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vendredi 3 mai 2024
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Société

Société (701)

Religion// Mosquée Mohammed VI d'Abidjan// Ouverture officielle le vendredi 05 Avril 2024

mercredi, 03 avril 2024 17:04 Written by

Conformément aux Hautes Instructions de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, Amir Al Mouminine, que Dieu L'assiste, la Fondation Mohammed VI des Ouléma Africains va procéder, en collaboration avec les autorités ivoiriennes compétentes, notamment le Conseil Supérieur des Imams, des Mosquées et des Affaires Islamiques (COSIM) et la Section Ivoirienne de la Fondation, à l'inauguration officielle de la Mosquée Mohammed VI d'Abidjan lors de la Prière du vendredi 26 Ramadan 1445 de l'Hégire, correspondant au 5 avril 2024.

Le prêche du vendredi sera prononcé par le représentant du Conseil Supérieur des Ouléma du Royaume du Maroc, en présence d'un certain nombre de personnalités officielles et religieuses marocaines et ivoiriennes.


A cet égard, une veillée religieuse en commémoration de Laylat Al Qadr (la Nuit du destin) sera célébrée au sein de la Mosquée Mohammed VI d'Abidjan le jour même de son inauguration, avec la participation des Ouléma, des califes de confréries soufies et des guides religieux ivoiriens et marocains, fait savoir la Fondation Mohammed VI des Ouléma africains dans un communiqué.

L'animation de la Nuit bénie du destin comblera de ses bienfaits, dans un climat de quiétude et de paix spirituelle, les fidèles ivoiriens et marocains.

Témoignant de la Haute Vision de Sa Majesté le Roi, Amir Al Mouminine, que Dieu L'assiste, qui reflète Son engagement particulier en faveur de la protection des constantes religieuses, la Mosquée Mohammed VI d'Abidjan oeuvrera à la diffusion de la sagesse, à l'enseignement du Saint Coran, à la célébration de la prière, ainsi qu'à la promotion des valeurs nobles de paix, de tolérance et de dialogue, telles que prônées par la religion musulmane.


Fidèle à sa mission, la Mosquée Mohammed VI d'Abidjan optera au partage de l'expertise marocaine en matière de gestion du champ religieux et ce, sur la base des fondamentaux religieux communs entre les deux pays, symbolisant ainsi les liens fraternels et historiques entre les peuples ivoirien et marocain, précise le communiqué.

Les travaux de construction de la Mosquée Mohammed VI d'Abidjan ont été lancés le 3 mars 2017 par Sa Majesté le Roi Mohammed VI, Amir Al Mouminine, que Dieu L'assiste, accompagné de Son Excellence M. Alassane Dramane Ouattara, Président de la République de Côte d'Ivoire.

Les travaux réalisés, par des artisans marocains, ont obéi scrupuleusement aux normes architecturales marocaines traditionnelles et authentiques dans toute leur splendeur.

L'édifice de la Mosquée s'étend sur une superficie de 25.000 m2 et comprend une salle de prière avec une capacité d'accueil de 7000 fidèles, ainsi qu'une salle de conférences, une bibliothèque, un complexe commercial, des espaces verts, un pavillon administratif, un logement pour l'imam et un parking.
Bamba Mafoumgbé,Cette adresse courriel est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

 ( source:MAP)

Coopération//Redynamisation de la coopération transfrontalière dans la zone Tengrela-Kolondieba// Une rencontre entre acteurs frontaliers ivoiriens et maliens à Tengrela

