Prix garanti bord champ (campagne 2023-2024): CACAO 1800 Fcfa / KgCAFE 1500 Fcfa / Kg

mercredi 11 décembre 2024
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La première édition du Salon international des ressources extractives et énergétiques (Sirexe), a clos ses portes le dimanche 1er décembre 2024 au Parc des Expositions d’Abidjan Port-Bouët.Démarré le 27 novembre2024, l’évènement a pris fin en présence du Premier ministre, ministres des Sports et du cadre de vie, Robert Beugré Mambé. Pour un coup d’essai, ça été un succès total dans l’ensemble. Le ministre ivoirien des Mines, du pétrole et de l’énergie, Coulibaly Sangafowa Mamadou, l’organisateur en chef au quotidien de l’évènement ne pouvait demander mieux.
Cette première édition du Sirexe a été marquée par la signature de contrats d'investissement de près de 4 000 milliards de Fcfa. Le Sirexe 2024 a enregistré la mobilisation et la présence effective de 2 200 participants professionnels, 320 exposants, 25 000 visiteurs et 134 médias nationaux et internationaux. Des chiffres qui ont été donnés par la Commissaire générale adjointe Aka Mireille Chiniango.
En outre, cet événement a été l'occasion d'identifier des solutions aux défis de développement des secteurs des mines, du pétrole et de l'énergie, et de promouvoir des accords de partenariat Sud-Sud et Nord-Sud, ainsi que des retombées touristiques pour la Côte d'Ivoire. Il s'agit, entre autres, de l'annonce de découvertes additionnelles de réserves d’or en Côte d’Ivoire et de la signature de nouveaux contrats de partage et de production ou encore des contrats de vente de gaz naturel entre l’État de Côte d’Ivoire et des opérateurs.
Pour mettre en œuvre l’initiative « Transition Bas carbone », on note, par exemple, la mise en œuvre du projet de valorisation de la biomasse énergie et de la cuisson propre en Côte d'Ivoire ou encore l’aménagement de forêts classées en vue de la compensation des émissions de gaz à effet de serre issues du développement de nos gisements.
Dans la promotion du contenu local et la recherche de l’innovation, une coopération entre le gouvernement ivoirien et l'Association des Sociétés d'Électricité d'Afrique a été mise en place pour soutenir la formation et renforcer les capacités humaines dans ce secteur en Afrique, a conclu la commissaire générale adjointe.
Le ministre Coulibaly Sangafowa Mamadou, très ému a rendu un hommage mérité au Chef de l’Etat, Alassane Ouattara pour avoir autorisé l’organisation de l’évènement, mais aussi salué la détermination de son staff pour la réussite dudit salon. Sans oublier la forte présence d’une trentaine de délégation étrangères dont celles du Gabon et du Congo Brazza-ville et les participants nationaux. Le succès ne doit pas faire oublier que la presse a souvent travaillé dans des conditions difficiles en bravant les embouteillages et la chaleur.
Pour le Premier ministre Robert Beugré Mambé, le Sirexe 2024 « est un véritable coup de maître ».
A l’occasion, le chef du gouvernement a remercié le Président de la République, Alassane Ouattara, porteur de ce projet. Pour lui, cette première édition du Sirexe s’est imposée comme une plateforme d’échange stratégique et de valorisation de industries extractives et énergétiques reconnues comme des leviers essentiels d’une croissance économique durable et inclusive.
« Cette première édition place le Sirexe au rang des rendez-vous incontournables du continent. Nous pouvons sans hésitation affirmer que cette première tentative est un véritable coup de maître », s’est réjoui le Premier ministre. Selon lui, les acquis de cette édition sont nombreux et méritent d’être soulignés.
Il s’agit entre autres ; des grandes annonces enregistrées au bénéfices des secteurs extractifs et énergétique ; le renforcement des capacités en matière de contenu local grâce au retour d’expériences des pays précurseurs : la formulation de l’augmentation stratégique pour le développement d’une infrastructure géologique nationale robuste et la promotion des solutions innovantes.
« Le Sirexe s’affirme désormais comme une vitrine d’excellence pour les secteurs des mines, du pétrole et de l’énergie, positionnant la Côte d’Ivoire parmi les leaders du développement durable dans ces domaines. Cette réussite ne doit pas nous faire oublier les efforts nécessaires pour renforcer davantage l’impact de nos initiatives en favorisant notamment le développement du contenu local et l’industrialisation inclusive », a insisté Robert Beugré Mambé.
Bamba Mafoumgbé,Cette adresse courriel est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

