Prix garanti bord champ (campagne 2023-2024): CACAO 1800 Fcfa / KgCAFE 1500 Fcfa / Kg

lundi 20 janvier 2025
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Bafing//Fin de la semaine culturelle édition 2024 de Serifina // Le foyer des jeunes réhabilité remis ce samedi par le parrain

mercredi, 21 août 2024 12:05 Written by

C'est ce Dimanche 25 Aout 2024, que les activités de la semaine culturelle 2024 initiée par la Jeunesse Sabougnouma de Serifina(JSS) prennent fin dans ledit village situé à 9 de Km de Ouaninou. Mais avant, ce village paisible d’environ 2000 habitants, va connaitre une animation particulière ce samedi 24 aout 2024. La raison, il sera procédé à la remise officielle du foyer des jeunes réhabilité par le parrain de la semaine culturelle, Bamba Bakari Kerinski cadre de Sérifina et opérateur économique. Sans oublier la célébration de l’excellence avec la récompense des meilleurs élèves.
Le parrain n’a pas lésiné sur les moyens pour non seulement soutenir la Jeunesse Sabougnouma de Serifina(JSS), mais aussi remettre à neuf le bâtiment qui était dans un état de délabrement très avancé. Durant une dizaine de jours, la JSS et son président, Bamba Laciné ont fait œuvre utile dans le village, à travers des activités sportives, culturelles, une opération village propre et le nettoyage du foyer.
En attendant, la remise officielle des clés du bâtiment, les membres de la JSS « remercient d’avance leur parrain, Bamba Bakari Kerinski, par ailleurs vice- président de la Mutuelle de développement de Serifina(MUDES), dont le président est Bamba Issiaka. »
B. Mafoumgbé
Légende photo : Bamba Bakari Kerinski, parrain semaine culturelle édition 2024 de Serifina

 

 

 

 

 

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Environnement//Lutte contre la déforestation en Côte d’Ivoire // L’Ong « Je reverdis mon village » engage la lutte à Zaddi (Oumé)

mardi, 20 août 2024 20:11 Written by

L’Ong « Je reverdis mon village » a organisé une vaste opération de plantation d’arbres, mobilisant les habitants autour d’une cause cruciale : la lutte contre la déforestation. C’était le 15 août 2024 dans le petit village de Zaddi, situé dans la sous-préfecture de Tonla, département d’Oumé. Ce jour-là, l’Ong « Je reverdis mon village », présidée par Dogad Dogoui, chef de bureau de l’agence ivoirienne de presse à Gagnoa, a frappé un grand coup. Cette initiative, selon Dogad Dogoui, s’inscrit dans un contexte national de plus en plus préoccupant où la disparition des forêts menace l’équilibre écologique et économique de la Côte d’Ivoire.
La Côte d’Ivoire, autrefois riche en forêts, fait face à une déforestation galopante. Les causes sont multiples : exploitation forestière excessive, conversion des forêts en terres agricoles, et urbanisation croissante. Dogad Dogoui, président de l’Ong et initiateur de cette journée de plantation, a attiré l’attention sur ce qu’il appelle la « calvitie forestière », un terme qui illustre parfaitement l’état critique des forêts dans la région.
« Personne n’ignore les effets du réchauffement climatique dans notre pays, avec l’abattage des essences pour diverses raisons », a-t-il déclaré lors de l’événement. Il a notamment souligné que ces raisons sont souvent d’ordre pécuniaire ou agricole, mais aussi liées au développement local.
Le département d’Oumé, où se trouve Zaddi, n’échappe pas à cette réalité. Le chef de village, Dogoui Koffi Valia, a confirmé que la déforestation est une préoccupation majeure dans son village, où la forêt a quasiment disparu à cause de la production intensive de cultures vivrières et d’exportation. « C’est une première du genre dans le village. Nous allons accompagner cette action », a-t-il promis, soulignant l’importance de l’initiative de l’Ong.
La journée de plantation d’arbres à Zaddi ne s’est pas limitée à un simple geste symbolique. C’est une véritable opération de reboisement qui a été menée, avec la plantation de plusieurs centaines de tecks à travers tout le village, qui compte environ 9 000 habitants. Le choix du teck, une essence durable et précieuse, n’est pas anodin : il s’agit de réintroduire des espèces à forte valeur écologique et économique, tout en sensibilisant les populations locales à l’importance de préserver leur environnement.
Le soutien des autorités locales et nationales
Le commandant des eaux et forêts, Kouamé Innocent, présent lors de l’événement, a rappelé que « la disparition de la forêt est une affaire de tous ». Il a encouragé l’initiative de l’Ong et insisté sur la nécessité pour chaque citoyen de s’impliquer dans la reconstitution du couvert forestier. « Sans forêt, il n’y aura pas d’agriculture », a-t-il averti, soulignant l’interdépendance entre la nature et les activités humaines.
Cette journée de reboisement a également bénéficié du soutien des autorités locales et nationales.Le maire de Diegonefla, Bagrou Goli, parrain de la cérémonie, a contribué à la réussite de l’événement, même s’il a dû se faire représenter par son 4e adjoint, Alain Gbaka. Celui-ci a exhorté les producteurs de café et de cacao, principales cultures de la région, à planter des arbres dans leurs plantations, conformément aux nouvelles exigences des pays occidentaux qui conditionnent l’achat du cacao à des pratiques agricoles durables.
Projet de reboisement à Zaddi : un exemple à suivre en Côte d’Ivoire
Le représentant du ministre gouverneur du district du Loh-Djiboua, Nongo Alfred, a, quant à lui, mis en avant l’importance de faire de Zaddi un modèle pour les autres villages. « Il ne faut pas que cela s’arrête. Que Zaddi soit un exemple pour les autres villages », a-t-il déclaré. Cette action, selon lui, ne doit pas rester isolée, mais doit inspirer d’autres localités à travers le pays. Pour sa part, Mme Amani Grâce, représentante de la ministre Dogo Belmonde, a dit que planter un arbre est un acte de lutte contre la pauvreté. Elle a invité toutes les populations à préserver le couvert forestier en s’engageant dans des actions similaires.
Ayoko Mensah(Source : Sercom)
Légende photo : Le confrère Dogad Dogoui  et  le Commandant    des eaux et forêts Kouamé Innocent   procèdent au lancement de l’opération