mardi, 02 avril 2024 20:57 Written by

Du 26 au 28 mars 2024 s’est tenue à Tengrela (Côte d’Ivoire), la rencontre de redynamisation de la coopération transfrontalière entre le département de Tengrela (Côte d’Ivoire) et le Cercle de Kolondièba (Mali).
Cette rencontre a été conjointement organisée par les autorités administratives des deux circonscriptions qui se sont appuyées sur un comité technique mixte composé des acteurs locaux de Tengrela (Côte d’Ivoire) et de Kolondièba (Mali), en collaboration avec les structures en charge de la gestion des frontières de la Côte d’Ivoire et du Mali et avec l’appui financier de l’Organisation internationale pour les migrations (Oim) et l’Ong Equal Access International.
La rencontre avait pour objectif principal de relancer les activités de coopération transfrontalière entre Tengrela en Côte d’Ivoire et Kolondièba au Mali.
Elle a réuni les autorités administratives, les maires, les chefs des services techniques de Tengrela et de Kolondièba, les représentants des structures en charge de la gestion des frontières de la Côte d’Ivoire et du Mali, les responsables des unités des forces de sécurité de Tengrela et les représentants des partenaires techniques et financiers.
Au cours de la cérémonie d’ouverture, le Chef de la délégation malienne, M. Boubacar Oumar TRAORE, Préfet du Cercle de Kolondièba, a dans ses propos liminaires remercié les Autorités ivoiriennes pour l’accueil chaleureux et fraternel réservé à sa délégation et ainsi que les commodités mises à leur disposition depuis leur entrée sur le territoire ivoirien. Il a rappelé l’historique de ce processus qui a commencé en 2019, interrompu en raison des mesures sécuritaires relatives à la crise sanitaire liée au covid-19. C’est pourquoi, il s’est réjoui de la reprise de ces activités de coopération transfrontalière et souhaité que les attentes des acteurs soient prises en compte pour l’amélioration des échanges entre les communautés de Tengrela (Côte d’Ivoire) et Kolondièba (Mali). Il a au nom des plus hautes Autorités du Mali, remercié tous ceux qui ont contribué et continuent de contribuer au renforcement des liens de fraternité entre les populations maliennes et ivoiriennes en général, et celles des espaces frontaliers en particulier.
Avant de déclarer ouverts les travaux, Madame le Préfet du Département de Tengrela, GNALEGA Ruth Anne-Marie épouse Brou, a, dans son intervention, salué cette initiative qui date d’avant sa prise de service à Tengrela. Elle a remercié la délégation venue du Mali pour sa disposition et son engagement à maintenir avec les communautés locales de Tengrela des relations de bon voisinage. Par la suite, elle a émis le vœu de voir se concrétiser la mise en place du Groupement Local de Coopération Transfrontalière (GLCT) entre Tengrela (Côte d’Ivoire) et Kolondièba (Mali). Aussi, a-t-elle souhaité que la rencontre permette de mener des réflexions profondes afin de parvenir à une gestion concertée de la frontière commune aux deux pays. Elle a particulièrement remercié les partenaires techniques et financiers, en l’occurrence l’Organisation Internationale pour les Migrations (Oim) et l’ONG Equal Access International (Eai) pour leur appui.
Dans le but de renforcer les capacités des participants, plusieurs communications ont été faites notamment les présentations des deux structures en charge des frontières des deux pays, le renforcement de la lutte contre la traite humaine et des enfants ainsi que le trafic illicite des migrants.
Après les présentations de la Commission Nationale des Frontières de la Côte d’Ivoire (Cnfci) et de la Direction Nationale des Frontières (Dnf) du Mali, Monsieur Tima Thomas COULIBALY, Chef de Division Coopération administrative frontalière à la Direction Nationale des Frontières du Mali a fait une présentation d’un modèle de Groupements Locaux de Coopération Transfrontalière (GLCT).
Dans sa présentation, Monsieur Tima Thomas COULIBALY a mis l’accent sur l’importance du renforcement de la coopération transfrontalière en s’appuyant sur des exemples de Groupements Locaux de Coopération Transfrontalière (GLCT) existants.
C’est pourquoi, il a invité les participants à se reconnaitre plus dans l’espace de coopération transfrontalier que dans des considérations partisanes qui sont susceptibles de séparer les communautés au lieu de les unir. « On ne pourra pas parvenir à un espace intégré de coopération en étant trop rattaché au sentiment de nationalisme », a-t-il conclu.
À l’issue des travaux en commissions qui ont suivi les communications, des amendements ont été apportés aux recommandations initialement formulées.
En plus, la feuille de route initialement conçue en 2019 a été actualisée, puis soumise à l’atelier pour validation. Au terme de la rencontre, les participants ont formulé les recommandations suivantes :
A l’endroit des acteurs frontaliers, il s’agit de : créer une plateforme transfrontalière pour chaque service technique regroupant les acteurs frontaliers des deux pays d’une part, faire un plaidoyer auprès des partenaires au développement pour le financement des activités de la mise en place du Gltc d’autre part.
Sans oublier élaborer une cartographie des conflits frontaliers en vue de prévenir et de mieux gérer les conflits communautaires dans l’espace transfrontaliers Tengrela-Kolondièba.
A l’endroit des deux États, ils ont unanimement souhaité l’accélération du processus de délimitation de la frontière commune.
Dans son allocution de clôture, Monsieur Nurudine OYEWOLE Coordonnateur technique chargé de la coopération transfrontalière, des affaires juridiques et des contentieux à la Cnfci a remercié l’ensemble des participants et particulièrement ceux venus du Mali pour avoir effectué le déplacement. Il a salué et félicité Madame le Préfet de Tengrela et son homologue de Kolondièba pour leur engagement remarquable qui a permis de tenir cette rencontre.
Quant au représentant de l’Oim, il a tout d’abord remercié les participants pour leur mobilisation et remercié les autorités des deux États pour leur volonté et leur engagement à parvenir à une gestion concertée de leur frontière commune et à une cohabitation pacifique de leurs populations frontalières. Il a renouvelé l’engagement de son organisme à accompagner les deux États dans leur dynamique. Il s’est réjoui de l’atteinte des objectifs de l’atelier tout en affirmant que cela dénote de l’intérêt accordé au projet. Madame Bouakéma DIOMANDE, représentante Equal Access International s’est, quant à elle, félicitée de la tenue de cette rencontre qui vient renforcer la résilience des populations de cette zone frontalière. Elle a souligné les objectifs de sa structure qui œuvre essentiellement à renforcer la résilience des populations exposées aux conséquences de la crise sécuritaire au Nord de la Côte d’Ivoire.
Bamba M.

