, de central d’achat, de cité immobilière, de centre commercial et bien évidement la mise en selle du renouvellement du parc-auto pour donner un coup d’accélérateur à l’actuelle santé économique d’une mutuelle qui justifie chaque jour sa certification ISO. Tout comme en sport, en assurance, nous allons tout simplement dire : Dirigeants de la Matca, pour cette année 2025 : barrissez, barrissez, barrissez.
Kone Sayara

Les Mardis de NK/L’École Ivoirienne- Creuset de la Coexistence et Gardienne de la Neutralité

mardi, 28 janvier 2025 08:02 Written by


En Côte d’Ivoire, pays riche de sa diversité culturelle, ethnique et religieuse, l’école joue un rôle central dans la construction d’une nation unie et pacifique. Plus qu’un lieu d’apprentissage académique, elle est un espace de socialisation où se forment les futurs citoyens. L’école ivoirienne peut et doit enseigner les règles de la coexistence pacifique entre citoyens aux croyances diverses, tout en préservant sa neutralité vis-à-vis de ces croyances, qu’elles soient religieuses ou philosophiques.
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L’École Ivoirienne et l’Enseignement Civique : Une Mission Essentielle
L’enseignement civique en Côte d’Ivoire est indispensable pour renforcer l’unité nationale et promouvoir les valeurs fondamentales qui cimentent la société ivoirienne. L’école doit être le lieu où chaque élève apprend à vivre ensemble dans un esprit de respect et de tolérance. Cela implique :

1. Promouvoir l’unité dans la diversité : En Côte d’Ivoire, les différentes croyances et traditions cohabitent. L’école doit enseigner que cette diversité est une richesse, et non une cause de division.


2. Éduquer au respect mutuel : L’école doit inculquer aux élèves le respect des opinions, croyances et modes de vie des autres, même lorsqu’ils diffèrent des leurs.


3. Renforcer la citoyenneté active : En enseignant les droits et les devoirs, l’école prépare les élèves à devenir des citoyens engagés et responsables, capables de contribuer à la paix et au développement du pays.


Ces enseignements civiques doivent être adaptés au contexte ivoirien, où les tensions sociopolitiques et les différences religieuses peuvent parfois exacerber les incompréhensions. En les abordant dès le jeune âge, l’école pose les bases d’une société harmonieuse.
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La Neutralité de l’École : Un Pilier Fondamental
Pour accomplir sa mission, l’école ivoirienne doit rester un espace neutre, à l’abri des influences religieuses, politiques ou idéologiques. Cette neutralité garantit que tous les élèves, quelle que soit leur origine, se sentent respectés et inclus. Cela repose sur trois principes essentiels :

1. L’égalité de traitement : Chaque élève doit être accueilli sans discrimination, avec les mêmes opportunités d’apprentissage et de réussite.


2. La transmission des valeurs universelles : L’école enseigne des valeurs comme l’unité, la justice, la solidarité et la paix, tout en respectant la diversité des croyances individuelles.


3. La séparation de l’éducation et des convictions personnelles : L’école transmet des connaissances objectives, notamment dans les disciplines scientifiques et historiques, sans ingérence des croyances ou pratiques religieuses.

 

Cette neutralité est particulièrement importante dans le contexte ivoirien, où l’équilibre entre les différentes communautés est essentiel pour préserver la stabilité et la cohésion sociale.


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Les Défis de la Neutralité dans le Contexte Ivoirien

L’école ivoirienne fait face à plusieurs défis pour maintenir sa neutralité et promouvoir une éducation civique adaptée :

1. Les influences extérieures : Des acteurs religieux, politiques ou communautaires tentent parfois d’imposer leurs idéologies dans le cadre scolaire.


2. La gestion des tensions internes : Les différences entre élèves, qu’elles soient ethniques, religieuses ou linguistiques, peuvent parfois créer des incompréhensions ou des conflits.


3. Le manque de ressources pédagogiques adaptées : Former les enseignants et développer des programmes qui mettent l’accent sur l’éducation civique et la neutralité restent des priorités.

 

Pour relever ces défis, il est crucial de renforcer la formation des enseignants, d’adopter des approches pédagogiques inclusives et de sensibiliser les parents et les communautés à l’importance de la neutralité scolaire.


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Le Rôle de l’Enseignant : Modèle et Médiateur

L’enseignant ivoirien est au cœur de cette mission. Il doit incarner les valeurs de neutralité, de respect et de tolérance, tout en créant un environnement propice à l’apprentissage. Son rôle consiste à :

Encourager le dialogue respectueux : Aider les élèves à exprimer leurs opinions sans juger ni heurter les autres.