Environnement//Gestion durable des déchets Covid19 et médicaux // L’Institut Pasteur de Côte d’Ivoire alerte sur des besoins

mardi, 20 août 2024 12:12 Written by

Près de deux ans après la fin de la pandémie à la Covid- 19, la vague meurtrière de la maladie est certes passée, mais il faut continuer à traiter efficacement les déchets générés. Pour réussir le challenge, les besoins sont énormes et incompressibles. L’Institut Pasteur de Côte d’Ivoire, qui joue un grand rôle dans stratégie de la riposte depuis l’apparition du premier cas de la Covid-19 en Mars 2020, jusqu’ à ce que le gouvernement mette fin à la phase épidémique en Mars 2022, a besoin de moyens, de beaucoup de moyens pour continuer à collecter les déchets Covid-19 et médicaux, mais aussi les incinérer.
Les moyens reçus ont permis à l’Institut Pasteur de Côte d’Ivoire, de traiter de 2020, jusqu’ au 29 Mars 2024, environ 220 tonnes de déchets aussi bien de la Covid-19, de vaccination et d’activités de soins médicaux à risque infectieux.
Malgré cette performance, le Professeur Kouadio Kouamé, le responsable de la gestion des déchets médicaux au département environnement et santé de l’Institut Pasteur Côte d’Ivoire) /chargé du traitement des déchets Covid-19 est formel : « l’Institut Pasteur a besoin de soutiens et de moyens pour mener à bien lesdites opérations. Pendant la pandémie à la Covid-19, nous étions des « enfants gâtés ». Tout monde venait faire des dons. La Société nationale d’opérations pétrolières(Petroci), par exemple, nous a fait des dons pour en gaz et continue encore de le faire, pour incinérer les déchets Covid-19 et les autres déchets de laboratoire. Mais vous savez, les dons s’épuisent. Notre grand besoin aujourd’hui, c’est d’obtenir un véhicule utilitaire pour transporter les déchets des centres de collecte aux incinérateurs. Nous avons certes une dotation à partir du budget de l’Etat de Côte d’Ivoire qui continue d’appuyer l’Institut Pasteur dans la gestion des déchets sanitaires, mais un don de structures privées serait la bienvenue », dit-il.
A l’Unité de coordination des programmes de santé, Ucp Santé /Banque mondiale, un groupe de travail qui a été créé au ministère de la Santé, de l’hygiène publique et de la couverture maladie universelle.
«Ce groupe coordonne tous ceux qui travaillent dans la filière des déchets médicaux. C’est vrai que les déchets Covid ont pris fin, mais, les déchets médicaux sont là. Certaines équipes engagées par l’Etat de Côte d’Ivoire, collectent les déchets médicaux et les acheminent vers l’Institut Pasteur. D’autres équipes sont à l’intérieur du pays comme à Bouaké, Korhogo, Odienné, Abengourou etc.. Par région, ils prennent les déchets aussi bien de la Covid, de vaccination et d’activités de soins à risque infectieux (catégorie 2) et les envoient dans les centres où il y a des incinérateurs afin de les traiter. », précise le Professeur Kouamé qui s’empresse d’ajouter que l’Ucp Santé/Banque mondiale appui aussi bien technique et matériel tous ceux qui travaillent sur la chaine de traitement des ordures sanitaires en question. L’appui est surtout en rénovation et maintenance des sites de traitement, en équipement, en maintenance curative et préventive des incinérateurs, en approvisionnement en combustible (gaz et carburant).
Le tonnage de déchets Covid 19 traités à ce jour.