En marge de la 1ère édition du Salon international des Ressources extractives et énergétiques (SIREXE 2024), le ministre des Mines, du Pétrole et de l'Énergie, Mamadou Sangafowa-Coulibaly, a procédé le samedi 30 novembre 2024, au Centre des Métiers de l'Electricité (CME) de Bingerville, à l'inauguration du Centre d'excellence de ressources pour les applications de la technologie solaire dénommé STAR C (Solar technology application ressources center). Rapporte le Cicg.

Le ministre Mamadou Sangafowa-Coulibaly a souligné que la mise en place de STAR C au CME de Bingerville s'inscrit dans la vision stratégique du Président Alassane Ouattara qui entend placer l'accès à l'énergie universelle propre au cœur du développement de notre pays, affirmant ainsi l'ambition du gouvernement ivoirien de faire de la Côte d'Ivoire un pôle régional de compétence en énergie solaire.

L'inauguration de STAR C est le début d'une nouvelle ère : « Une ère où l'énergie solaire sera un pilier de notre mix énergétique contribuant à l'industrialisation, à l'emploi des jeunes et à l'amélioration des conditions de vie de nos populations », a expliqué le ministre.

STAR C, faut-il le rappeler, est le fruit de la signature, en mars 2023, d'un Mémorandum de coopération (MOU) entre l'État ivoirien, à travers le ministère des Mines, du Pétrole et de l'Energie (MMPE), et l'Alliance Solaire internationale (ASI), une plateforme de coopération entre des pays en voie de développement à fort potentiel solaire et les pays développés disposant de technologies solaires avancées. L'initiative STAR C a pour objectif de fournir des services de ressources en technologies et applications solaires aux pays membres afin que ces pays puissent réaliser la vision de l'ASI d'un déploiement à grande échelle et accéléré de l'énergie solaire pour répondre à l'accès prioritaire à l'énergie des pays respectifs.
Selon la source, Mamadou Sangafowa-Coulibaly a traduit la gratitude du gouvernement à l'ASI pour ce « partenariat de qualité » qui permettra à la Côte d'Ivoire de renforcer sa capacité à développer les compétences locales nécessaires pour tirer pleinement partie des énergies renouvelables, en particulier l'énergie solaire, ressource abondante dans notre pays.

La cérémonie d'inauguration s'est tenue en présence des directeurs généraux de l'Énergie, Narcisse Ehouman Kalifa et de la Compagnie ivoirienne d'Electricité (CIE), Ahmadou Bakayoko, ainsi que des élèves du CME.
B. Mafoumgbé ( Source : Cicg)

Le premier Salon international ressources extractives et énergétiques(Sirexe) qui prend le 02 Décembre 2024 au Parc des expositions d’Abidjan-Port Bouet est une belle tribune pour les entreprises pour non seulement exposer leur savoir-faire, mais aussi sensibiliser sur certains risques.
A l’occasion la compagnie ivoirienne d’électricité (CIE) acteur clé de l’énergie en Côte d’Ivoire a présenté son projet « zéro accident » à travers un panel. Autour du thème : Enjeux du renforcement de la prévention et sécurité autour de la chaîne de valeur du système électrique, Amara Soumahoro, directeur de la sécurité au travail à la CIE, a animé un panel pour sensibiliser les participants sur les risques électriques liés à l’utilisation de l’électricité.
Au cours de cet échange, le directeur a souligné l’importance de connaître ces risques pour favoriser un développement durable sans accidents. « L’objectif, c’est pour qu’on soit tous conscients du risque électrique, comprendre que l’électricité, c’est vrai que c’est un besoin naturel, ça contribue au développement, mais pour un développement durable, il est bon d’utiliser l’électricité sans accident. La CIE informe donc ses consommateurs à prendre toutes les dispositions pour éviter les accidents », a -t-il précisé. Par ailleurs, M. Soumahoro a insisté sur le fait que l’occupation des emprises électriques, l’une des causes majeures d’accident d’électricité, qu’elles soient aériennes ou souterraines, doit être évitée afin d’assurer l’accès aux réseaux pour prévenir les accidents. « On ne doit pas occuper l’emprise électrique, que ce soit les lignes souterraines, aériennes, on doit faire en sorte qu’elles soient accessibles pour faciliter l’exploitation et éviter les accidents », a-t-il exhorté.