Valoriser la diversité : Montrer que les différences enrichissent le collectif.

Fournir des outils de réflexion critique : Permettre aux élèves de développer une pensée autonome et d’analyser les situations avec discernement.


Un enseignant bien formé et impartial est un acteur clé pour transformer l’école ivoirienne en un véritable espace de coexistence pacifique.
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Vers une École Inclusive et Neutre : Une Vision pour la Côte d’Ivoire

L’école ivoirienne a une double responsabilité : préparer les élèves à contribuer à la construction d’une société unie et leur offrir un espace neutre où ils peuvent apprendre à se connaître et à respecter les autres. Elle doit être un lieu où les différences sont acceptées et valorisées, et où les élèves se forment aux valeurs de paix, de justice et d’unité nationale.

Cette vision nécessite un engagement collectif, impliquant les enseignants, les familles, les autorités éducatives et les communautés. Une école inclusive et neutre est un levier essentiel pour construire une Côte d’Ivoire où la diversité n’est pas un obstacle, mais une force.


Conclusion : L’École, Actrice de l’Unité Nationale

En Côte d’Ivoire, l’école est plus qu’un simple lieu d’éducation : elle est un pilier de l’unité nationale et de la paix. En enseignant la coexistence pacifique tout en préservant une stricte neutralité, elle prépare les générations futures à vivre dans une société harmonieuse et solidaire.

C’est dans cet esprit que l’école ivoirienne doit continuer à évoluer, pour qu’elle reste un espace de respect, de partage et de transmission des valeurs universelles, au service d’une nation riche de sa diversité.

Norbert KOBENAN

Vœux de nouvel an - L’Union des journalistes du woroba présente ses civilités à l’honorable Diomandé Mamadou

dimanche, 26 janvier 2025 18:48 Written by

Les journalistes réunis au sein de l’Union des Journalistes et Communicateurs du District du Woroba (UJC-WOROBA) conduite par leur président Dosso Villard, ont présenté leurs vœux de bonne année à l’Honorable Diomandé Mamadou dit Madi, par ailleurs Directeur général de la Société de gestion et de développement des infrastructures industrielles (SOGEDI), le vendredi 24 janvier à Abidjan les deux-Plateaux
.
Au cours de cette sympathique rencontre, le président de l’UJC-WOROBA, Dosso Villard, a au nom de ses camarades souhaité une année de santé, de bonheur et de joie au député Diomandé et à sa famille. Mais au-delà de ces vœux de nouvel an, le porte-parole des hommes de médias a traduit au Dg de la SOGEDI leur admiration pour le travail accompli à la tête de cette structure. Il a par ailleurs, saisi l’opportunité pour présenter la mission et les objectifs de l’UJC-WOROBA.
À cette occasion, le député de Séguéla commune a souhaité à son tour, une bonne et heureuse année 2025 aux journalistes. Sans oublier de leur exprimer sa grande joie de voir naitre une union de journalistes dans le District pour accompagner et communiquer sur les actions de développement des cadres.
« Je voudrais également vous retourner les vœux de santé, des prospérités, de réussites. Que la nouvelle année 2025 soit pour chacun, une année d'accomplissement. Que vos projets les plus profonds puisse se réaliser pour le bonheur de vous-mêmes d'abord et de tous. Merci pour cette bonne collaboration. Je pense qu’elle est bénéfique. Moi je crois en la force de la région. Ce sont les communautés qui sont organisées en réseau et donc à chaque fois qu'on peut renforcer nos liens, on ne fait que donner une meilleure dynamique à nos rapports humains. Plus les rapports humains sont consolidés, plus chacun y gagne. Je pense que c'est une bonne œuvre. C'est déjà important. On ne se connaissait pas et je crois qu'à partir de cet instant, on ne se dépassera plus comme dans la rue comme des personnes inconnues. Voilà et même à mon sens à l'échelle nationale ou à internationale, le fondement des grandes organisations. Il s'agit de consolider des réseaux. Donc il faut toujours trouver un prétexte pour constituer un réseau. Moi je pense qu'aujourd'hui au niveau de nos trois régions, nous avons bien besoin de cela. Nous avons besoin de renforcer la solidarité, l'union et la cohésion. C'est important parce qu’il est difficile de faire des grandes œuvres tout seul. Je dirais en synergie, vous êtes plus forts et je crois que cela nous a manqué pendant longtemps. Si votre organisation peut contribuer à faciliter et accélérer ce rapprochement entre les cadres des trois régions, ça sera une très bonne chose. Cette rencontre va permettre à chacun de créer une plateforme de collaboration gagnant-gagnant », a-t-il soutenu.
Toutefois, il a encouragé les professionnels des médias dans leur mission de paix, cohésion et d’Union.
« Quand vous êtes convaincus de la noblesse de la mission que vous-vous êtes assignée vous-mêmes, je pense qu'il faut savoir dépasser les jugements qu'on peut porter sur vous, afin d'aller de l'avant. Mais pour ce qui me concerne en tout cas, à chaque fois que vous aurez besoin de moi, n'hésitez pas. Nous pourrons toujours nous retrouver pour échanger et se donner des idées », a-conclu l’Honorable Diomandé Mamadou dit Madi. Qui n'a pas manqué de donner un bref aperçu de la SOGEDI en attendant la prochaine rencontre.
Légende : Photo d’ensemble des membres de l’UJC-WOROBA avec l’honorable Diomandé Mamadou
Bamba Mafoumgbé avec Sercom