« Au niveau de l’Institut Pasteur de Côte d’Ivoire, quand nous faisons le point depuis la fin 2022, la quantité de déchets d’une manière générale a baissé. La raison, est que les centres de dépistages où l’Institut Pasteur a joué un grand rôle, ont fermé. La vaccination aussi. Les tests Covid 19 ne sont plus exigés. Nos activités ont donc chuté. Toutefois, cela ne voudrait pas dire que la maladie a disparu. Il faut continuer d’être vigilants, car le virus circule, même si nous avons une immunisation collective qui fait qu’on ne sent pas la maladie. Nous avons donc besoin d’aides en intrants comme le gaz. Au niveau de l’Institut, la dotation budgétaire pour l’achat de gaz pour l’incinération des déchets est insuffisante sur toute l’année. C’est vraiment peu. », déplore, le Pr Kouadio Kouamé, Maître de Recherche en santé publique et médecine préventive entre autres.
Les besoins de l’Institut Pasteur de Côte d’Ivoire
Spécifiquement, pour la gestion des déchets hautement dangereux, l’unité a besoin d’un véhicule de type 4X4 bien fermé et dédié au ramassage des déchets médicaux issue des activités de soins et de laboratoire. En plus du combustible, elle a besoin d’équipements de protection personnelle durant les activités d’incinération d’une part, mais aussi et surtout de masques et de combinaisons pour les agents incinérateurs.
« Au début de la pandémie des personnes nous aidaient. Mais aujourd’hui, c’est l’Institut Pasteur avec l’appui de l’Ucp Santé et de Petroci qui apportent un appui technique à l’incinération des déchets », rappelle, le professeur de médecine Kouadio Kouamé.
Est-il possible de recycler les déchets que vous incinérez ?
Notre interlocuteur est affirmatif quand il dit : « il est possible de les recycler. La preuve, quand nous incinérons, nous récupérons la cendre qui peut servir à produire des pavés pouvant contribuer au revêtement des voies bien que les déchets médicaux ne sont pas en grande quantité. En ce qui concerne les ordures ménagères gérées par l’Anaged avec Ecoti S.A et Eco Eburnie, on peut en avoir un peu plus, pour fabriquer des pavés en grande quantité à condition de bien trier les déchets. »
L’Oms appelle à une meilleure gestion des déchets médicaux liés à la Covid-19
L’Organisation mondiale de la santé (Oms) a appelé mardi 1er janvier 2022, les gouvernements à une meilleure gestion des déchets médicaux surtout dans le contexte de la Covid-19. Cet appel a été lancé à travers la publication d’un nouveau rapport de l’Organisme, intitulé « L’analyse mondiale de l’Oms sur les déchets de soins de santé dans le contexte de la Covid-19 : état, impacts et recommandations », en raison de la sécurité des agents prestataires du secteur de la santé.
Ceux-ci se voient de plus en plus exposés à des risques liés à leur profession (blessures par piqûre d'aiguille, brûlures et micro-organismes pathogènes), du fait du sous équipement des établissements sanitaires, en termes de gestion des déchets de soins, auxquels s’ajoute la charge supplémentaire de la Covid-19.
Ce sont aujourd’hui 30% des centres de santé au niveau mondial et 60% de ceux des pays en voie de développement qui sont affectés par cette défaillance. Laquelle met à mal l’hygiène de vie des populations environnantes des décharges et des sites d'élimination des déchets mal gérés.
En Côte d’Ivoire, des structures comme la Loterie nationale de Côte d’Ivoire (Lonaci) à travers sa Fondation devrait aider pourquoi pas, l’Institut Pasteur dans cette mission très technique de traitement et d’incinération des déchets de vaccination et d’activité de soins de soins à risque infectieux.