 

Aussi, il a évoqué l’importance des installations électriques intérieures qui doivent être conformes et réalisées par des professionnels tout en invitant les consommateurs a en faire un réflexe. Pour le directeur de la sécurité au travail, le but ultime de ces sensibilisations initié par cette entreprise citoyenne est de parvenir à « zéro accident d’origine électrique », tant pour les usagers que pour les employés de la CIE, et d’éviter toute tragédie liée à des accidents électriques.
B. Mafoumgbé

Le Conseil de régulation, de suivi et de développement des filières coton et anacarde a organisé un atelier de préparation de la phase 2 du Programme de promotion de la responsabilité sociétale des entreprises (Rse) dans l’industrie du cajou en Côte d’Ivoire, le jeudi 28 septembre 2024, au Centre d’innovations et de technologies de l’anacarde (Cita) à Yamoussoukro.
Cet atelier vise a donné une suite à la première phase de ce programme qui a bénéficié du soutien du gouvernement néerlandais à travers son Centre de promotion des Importations à partir des pays en développement (Cbi).
Cette première phase a pendant plus de deux ans, initié les unités de transformation et les cadres du Conseil du coton et l’anacarde aux principes de la Rse et a renforcé leurs capacités sur des outils d’autodiagnostic et de planification d’actions y afférentes.
La sensibilisation et le renforcement des capacités durant cette période ont permis d’améliorer la place de la Rse dans les activités des acteurs de la filière, principalement les unités de transformation.
Des avancées ont été enregistrées par le programme Rse du Conseil du Coton et de l’anacarde, notamment à travers l’élaboration d’un guide Rse et d’outils pour accompagner les entreprises à mettre en place leur système Rse au rythme le plus adapté à l’unité de transformation.
Les travaux de cet atelier de préparation de la deuxième phase du Programme ont été ouverts par M. Mamadou BERTÉ, Directeur général du Conseil du coton et de l’anacarde, qui dans son adresse, n’a pas manqué de remercier le Gouvernement Néerlandais pour son action dans la promotion du secteur du cajou ivoirien. Il a également salué la présence des premiers responsables d’une trentaine d’unités de transformation, traduisant l’encrage de la thématique de la Rse au plus haut niveau dans les Unités de transformation du cajou en Côte d’Ivoire.
Il a précisé que l’ambition du Conseil du Coton et l’Anacarde est d’inscrire la Rse comme éléments central de son intervention, avec pour objectif d’accroître son impact sur la profitabilité de la filière et surtout le mieux-être des producteurs. De ce fait, la deuxième phase du programme s’entendra aux autres maillons de la chaîne de valeurs. De ce fait, il s’est réjoui de la présence de l’Organisation Interprofessionnelle de la Filière Anacarde, qui regroupe l’ensemble des acteurs de la chaîne de valeurs.
Le Directeur général du conseil du coton et de l’Anacarde a marqué sa conviction que « la Rse dans l’industrie du cajou n’est pas seulement une opportunité, elle est une nécessité », « qu’ensemble, les acteurs peuvent transformer ce secteur en un moteur de développement durable, tout en renforçant la réputation de la Côte d’Ivoire comme un acteur clé du commerce mondial des produits de l’anacarde.»
Il a rassurer les participants que « pour atteindre ces objectifs, le Conseil du coton et de l’anacarde, en tant qu’institution de régulation, s’engage à collaborer avec le secteur privé pour intégrer les principes de la Rse dans leurs modèles d’affaires ; à mobiliser ses ressources internes ainsi que la contribution des Ptf pour appuyer les projets à impact social et environnemental ; à sensibiliser les acteurs sur les bénéfices d’une approche basée sur la Rse pour leurs opérations et pour l’image de notre filière.
La phase 2 du programme Rse insistera sur des actions permettant l’accroissement effectif du nombre d’entreprises admises à l’audit SMETA (SEDEX Member Ethical Trade Audit).
A cet effet, les diagnostics seront accentués et des appuis personnalisés seront introduits pour les unités volontaires dont un engagement formel sera requis. Des accompagnements spécifiques seront fournis aux unités pour la sensibilisation des dirigeants et pour la mise à niveau documentaire. Aussi, le programme fournira des appuis ciblés pour l’audit SMETA et pour la conception des outils de promotion et de communication sur les actions RSE mises en œuvre dans les Unités.
L’atelier a bénéficié de la présence de partenaires techniques et financiers, notamment la Délégation de l’UE à Abidjan, l’Institut Tony Blair et MOVE/GIZ qui a apporté un appui financier comme contribution à la prise en charge des participants.
B.M ( Source: sercom CCA)