 

Région du Béré// Actions sociales à Kounahiri// La maternité de Trafesso réhabilitée

lundi, 01 avril 2024 17:39 Written by

La maternité de de Trafesso, village situé dans la commune de Kounahiri (région du Béré), était dans un état d'insalubrité indescriptible.
Heureusement qu'un cadre de la Santé, fils de la région et ses partenaires, ont décidé de la réhabiliter. En effet, Docteur Bagaté Abdoul Tiecoura et ses partenaires, ont permis récemment la réhabilitation de la salle d'accouchement, la remise en état de la chambre unique et de la salle d'auscultation, ce qui constituait la première étape. Grâce à cette réhabilitation complète, cet espace dédié à la Santé maternelle a été transformé, pour offrir un cadre moderne, sécurisé et accueillant aux futures mamans et à leurs bébés. «Cette initiative s'inscrit dans notre engagement à promouvoir la Santé maternelle et infantile dans notre communauté. La rénovation de la maternité de Trafesso est le fruit d'un travail collectif et témoigne de notre volonté de garantir des soins de qualité pour toutes les femmes enceintes de la région. Nous sommes fiers de contribuer à l'amélioration des conditions de vie et de santé des habitants de Kounahiri et de ses environs », a exprimé Docteur Bagaté Tiecoura. Notons que la maternité de Trafesso mène les activités préventives telles que la consultation prénatale et post-natale, la planification familiale ainsi que les accouchements. De façon mensuelle, elle reçoit environ une centaine de consultations prénatales, 60 accouchements. Selon Dr Bagaté: «Aujourd’hui, cette nouvelle maternité flambant neuve, offre un cadre adéquat pour la prise en charge des utilisatrices mais aussi de meilleures conditions de travail pour le personnel de la maternité. Ce présent don en équipements vient davantage renforcer la qualité de soin », a-t-il signifié.
Notons que Dr Bagaté Abdoul Tiecoura a à son actif plusieurs réalisations et actes symboliques notamment des dons de motos à des chefs de village.
A l’occasion du carême chrétien et du jeune musulman, il a fait dons de vivres aux deux communautés. Sans oublier des dons de pneus et de climatisation pour l’ambulance de l’hôpital de Kongasso par la dynamique équipe du vagabond de la charité, Dr Bagaté Abdoul Tiecoura. Il intervient aussi dans des cas d’opérations chirurgicales gratuites de fibromes, de kystes…
Ayoko Mensah( Info FS)

Vie chère / / Coûts de l’électricité, plafonnement des prix, interdiction d’exporter les produits vivriers// Marius Comoé sans détours se prononce

dimanche, 31 mars 2024 11:17 Written by

Récemment invité sur une chaine de télévision, Marius Comoé, le président d’une des plus anciennes associations de consommateurs de Côte d’Ivoire, a soufflé le chaud et le froid. Très équilibriste, l’homme a autant défendu les consommateurs que les gouvernants. En effet, s’il a souvent tancé les gouvernants pour le non suivi de certaines recommandations, notamment au niveau des contrôles des prix où il a décoché des fléchettes sur les contrôleurs, expliquant sans fioritures qu’ils sont abonnés à la malhonnêteté, il n’en demeure pas moins juste qu’il a salué avec ses deux bras les nombreux efforts commis çà et là. Il s’est par exemple appuyé sur la couverture du pays en électricité.