Bamba Mafoumgbé, Cette adresse courriel est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
Légende photo: Le professeur de médecine Kouadio Kouamé : « Environ 220 tonnes de déchets aussi bien de la Covid-19, de vaccination et d’activités de soins médicaux à risque infectieux ont été traitées »

Santé//SOS- Souffrant d’une tumeur sur la bouche// Le cultivateur Silué Brahima appelle à l’aide

mardi, 20 août 2024 11:44 Written by

M. Silué Brahima, réside à Tortiya, dans le département de Niakara dans le Hambol. Silué Brahima souffre d’une tumeur qui a la forme d’un ballon de football sur la bouche.
Silué Brahima, cet agriculteur âgé d’environ 54ans, malgré son mal, allait toujours au champ, jusqu’ à ce son mal s’aggrave et lui « foutent les boules ». Chaque jour, entre deux sanglots, il ne fait qu’implorer le Tout Puissant, pour avoir le soutien d’un hypothétique bienfaiteur.
Selon des informations que nous avons reçues donnent froid dans le dos et fait couler des larmes.
« Silué Brahima peine à couvrir ses frais médicaux. Nous croyons en la force de la communauté, pour apporter du réconfort et de l'aide. Nous sollicitons humblement votre soutien, qu'il s'agisse d'une oreille attentive, d'un geste de gentillesse ou d'une contribution pour accéder aux soins médicaux nécessaires. Ensemble, nous pouvons alléger le fardeau de notre être cher et lui rappeler qu'il n'est pas seul dans cette bataille. Merci du fond du cœur pour votre soutien et votre compassion », indique le message
Selon les informations recueillies, auprès de l’un de ses proches, c’est difficile pour Silué qui continue d’appeler à l’aide. « C’est depuis l’âge 20 ans qui le mal de Silué a commencé. Au tout début, c’était du sang coulait de la bouche et au fur la tumeur commencée à se développer. Il a négligé au départ, mais c’est maintenant qu’il a décidé d’aller à l’hôpital. », nous a précisé M. Diarra Adama, un proche joint par téléphone.
Mais combien faut-il pour opérer Silué ?
Beaucoup d’argent. Et la facture pro-forma établie par le Docteur chirurgien Zégbéh qui a consulté le patient à Bouaké, il faut au moins 1,1 million de Fcfa(voir fac-scimilé).Cette facture porte les indications suivante :« Tumeur historique de la mandibule. Intersection interrompue de la mandibule et reconstruction par endoprothèse métallique »
Mais où trouver cette somme ? Sa famille continue d’appeler à l’aide. Même si ce malade arrivait à être opéré et donc débarrasser de sa tumeur, il faudra le suivre et l’aider à honorer ses ordonnances et faire face aux besoins de sa famille. Voici, un cas parmi tant d’autres que la fondation Lonaci qui se bat depuis quelques années, pour la bonne cause, peut soulager : Redonner le sourire à Silué Brahima, marié et père de 7 enfants dont le premier garçon est en L2 lettres modernes à l’université de Bouaké, pourquoi pas !
Contacts parents : 0707927956 / 0153715229
Bamba Mafoumgbé,Cette adresse courriel est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Presse//Challenge Social Fondation Lonaci//Le Dg Dramane Coulibaly lance la 7e édition