 

L’École Ivoirienne - Creuset de la Coexistence et Gardienne de la Neutralité ( Contribution)

dimanche, 26 janvier 2025 10:53 Written by

En Côte d’Ivoire, pays riche de sa diversité culturelle, ethnique et religieuse, l’école joue un rôle central dans la construction d’une nation unie et pacifique. Plus qu’un lieu d’apprentissage académique, elle est un espace de socialisation où se forment les futurs citoyens. L’école ivoirienne peut et doit enseigner les règles de la coexistence pacifique entre citoyens aux croyances diverses, tout en préservant sa neutralité vis-à-vis de ces croyances, qu’elles soient religieuses ou philosophiques.

L’École Ivoirienne et l’Enseignement Civique : Une Mission Essentielle

L’enseignement civique en Côte d’Ivoire est indispensable pour renforcer l’unité nationale et promouvoir les valeurs fondamentales qui cimentent la société ivoirienne. L’école doit être le lieu où chaque élève apprend à vivre ensemble dans un esprit de respect et de tolérance. Cela implique :

1. Promouvoir l’unité dans la diversité : En Côte d’Ivoire, les différentes croyances et traditions cohabitent. L’école doit enseigner que cette diversité est une richesse, et non une cause de division.
2. Éduquer au respect mutuel : L’école doit inculquer aux élèves le respect des opinions, croyances et modes de vie des autres, même lorsqu’ils diffèrent des leurs.
3. Renforcer la citoyenneté active : En enseignant les droits et les devoirs, l’école prépare les élèves à devenir des citoyens engagés et responsables, capables de contribuer à la paix et au développement du pays.
Ces enseignements civiques doivent être adaptés au contexte ivoirien, où les tensions sociopolitiques et les différences religieuses peuvent parfois exacerber les incompréhensions. En les abordant dès le jeune âge, l’école pose les bases d’une société harmonieuse.


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La Neutralité de l’École : Un Pilier Fondamental

Pour accomplir sa mission, l’école ivoirienne doit rester un espace neutre, à l’abri des influences religieuses, politiques ou idéologiques. Cette neutralité garantit que tous les élèves, quelle que soit leur origine, se sentent respectés et inclus. Cela repose sur trois principes essentiels :

1. L’égalité de traitement : Chaque élève doit être accueilli sans discrimination, avec les mêmes opportunités d’apprentissage et de réussite.


2. La transmission des valeurs universelles : L’école enseigne des valeurs comme l’unité, la justice, la solidarité et la paix, tout en respectant la diversité des croyances individuelles.

3. La séparation de l’éducation et des convictions personnelles : L’école transmet des connaissances objectives, notamment dans les disciplines scientifiques et historiques, sans ingérence des croyances ou pratiques religieuses.

Cette neutralité est particulièrement importante dans le contexte ivoirien, où l’équilibre entre les différentes communautés est essentiel pour préserver la stabilité et la cohésion sociale.


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Les Défis de la Neutralité dans le Contexte Ivoirien

L’école ivoirienne fait face à plusieurs défis pour maintenir sa neutralité et promouvoir une éducation civique adaptée :

1. Les influences extérieures : Des acteurs religieux, politiques ou communautaires tentent parfois d’imposer leurs idéologies dans le cadre scolaire.


2. La gestion des tensions internes : Les différences entre élèves, qu’elles soient ethniques, religieuses ou linguistiques, peuvent parfois créer des incompréhensions ou des conflits.


3. Le manque de ressources pédagogiques adaptées : Former les enseignants et développer des programmes qui mettent l’accent sur l’éducation civique et la neutralité restent des priorités.

 

Pour relever ces défis, il est crucial de renforcer la formation des enseignants, d’adopter des approches pédagogiques inclusives et de sensibiliser les parents et les communautés à l’importance de la neutralité scolaire.