Selon Marius Comoé, en 2023, le taux de couverture du pays en électricité était de 86, 2% contre 33, 2% en 2011. En 2023, il y a eu 7 508 localités électrifiées contre 2 847 en 2011. Pour lui, cet exploit est à saluer à sa juste valeur. Cependant, il a affirmé ici que les populations ne soient pas surprises de voir les coûts des factures enregistrés de légers renchérissements. « (…) Quand l’Etat couvre toute l’étendue du territoire national en lumière, tout le monde est content. Mais on oublie que l’Etat n’a pas de champ de cacao, ni de café pour cet immense travail. Il faut bien acheter les poteaux, les fils de raccordements, les ampoules et autres. Qui paye toutes ces charges ? Après, on s’étonne de faire des constats d’augmentations sur nos factures. Bien évidemment, le développement où l’émergence à son coût. Ce n’est pas à l’Etat seul de le supporter. Disons plutôt merci d’avoir un Etat responsable, soucieux du bien-être de sa population », a affirmé l’élève de feu Me. N’Dah.

Abordant la question de la cherté du riz, il a qualifié ce débat de faux, expliquant tout simplement qu’on importe cette denrée de certains pays où la terre est moins fertile qu’ici. Alors, il s’est posé la question de savoir pourquoi ne pas en produire sur place. S’agissant de la politique de plafonnement des prix, il a estimé qu’elle est très bonne, mais pas suivie dans les faits. Occasion pour lui de tirer à boulets rouges sur les contrôleurs, indiquant qu’ils sont tout simplement abonnés à la malhonnêteté, préoccupés à s’en faire plein les poches. L’invité de cette télévision a salué à sa juste valeur l’interdiction d’exportation des produits alimentaires. Pour lui, depuis que cette mesure a été prise, tous les marchés sont approvisionnés en produits alimentaires.

Koné De Sayara.

 

Abobo centre / /4ème édition de la rupture collective du jeûne// Le parrain Abdoulaye Sylla fait d’importants dons

dimanche, 31 mars 2024 11:10 Written by

C’est dans une ambiance bon enfant que les membres de l’Association des jeunes d’Abobo Centre (AJAC), ont organisé, le dimanche 24 mars dernier, sur l’esplanade du Groupe scolaire nord d’Abobo au quartier Gotham, leur 4ème édition de la rupture collective de jeûne. Cette cérémonie, était placée sous l’autorité spirituelle du Conseil supérieur des Imams et sous le parrainage d’un ancien du quartier, Abdoulaye Sylla, par ailleurs président de la Fédération nationale des syndicats des chauffeurs de Côte d’Ivoire (FENSC-CI). « (…) La tradition dans l’Islam et le musulman face aux dérivés des réseaux sociaux en période de jeûne », tel en était le thème, d’ailleurs largement développé par l’Imam Bamba Abdoulaye. Selon lui, toutefois qu’il y a compatibilité entre les deux notions, on s’y prend. Mais lorsqu’il y a incompatibilité, la tradition s’efface pour faire place à l’Islam, donc aux prescriptions du Prophète Mouhamad (SAW). Sans dénigrer ni rejeter du revers de la main les inventions du développement numérique dont les réseaux sociaux, l’homme de DIEU, a très clairement expliqué qu’il faut en faire bon usage et non suivre ses travers. Pour sa part, le parrain Abdoulaye Sylla a invité ses filleuls à s’approprier les conseils de l’Imam. Il les a aussi conseillés à la prudence sur les routes pour les transporteurs et chauffeurs et prodigué de sages conseils aux piétons. En sa double qualité de parrain et d’ancien du quartier, il a fait parler son cœur en offrant d’énormes dons en vivres, notamment beaucoup des sacs de riz, de l’huile, du sucre et d’autres vivres. Quant à Diarra Sékou le secrétaire général de l’Ajac, il a, au nom de son président et au nom de tous les membres de leur organisation, dit merci à tous ceux qui ont honoré de leur présence cette cérémonie. Avec une mention particulière pour le parrain et l’Imam. Il n’a pas non plus oublié les membres de la FENSC-CI qui ont effectué nombreux le déplacement pour venir prêter mains fortes au président Abdoulaye Sylla.
Koné De Sayara