lundi, 19 août 2024 22:11 Written by

M. Coulibaly Dramane, Dg de la Loterie nationale de Côte d’Ivoire (Lonaci) et par ailleurs Pca de la Fondation Lonaci, a procédé ce lundi 19 Aout 2024, au lancement de la 7e édition du concours Challenge Social Fondation Lonaci qui récompense les meilleures productions à caractère social en Côte d’Ivoire
Lors de la cérémonie organisée à l’hôtel Azalaï sis à Marcory, le Pca a exalté le partenariat avec les médias, à travers ce concours qui célèbre l’excellence et la solidarité. Excellence parce que les lauréats sont primés pour la qualité de leur travail, et solidarité car chaque production soumis constitue un plaidoyer pour un mieux-être de la population.
« Il s’agit de contribuer significativement à la mission de la Fondation Lonaci et partant, à la cohésion nationale », a ajouté M. Coulibaly Dramane
Juste avant, le président du jury, Dosso Boubakary, a rappelé les critères du concours, ouvert à tout détenteur de la Carte d’identité du journaliste professionnel (CIJP). Le candidat devra soumettre au jury une copie d’un grand genre (reportage, interview, enquête) publié ou diffusé à compter de ce 19 août jusqu’au 24 novembre 2024 à minuit, à l’adresse Cette adresse courriel est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser..
Couvrant tous types de supports (presse écrite et numérique, audiovisuel), le concours promeut les questions sociales notamment la santé, l’éducation et la culture. Les productions proposées doivent respecter le Code d’éthique et la déontologie du journalisme en Côte d’Ivoire. La notation est faite sur 20 points, à savoir cinq points pour la pertinence du sujet, dix points pour l’engagement social, et cinq points pour la qualité d’écritue/rédactionnelle.
M. Dosso, par ailleurs directeur de la documentation, de la publication et de l’archivage numérique à l’Autorité nationale de la presse (Anp), a souligné que pour cette édition, la Fondation Lonaci a accepté que le jury puisse s’auto-saisir lors des séances de monitoring pour soumettre les articles qui remplissent les conditions.
Précisons que lors de la cérémonie de remise des prix est prévue pour le 23 janvier 2025. Le lauréat recevra une somme de 1,5 million de Francs Cfa, le 2e percevra 500 000 Fcfa et le 3e, un montant de 250 000 Fcfa. Tous recevront en outre un trophée et une attestation.
Bamba Mafoumgbé

Société// Promotion l’immigration légale //ICV Expo-2024« immigration et citoyenneté valorisées » prévue en novembre

dimanche, 18 août 2024 11:49 Written by

La première édition de l’exposition sur l’Immigration et la citoyenneté valorisées (ICV Expo-2024) est programmée du mercredi 13 au samedi 16 novembre 2024 à Abidjan, sous l’égide de TFT prestige international.
Annonçant la tenue de cet évènement récemment à Abidjan, au nom du comité d’organisation, Dr Kevin Bomy a expliqué que celui-ci vise à promouvoir une immigration légale et valorisée en réunissant l’ensemble des parties prenantes pour discuter des dispositions légales et réglementaires, afin de pallier les lacunes existantes et d’ouvrir de nouvelles perspectives.
Il a ajouté qu’au programme de cette manifestation figurent des panels, des ateliers interactifs, des sessions thématiques d’experts ainsi que des débats portant sur la réglementation, la législation et les bonnes pratiques relatives à l’acquisition du passeport biométrique ou de tout autre document de voyage ivoirien.

Cet événement mobilisera les pouvoirs publics, les organismes spécialisés, les agences de voyage ainsi que les promoteurs des investissements de la diaspora, dans le but d’expliquer les procédures et de promouvoir l’immigration légale. Enfin, un dîner de gala clôturera ces trois jours d’exposition, marqué par la remise de distinctions aux principaux acteurs du domaine du voyage et de l’immigration en Côte d’Ivoire.
L’ICV Expo-2024 prévoit d’accueillir 5000 visiteurs et de rassembler 25 experts autour des questions transversales liées à l’immigration et à la citoyenneté. De plus, il envisage sensibiliser 3 000 jeunes aux conséquences de l’immigration irrégulière.
Le directeur général de la Chambre de commerce libanaise en Côte d’Ivoire, Serges Akl a salué cette initiative visant à fournir des informations précises à toute personne souhaitant entreprendre une aventure migratoire.
Ayoko Mensah. avec sercom)

Région du N’zi//Lutte contre le changement climatique//La fondation Awi à la rencontre des femmes

jeudi, 15 août 2024 10:54 Written by

 