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Le Rôle de l’Enseignant : Modèle et Médiateur

L’enseignant ivoirien est au cœur de cette mission. Il doit incarner les valeurs de neutralité, de respect et de tolérance, tout en créant un environnement propice à l’apprentissage. Son rôle consiste à :

Encourager le dialogue respectueux : Aider les élèves à exprimer leurs opinions sans juger ni heurter les autres.

Valoriser la diversité : Montrer que les différences enrichissent le collectif.

Fournir des outils de réflexion critique : Permettre aux élèves de développer une pensée autonome et d’analyser les situations avec discernement.


Un enseignant bien formé et impartial est un acteur clé pour transformer l’école ivoirienne en un véritable espace de coexistence pacifique.


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Vers une École Inclusive et Neutre : Une Vision pour la Côte d’Ivoire

L’école ivoirienne a une double responsabilité : préparer les élèves à contribuer à la construction d’une société unie et leur offrir un espace neutre où ils peuvent apprendre à se connaître et à respecter les autres. Elle doit être un lieu où les différences sont acceptées et valorisées, et où les élèves se forment aux valeurs de paix, de justice et d’unité nationale.

Cette vision nécessite un engagement collectif, impliquant les enseignants, les familles, les autorités éducatives et les communautés. Une école inclusive et neutre est un levier essentiel pour construire une Côte d’Ivoire où la diversité n’est pas un obstacle, mais une force.


Conclusion : L’École, Actrice de l’Unité Nationale

En Côte d’Ivoire, l’école est plus qu’un simple lieu d’éducation : elle est un pilier de l’unité nationale et de la paix. En enseignant la coexistence pacifique tout en préservant une stricte neutralité, elle prépare les générations futures à vivre dans une société harmonieuse et solidaire.

C’est dans cet esprit que l’école ivoirienne doit continuer à évoluer, pour qu’elle reste un espace de respect, de partage et de transmission des valeurs universelles, au service d’une nation riche de sa diversité.

Norbert KOBENAN

Prise en charge des accidentés de la route- Diomandé Prince, le Pca des transporteurs de la Mé plaide pour l’installation du Fga à Adzopé

jeudi, 23 janvier 2025 19:27 Written by

A l’intérieur du pays, le Fonds de garantie automobile (FGA) a une bonne presse. Le Fga (Fga est organisme particulier d'assurance créé en avril 2009, est dédié à la prise en charge totale et l'indemnisation des victimes d'accidents corporels de la circulation dans les cas de délit de fuite (conducteur et véhicule inconnus) ou de défaut d'assurance (véhicule responsable dépourvu d'assurance), c'est-à-dire en cas d'absence d'organisme responsable. Il est réclamé dans certaines localités dont Adzopé, ville située à l’Est du pays, principalement sur l’axe A1.
Le mardi 21 janvier 2025, Diomandé Prince, délégué du Haut conseil du patronat des entreprises de transport routier d’Adzopé, par ailleurs président du Conseil d’administration (Pca) de la Coopérative des transporteurs de la région de la Mé, dans une rencontre avec la presse, au siège de sa structure, s’est voulu enthousiasmer et a formulé le vœux suivant : « (...) Nous remercions le gouvernement ivoirien pour avoir mis sur pied le Fonds de garantie automobile ( Fga ). Ce fonds prend en compte tous les accidents automobiles quelle qu’en soit la forme. Cela est à saluer avec les deux mains. », dit –il : Et de poursuivre : « (...) Remerciements particuliers au Dg du Fga. Nous plaidons auprès de lui pour qu’il vienne loger sa structure ici au CHR d’Adzopé pour pouvoir assister les blessés, car souvent il y a de graves accidents et beaucoup meurent, faute d’assistance », indique l’orateur. Qui, s’exprimant sur le renouvellement du parc-auto, a laissé entendre : « (...) Nous demandons toujours à l’Etat de nous aider à renouveler nos parc-autos qui sont très vieillissants ». Le Pca de la Coopérative des transporteurs de la Mé a clos son propos sur ce plaidoyer envers l’Etat : « (...) Après avoir créé des entreprises de transport, on se trouve confronter à des difficultés aujourd’hui. En fait, on paie deux patentes : la patente des véhicules et celle des impôts de l’entreprise. Donc, nous plaidons auprès de l’Etat pour que l’un de ces impôts soit moins, où qu’un impôt seul couvre les deux. C’est vraiment notre souhait le plus pressant pour cette année », dit-il. Avant de former des vœux de santé de fer au Président de la République Sem Alassane Ouattara et pour toute la Côte d’Ivoire.


Koné De Sayara
Envoyé spécial à Adzopé
Légende : Diomandé Prince lors de cette rencontre

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