 

Religion / / Ramadan 1445- 2024// L’épouse du PAN aux côtés de ses sœurs de Yopougon- résidentiel

jeudi, 28 mars 2024 16:37 Written by

Instants de partage, de solidarité et de joie, Madame Fatimata Bictogo, épouse du PAN, a marqué sa présence aux côtés de l’Association des femmes étoiles de Yopougon –Résidentiel. C’était le dimanche 24 mars 2024 à l’occasion d’une lecture Coranique portant sur le thème : ‘’ Les conditions de la femme entre les religions et la femme dans l’Islam’’. Cette cérémonie a eu pour cadre la Mosquée AL-Amine de Yopougon –Résidentiel. Placée sous l’autorité morale de l’Imam Diabagaté Said et sous le parrainage de Madame Bamba Ramata, cette cérémonie a tenu la promesse des fleurs eût égard à la qualité du thème débattu par le conférencier. A cette occasion de retrouvailles, Madame Fatimata Bictogo, d’ailleurs accompagnée d’une forte délégation n’y est pas allée les mains vides. Elle a en effet tenu à apporter à ses sœurs de l’association sa contribution pour ce mois de partage et bénit de Ramadan. Très heureuse de la présence de leur illustre hôte, les musulmanes de cette organisation féminine ont salué et remercié la spontanéité de sa présence à leur cérémonie. Prenant la parole, Madame Bictogo a exprimé sa gratitude à ses sœurs de Yopougon –Résidentiel et les a exhortées à prier pour la paix, la cohésion sociale et la concordance en Côte d’Ivoire, ainsi que pour la commune de Yopougon avec à sa tête le maire Adama Bictogo , afin que le Seigneur l’assiste dans sa volonté d’œuvrer pour le bien-être des habitants de sa commune. C’est par des prières de cantiques que s’est achevée cette sympathique cérémonie.
K.S

Assistance//SOS: Atteint d’une tumeur sur la bouche// Silué Brahima appelle aux secours

jeudi, 28 mars 2024 09:40 Written by

Silué Brahima,Marié et père de 7 enfants dont le premier garçon est en L2 lettres modernes à l’ université de Bouaké, réside à Tortiya, dans le département de Niakara dans le Hambol, souffre d’une tumeur qui a la forme d’un ballon de football sur la bouge.
Silué Brahima, cet agriculteur âgé d’environ 54ans, malgré son mal, il allait toujours au champ, jusqu’ à ce son mal s’aggrave et lui foutent les boules. Chaque jour, il ne fait qu’implorer le Tout Puissant, pour avoir le soutien d’un hypothétique bienfaiteur.
Selon une alerte que nous avons reçue donne froid dans le dos et fait couler des larmes.
« Silué Brahima peine à couvrir ses frais médicaux. Nous croyons en la force de la communauté, pour apporter du réconfort et de l'aide. Nous sollicitons humblement votre soutien, qu'il s'agisse d'une oreille attentive, d'un geste de gentillesse ou d'une contribution pour accéder aux soins médicaux nécessaires. Ensemble, nous pouvons alléger le fardeau de notre être cher et lui rappeler qu'il n'est pas seul dans cette bataille. Merci du fond du cœur pour votre soutien et votre compassion », indique le message.
Selon les informations recueillies, auprès de l’un de ses proches, c’est difficile pour Silué qui continue d’appeler à l’aide. « C’est depuis l’âge 20ans qui le mal de Silué a commencé. Au tout début, c’était du sang coulait de la bouche et au fur la tumeur commencée à se développer. Il a négligé au départ, mais c’est maintenant qu’il a décidé d’aller à l’hôpital. », nous a précisé M. Diarra Adama, un proche joint par téléphone.
Mais combien faut-il pour opérer Silué ?
Beaucoup d’argent. Et la facture pro-forma établie par le Docteur chirurgien Zégbéh qui a consulté le patient à Bouaké, il faut au moins 1,1 million de Fcfa(voir fac-scimilé).Cette facture porte les indications suivante :« Tumeur historique de la mandibule. Intersection interrompue de la mandibule et reconstruction par endoprothèse métallique »
Mais où trouver cette somme ? Sa famille continue d’appeler à l’aide. Voici, un cas parmi tant d’autre que la fondation Lonaci qui se bat depuis quelques années, pour la bonne cause, peut aider à régler et redonner le sourire à Silué Brahima
Bamba Mafoumgbé,Cette adresse courriel est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