Autour du thème « Investir dans les femmes du N’Zi pour accroître leur résilience face aux effets du changement climatique », les Journées de la femme entrepreneure (Jfen) ont démarré le mardi 13 août 2024, à Dimbokro. La cérémonie d’ouverture de cette initiative de la Fondation Awi s’est faite dans la cour de la préfecture.
Selon une note à la presse, la première journée a été marquée par la tenue d’un panel sur le thème : « Investir dans les femmes du N’ZI pour accroître leur résilience face aux effets du changement climatique ». Les échanges ont permis de relever les causes du changement et les conséquences du changement climatique.
Les intervenants ont mis cette occasion à profit pour inviter les populations à tenir compte de cette problématique dans leur vie quotidienne. Il a été surtout demandé aux communautés d’intégrer les méthodes d’adaptation et d’atténuation de ce fléau en s’impliquant dans l’agroforesterie, le reboisement, en faisant usage de l’engrais végétal, etc. Bien avant le panel, Yao Nobert, représentant le ministre des Finances et du Budget, Adama Coulibaly, maire de Dimbokro et parrain de la cérémonie, a trouvé la thématique centrale évocatrice, d’autant plus que la Côte d’Ivoire reste fortement exposée aux risques du changement climatique.
« La région du N’ZI, ancienne boucle du cacao, avec un taux de pauvreté estimé à 59,1 % contre 46,3 % au plan national, enregistre une forte prévalence en insécurité alimentaire de 12 % de la population contre 10,8 % au plan national », a-t-il affirmé.
Une situation imputable, selon lui, aux feux de brousse, à l’orpaillage clandestin, à la dégradation des forêts
Il a aussi relevé que « les femmes représentent 59 % de la main-d’œuvre dans le pays. Et de par leurs actions multiples sur l’écosystème, jouent un rôle important dans la gestion des conséquences néfastes du changement climatique et dans l’attente de l’autosuffisance alimentaire ».
Quant à la Pca de la Fondation Awi, Mariam Fadiga Fofana, elle a fait savoir que ces journées sont donc l’occasion de déployer dans le N’ZI tous les projets et programmes pour rendre cette région encore plus dynamique, et surtout d’aider au développement économique de la Côte d’Ivoire.
« Notre fondation voudrait contribuer à sa manière à une prise de conscience des femmes de leur potentialité, à leur autonomisation et leur accompagnement dans le développement et le rayonnement de la Région du N’ZI », a-t-elle indiqué. Sans manquer de les exhorter à participer massivement aux différentes activités. L’objectif des Jfen est de renforcer l’autonomisation économique des femmes de la région du N’ZI. Ce, à travers les leviers de la solidarité, de la valorisation de leur savoir-faire et de l’adoption de pratiques durables.
Ayoko Mensah avec Sercom

Education nationale//Célébration de l’excellence// Patrick Achi, récompense les meilleurs élèves de la Mé