La Première Dame, Madame Dominique Ouattara a reçu en audience le champion olympique Cissé Cheick Sallah, taekwondoïste ivoirien de renommée internationale, ce jeudi 28 novembre 2024, à ses bureaux.

Le champion olympique, qui a brillamment remporté une médaille lors des Jeux Olympiques de Paris 2024, est venu présenter sa précieuse distinction, symbole de son talent et de son engagement pour le sport ivoirien.

Au cours de cette rencontre, Cissé Cheick a également offert un exemplaire de son livre récemment publié. Ce geste a été salué, tout comme sa démarche d’écrivain, qui met en lumière une autre facette de ce grand sportif. Félicitations lui ont été adressées pour ses multiples accomplissements, qui continuent de faire la fierté de la Côte d’Ivoire, tant sur le plan sportif que culturel.
Bamba M. ( Source : sercom)

Madame Hélène Sultan, représentante officielle du gouvernement du Québec en Côte d’Ivoire, a été reçue par la Première Dame, Madame Dominique Ouattara à ses bureaux à Cocody, le jeudi 28 novembre 2024.Au cours de cette rencontre, Madame Sultan a présenté les différentes initiatives qu’elle pilote dans le cadre de ses fonctions, visant à renforcer la coopération entre le Québec et la Côte d’Ivoire. En retour, des encouragements lui ont été adressés pour le succès de sa mission. Cette visite témoigne une fois de plus des liens cordiaux entre les deux entités, dans un esprit d’échange et de collaboration.
B. M ( Sercom)

Eni a signé ce 28 Novembre 2024, dans la mouvance du Sirexe2024, un accord avec la Côte d'Ivoire pour la protection et la restauration de 14 forêts sur une superficie totale de 155 000 hectares. L'objectif est de protéger et de restaurer le patrimoine forestier ivoirien, qui a perdu environ 90 % de sa superficie au cours du siècle dernier. Le projet, géré par Eni en coopération avec les institutions du pays, aura une durée initiale de 20 ans. Selon une note à la presse, dans la mouvance du Sirexe2024, Eni a signé aujourd'hui un accord avec le ministère des Eaux et forêts de Côte d'Ivoire pour lancer un projet de conservation et de restauration de la zone forestière du pays.
Selon la note, l'initiative, qui fait suite à l'étude de faisabilité lancée en septembre 2022 impliquant les parties prenantes locales, concernera 14 forêts, identifiées en étroite collaboration avec les autorités compétentes, sur une superficie de 155 000 hectares, dans les régions des Lagunes et de la Comoé, situées respectivement au sud et au sud-est du pays.
L'accord se concentre sur deux domaines d'intervention. Le premier vise à conserver le patrimoine forestier existant et la biodiversité en renforçant les activités de contrôle déjà en place pour prévenir les risques de déforestation, d'incendie et de braconnage ; il s'appuie sur un vaste programme de sensibilisation et de formation auquel participeront les communautés et les institutions concernées. Le second prévoit la restauration d’environ 13 000 000 d'hectares de zones forestières à travers la plantation d'arbres d'espèces locales dans les zones abandonnées et dégradées ; en outre, ils seront lancés des initiatives agro-forestières visant à encourager des pratiques agricoles plus durables, en améliorant la productivité des terres cultivées, au profit des communautés agricoles locales.
Défini en partenariat avec les autorités ivoiriennes, le projet est conforme aux plans nationaux de développement du pays et à la stratégie ivoirienne de réduction de la déforestation et des émissions qui y sont liées ; il s'inscrit également dans le plan de décarbonisation d'Eni, en contribuant à la réalisation de l’objective de zéro émission nette en amont (champs d'application 1 et 2) dans le cadre du développement de Baleine.
Bamba Mafoumgbé,Cette adresse courriel est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