 

Légende photo: Photo 1 Silué Brahima tend la main à l’aide

 


Photo2 : La facture pro-forma établi par le Docteur Zégbué


Contact parents : 0707927956 / 0153715229

Gouvernance// Affectations dans l’administration publique// Le Dg de la Fonction publique rétablit la vérité

mardi, 26 mars 2024 09:55 Written by

Le directeur général de la Fonction publique, Soro Gninagafol, invité de l’émission 360 de la Nouvelle chaine ivoirienne (NCI), a levé toutes les équivoques sur le processus d’affectation dans les ministères, dimanche 24 mars 2024, suite à la polémique sur les affectations dans les différents départements ministériels, soulevée par le secrétaire général du syndicat Alliance nouvelle des agents de la direction générale des impôts (ANAGDI), Michael Dougrou.
Le secrétaire général de l’ANAGDI a indexé la ministre d’Etat, ministre de la Fonction publique et de la Modernisation de l’administration, Anne Désirée Ouloto de fouler aux pieds les règles de mise à disposition du personnel à la DGI.
« Il ne faudrait pas que les gens pensent que, depuis sa tour d’ivoire, le ministre en charge de la Fonction publique peut prendre un professeur d’EPS et le balancer comme un caillou dans la mare des Impôts, sans même que les acteurs qui sont à la Direction générale des impôts (DGI) n’aient eu l’occasion de dire oui, nous sommes intéressés par son profil », a expliqué M. Soro, s’appuyant sur le diplôme de Brevet de technicien supérieur (BTS) en communication d’entreprise avec lequel le SG de l’ANAGDI a été recruté à la Fonction publique.
Pour lui, ceux qui raisonnent ainsi semblent méconnaître les différences entre diplômes, qualification, compétence et emploi.
« Au-delà des diplômes, il y a l’emploi. La Fonction publique est organisée en emplois. On passe un concours et quand on est admis, on a accès à un emploi. C’est le cas de notre syndicaliste qui a fait le cycle moyen supérieur de l’Ecole nationale d’administration (ENA) avec son diplôme de BTS en communication d’entreprise et il est allé faire une filière de fiscalité, donc impôt. Rien ne dit donc que le professeur d’EPS n’a pas fait de formation pour lui permettre d’être efficace à la DGI », a-t-il clarifié.
La question des primes dans les régies, a-t-il souligné, a pour objectif de mettre les agents de ces structures financières à l’abri des tentations, exhortant tous les fonctionnaires à s’approprier le statut général de la Fonction publique pour comprendre le fonctionnement de l’administration publique avec ses droits et obligations.
« Tous les fonctionnaires ne peuvent pas aller dans les régies financières. Aujourd’hui, ils sont 19 000 dans les régies pour un effectif de près de 289 000 fonctionnaires. Donc la grande masse des fonctionnaires de Côte d’Ivoire travaillent dans les secteurs autres que les régies financières », a-t-il démontré.
Pour ce qui est de la question des primes, il a indiqué qu’elle renvoie à la satisfaction des rémunérations qui est servie aux fonctionnaires. Depuis août 2022, a développé M. SORO, le président de la République a fait des efforts révélant que le plus petit salaire qui était de 120.000 FCFA est passé à 200 000 FCFA.
B. M

Ips-Cgrae// Célébration de la Jif 2024// Les mérites du Dg Abdrahamane T. Berthé reconnus