mardi, 13 août 2024 12:14 Written by

Le Premier ministre, Patrick Achi, président élu du Conseil régional de la Mé, a récompensé les 30 meilleurs élèves aux examens à grand tirage session 2023-2024 des départements de Yakassé Attobrou, Adzopé , Akoupé.et Alépé.
La cérémonie a eu lieu le vendredi 9 août 2024 au siège du conseil région à Adzopé.
Au titre du Certificat d'études primaires (Cepe) ont été reconnus meilleurs de la région de la Mé, l’élève Oré Israël Belefe de l’Epp Samhat Abdulatif d’Adzopé 2 et Mangoua Yah Marie Orphée de l’Epp Habitat 2 d’Adzpé. Ils ont respectivement obtenu 165,84 points et 162, 33 points à l’examen.
Au niveau du Brevet d'Études du premier cycle (Bepc) avec 305,99 points, le titre de meilleur élève masculin est revenu à l’élève Niangoran Ulrich Michel Preval du Lycée moderne d’Akoupé. Quand le prix féminin a été attribué à Lobognon Princia Sara Urielle du Collège moderne de Yakasse-mé qui a eu 294,06 points.
Le prix du meilleur élève féminin au baccalauréat est revenu à Bené Lou Douhane Ange Hermine du Lycée moderne 1 d’Adzopé qui obtenu 326,33 points. Quand l’élève Aouli Olivier Renaud du Lycée moderne Agou avec 313 points a reçu le prix de meilleurs au niveau des garçons.
À cette occasion, Patrick Achi, le président du conseil régional de la Mé, a salué le travail du corps enseignant et a exhorté les parents à s’investir dans l’éducation de leurs enfants.
« L'investissement dans l’éducation des enfants est le meilleur des investissements qu’on puisse faire dans la vie. On peut investir dans des biens. Mais si les enfants que vous avez faits ne sont pas suffisamment instruits et n’ont pas été éduqués, tous les biens que vous allez construire, ils vont les dilapider et vous allez disparaître. Mais si vous avez investi dans les enfants qui ont réussi même si vous n’avez rien eu comme bien, ils vont tout construire pour vous » a-t-il affirmé.
Patrick Achi a aussi annoncé que le conseil régional de la Mé envisage d'organiser avant la rentrée des classes une autre cérémonie de distinctions qui va récompenser cette fois les meilleurs enseignants et établissements. Puis offrir des bourses scolaires spéciales aux élèves méritants et introduire un nouveau prix des meilleurs bacheliers pour des bourses d’étude à l’étrange.
Pour sa part le préfet de la région de la Mé, préfet du département d’Adzopé, Gueu Zro Simplice a demandé aux récipiendaires de prendre ces prix comme des engagements à continuer à exceller dans l’avenir.
Par ailleurs, Dadié née N'Guessan Sylvie, 2è vice-présidente du conseil régional de la Mé a indiqué que la sélection de ces 30 élèves a été effectuée sur la base des résultats présentés par la direction régionale de l’éducation nationale et de l’alphabétisation. Pour matérialiser ces distinctions Dadié né N’Guessan Sylvie a énuméré comme récompense au Cepe et Bepc, 1 kit scolaire, 1 tableau d’honneur et des enveloppes respectives de 50 mille fcfa , 70.000 fcfa. Pour les meilleurs bacheliers un tableau d’honneur et une enveloppe de 200 mille francs cfa. Avec notamment en bonus 2 tenues scolaires et une enveloppe de 20 mille francs pour les meilleurs au Cepe sur le plan régional. 2 tenues scolaires, une calculatrice et une enveloppe de 30 mille francs cfa pour ceux du Bepc. Et enfin 2 ordinateurs portables pour les meilleurs au bac.
B. M ( Sercom)

Akoupé-Zeudji // Programme de logements sociaux// Beugre Mambé lance la construction de 1160 logements sociaux

mardi, 13 août 2024 10:34 Written by

Le Premier ministre, ministre des Sports et du Cadre de vie, Dr Robert Beugré Mambé, a procédé le lundi 12 août 2024, à Akoupé-Zeudji (commune d’Anyama), au lancement du projet de construction de 1160 logements en location-vente et en location simple. Le projet financé à hauteur de 40 milliards de FCfa par la Banque ouest-africaine de développement (Boad) et est constitué d’immeubles R+9, d'appartements de trois et quatre pièces, d'aires de jeux et de sport, d'espaces commerciaux et des lieux de culte.
Belle tribune pour le maire d’Anyama, Fatim Bamba, d’exprimer la gratitude de ses administrés au Président de la République et au Premier ministre d’avoir choisi leur circonscription pour la réalisation du présent projet immobilier. « C’est un ensemble d’opportunités qui s’offrent ainsi aux populations d’Akoupé-Zeudji », a-t-elle souligné.
Quant à Amadou Oumar Mballo, expert en projet de développement, représentant le président de la Banque ouest-africaine de développement (Boad), a réitéré l’engagement de son institution dans le projet de 4300 logements dans plusieurs villes du pays. Abidjan bénéficiera de 2300 logements dont 1160 à Akoupé-Zeudji. Ce projet porte les engagements de la Boad à 1885,30 milliards de FCfa dont 152 milliards pour le logement social.
Pour sa part, le ministre de la Construction, du Logement et de l’Urbanisme, Bruno Nabagné Koné, a remercié ses collègues du gouvernement impliqués dans la mise en œuvre et solliciter la poursuite de leurs appuis pour accélérer l’installation des infrastructures nécessaires.
Le ministre a indiqué que les études d’impact environnemental et social ont été menées de sorte à n’avoir aucune conséquence négative sur l’environnement et la vie des habitants. « On peut dire cette fois que le train du logement social et décent est véritablement lancé et ne va plus s’arrêter pour nous permettre de résorber le déficit », a-t-il déclaré.
Il a rappelé que l’État ne s’arrête plus aux deux premières étapes de la mobilisation foncière et l’aménagement primaire des sites. Il va désormais à la recherche de financement, à la construction et à la gestion du patrimoine bâti.
Bruno Koné a profité de l’occasion pour rappeler les réformes introduites en amont, notamment la mise en place de la Commission nationale d’attribution des logements (Conalog), la recapitalisation de la Banque de l’habitat de Côte d’Ivoire (Bhci) et la création du Fonds de soutien au logement social et économique.
Dans son adresse aux nombreuses populations qui ont effectué le déplacement, le chef du gouvernement ivoirien indique qu’en plus du lancement du projet de 800 logements sociaux et économiques en location-vente et location simple, celui d’Akoupé-Zeudji confirme « le nouvel envol du programme présidentiel de logements sociaux ». Le Premier ministre Robert Beugré Mambé a également réitéré la rigueur qui sera appliquée dans la sélection des bénéficiaires de sorte que les logements soient attribués à ceux qui en ont besoin. Pour ce faire, le gouvernement entend s’appuyer sur un système de contrôle robuste et informatique biométrique. Le chef du gouvernement a dit sa volonté de faire en sorte que les loyers n’excèdent pas le tiers des revenus.
Bamba M.

Religion//Fin du Congrès ECK africain 2024 à Abidjan//Plus de 5 865 participants ont vécu une belle expérience spirituelle

lundi, 12 août 2024 09:41 Written by

Débuté le vendredi 9 août, le rideau est tombé sur le Congrès ECK africain de l’aventure de l’âme 2024, le dimanche 11 août au Parc des Expositions d’Abidjan.
Jean Adoté Bah Adotevi, membre du clergé, représentant le Mahanta et Maitre Eck vivant, au Togo, au Sénégal, en Gambie et en Guinée, s’est réjoui du succès de l’événement. Selon lui, ce congrès Eck africain de l’aventure de l’âme, édition et 2024 qui vient de se terminer à Abidjan en Côte d’Ivoire est une belle expérience spirituelle, qui a réunie 5 865 participants venus et de tous les coins d’Afrique avec 1063 visiteurs autour de la lumière et du son de Dieu.
« La voie de la liberté spirituelle, nous avons eu à passer les deux messages mais aujourd’hui nous sommes et nous insistons là-dessus. La voie de la liberté spirituelle étant la voie de la télé spirituelle dans nos différents échanges que nous avons liés au cœur des discussions. Ce qu’il faut à tout prix préserver, c’est l’identité divine de l’âme. », A-t-il déclaré.
Selon le représentant le Mahanta et Maitre Eck vivant, l’être humain est une étincelle divine venue dans ce bas monde pour faire des expériences et grandir afin de se réaliser en tant que tel. Selon lui, c’est un message qui est très bien passé. « J’ai fait visiter, la salle des chercheurs et c’est vraiment réconfortant prometteur de les entendre, parler du « HU » et que l’Esprit Saint et d’avoir surtout compris que la voix de l’Esprit Saint est la voix qui conduit au royaume céleste.
C’est très agréable de les entendre et parler du saint nom universel de Dieu, des miracles que le « HU peut accomplir dans nos vies. Ils y ont cru l’essentiel, nous les avons invités à l’essayer à ses prières merveilleuses pour voir les miracles s’accomplir dans leur vie », a fait savoir Jean Adotévi.
Par rapport au thème central, langage de l’âme, il a confié qu’il a eu à insister et sur les vertus qui doivent animer tout homme de bonne volonté afin de s’assurer qu’il est en train de faire vivre la divinité en lui que ce soit dans les grandes salles ou bien dans la salle des tout-petits, des jeunes et des jeunes adultes.
A l’en croire, c’était très émouvant et très attachant de constater que les jeunes adultes de tous les pays se sont retrouvés et pour s’assurer qu’ils sont prêts à prendre la relève d’Eckankar. Il a rassuré qu’il a pris soin de discuter des outils spirituels dont ils auront besoin pour propager le message sans âge et le message d’amour d’Eckankar.
Toujours pour le membre du clergé, c’est l’occasion d’échanger sur leurs préoccupations, leur défi, les jeunes de 18, 35 ans. « Nous n’avons pas manqué de leur relever les vertus dont ils auront besoin de discernement. On a besoin d’avoir cette ouverture de discernement pour faire les bons choix dans la vie », a relevé Jean Adotevi. Rendez-vous est pris pour 2025 au Nigeria
Ayoko Mensah
Légende photo : La Resa Eulalie Kili de Côte d’Ivoire ( à droite) passe ici le flambeau au Nigeria ( PH/ C.TOUMANY

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