dimanche, 17 mars 2024 16:34 Written by

La Journée internationale des Droits de la femme (JIF) célébrée chaque le 08 mars, n’est pas passée inaperçue à L'Institution de prévoyance sociale Caisse générale de retraite des agents de l'Etat (Ips-Cgrae). Institution hautement citoyenne, elle a célébré ses femmes le vendredi 8 mars 2024 à son agence principale de Cocody. A l'occasion, la présidente de l'association des femmes de l'Ips- Cgrae Mme Brou Aka Elise a salué le Directeur général Abdrahamane Tiémoko Berthé pour ses bénéfiques actions à l'endroit de ladite organisation féminine. Elle a ensuite énuméré les challenges et défis à relever.
Selon elle, il s’agit entre autres de : l'assurance maladie à vie pour les femmes et les hommes, l'égalité des chances pour l'accès aux postes de direction et de prise de décision. En outre, Mme Brou Aka Elise a exhorté ses collègues à plus abnégation au travail et de soutien mutuel. Enfin, elle a indiqué que la Journée internationale des droits de la femme est une occasion significative pour célébrer les réalisations des femmes et promouvoir l'égalité des sexes. À sa suite, le Directeur général adjoint Siriki Diarrassouba qui représentait le Dg de l'Ips- Cgrae a fait savoir que cet évènement se veut un cadre de promotion des droits des femmes mais surtout de leur apport au sein de l'institution. «(…) Notre politique de promotion du genre est perceptible à travers une représentation remarquable des femmes au sein de notre institution. Sur un effectif total de 518 collaborateurs, nous avons 52% qui sont des femmes, parmi lesquelles 120 cadres. Ces chiffres significatifs, en constante évolution, sont une source de fierté pour notre Institution », a-t-il déclaré. Le Dga a également fait savoir qu'en 2023, plusieurs actions en faveur des femmes ont été entreprises, en complément des initiatives habituelles. Parmi celles-ci, des formations spécifiques ont été organisées, axées sur le développement personnel et professionnel des femmes. Pour cette édition 2024 de la JIF, une conférence portant sur le thème national, «(…) Agir ensemble pour l’égalité : éradiquer la pauvreté, renforcer les institutions et investir dans le futur de la femme », a été animée par l'écrivaine Mahoua Bakayoko.
Koné De Sayara

Jif2024//Lutte contre le Cancer et la Lèpre en Côte d’Ivoire// Les collaboratrices d’AGL apportent un soutien aux enfants vivant avec ces deux maladies

lundi, 11 mars 2024 16:55 Written by

Dans le cadre de la journée internationale des droits de la femme, l’amicale des femmes des filiales d’Africa Global Logistics (AGL) en Côte d’Ivoire, que sont : AGL Côte d’Ivoire, SITARAIL, Abidjan Terminal, Côte d’Ivoire Terminal et CARENA, a fait don, le mercredi 06 mars 2024, de matériel médical de première nécessité, au centre d’oncologie pédiatrique du CHU de Treichville dans la ville d’Abidjan et à l’Institut Raoul Follereau d’Adzopé, à 100 km au Nord d’Abidjan.
Ces dons composés de seringues, de gants en latex, de compresses, de médicaments antiseptiques et de matériel d’entretien, à ces centres de santé spécialisés dans la prise en charge des enfants atteints du cancer et de la lèpre, vise à témoigner la solidarité des collaboratrices d’AGL en faveur des populations vulnérables.
A travers cette initiative, l’amicale des femmes d’AGL renouvelle son engagement à contribuer chaque année, à la santé et au bien-être des populations vivant en Côte d’Ivoire.
« Ces dons d’équipements médicaux visent à améliorer les conditions de prise en charge des enfants malades, admis au sein de ces hôpitaux. A travers cette action réalisée en cohérence avec les valeurs de solidarité du groupe
AGL, nous témoignons notre engagement à contribuer à freiner la progression du cancer et de la lèpre chez les enfants en Côte d’Ivoire. », a indiqué Martine Coffi-Studer, Présidente du Conseil d’Administration d’AGL Côte d’Ivoire.
« Ces dons d’AGL arrivent à point nommé au sein de notre centre de santé car ils permettront de mieux prendre en charge les enfants souffrant de pathologies dont les traitements coûtent chers pour les parents des victimes, qui sont généralement issus de milieux défavorisés. Il faut savoir que le cancer chez l’enfant se guérit s’il est diagnostiqué tôt. C’est pourquoi, nous saluons les moyens adéquats mis à notre disposition par AGL et qui contribueront à faciliter la guérison totale des enfants atteints du cancer. », a déclaré le Professeur Lassina Cissé, chef du service de pédiatrie du CHU de Treichville.
Outre la remise de ces équipements médicaux, les femmes de l’entreprise ont organisé plusieurs conférences, à Abidjan et à San Pédro, autour du thème : « Investir en faveur des femmes : accélérer le rythme », ainsi que des ateliers de formation, des activités sportives et récréatives, et une exposition-vente suivie du traditionnel déjeuner des femmes de l’amicale.
Bamba M.

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