En attendant l’étape du Sénat, qui consistera en l’examen par les sénateurs, prévu du 3 au 7 décembre 2024, les députés ivoiriens réunis en séance plénière à l’Assemblée nationale, ce 28 novembre 2024, le projet de loi de finances 2025. Plus, spécifiquement, ils ont adopté deux projets de loi majeurs : le règlement du budget de l’État pour 2023 et le projet de budget pour 2025, établi à 15 339,2 milliards de Fcfa. A -t-on appris ce 28 Novembre de sources proches de l’institution à Abidjan.
Ce budget 2025, faut-il le préciser est marqué par une augmentation de 11,8 % par rapport à l’exercice précédent et reflète les ambitions du gouvernement en matière de développement économique et social. Cette progression a été saluée par les parlementaires présents, qui ont voté à l’unanimité.
Le ministre des Finances et du Budget, Adama Coulibaly, a joué un rôle central dans les discussions, présentant une synthèse des crédits budgétaires et une annexe fiscale. Chaque ministère a également défendu ses dotations lors des séances tenues du 18 au 21 novembre 2024 devant la Commission des affaires économiques et financières (Caef).

Le budget 2023, quant à lui, a été adopté après examen des comptes spéciaux, des crédits supplémentaires et des résultats financiers de l’exercice. Ce texte a recueilli 102 voix pour, 12 contre et 48 abstentions.
Bamba Mafoumgbé


Après environ un an de travaux sur le terrain, le Conseil région de La Mé dispose désormais d’un Plan vert 2024-2029 pour la préservation du couvert forestier sur le territoire régional. Le document a été réceptionné par le président dudit Conseil, le Premier ministre Patrick Achi, le mercredi 27 novembre 2024. La cérémonie de remise s’est déroulée sur le site de la Société agropastorale (Sap La Mé), à Adzopé, en présence de nombreux acteurs et parties prenantes dans le projet. Rapporte fratmat.info
C’est un document stratégique articulé autour de trois axes représentant une vision et une feuille pour construire une région durable. Le président Patrick Achi cite la mise en œuvre d’une agriculture durable ; la préservation, la gestion et l’extension des espaces forestiers ; la diminution des nuisances sur l’environnement.
Selon cette source, en ce qui concerne le premier axe, le Plan se traduira sur le terrain par la gestion des cultures de rente dans le respect des normes nationales et internationales. L’objectif est d’amener les agriculteurs à une « Zéro déforestation » dans la réalisation de leurs activités quotidiennes. Ce qui sous-entend que ces planteurs bénéficieront de techniques qui leur permettront d’améliorer la productivité sur un espace réduit.

De façon spécifique, il s’agira d’appuyer la conversion de 1500 hectares de cacaoyères plein soleil en cacaoyères agroforestières, tout en privilégiant la régénération naturelle, ainsi que la réhabilitation de 2500 hectares de cacaoyères dégradées.
Pour le deuxième axe, le Plan favorisera l’exploitation forestière durable et l’extension des forêts dans le domaine rural. Le but est aussi d’améliorer la gestion des forêts classées et la promotion de l’implication des collectivités locales et d’accompagner la valorisation du réseau d’aires protégées régionales.
Comme actions à réaliser pour le compte de l’axe 2, le Conseil régional va vulgariser les nouvelles dispositions du Code forestier et surtout élaborer la mise en œuvre de 300 plans de gestion forestière.
Dans le cadre de l’axe 3, le Conseil régional compte lutter efficacement contre l’orpaillage clandestin par la promotion des techniques d’exploitation pour un « or durable ». Des actions sont également prévues : La création de la réserve naturelle de N’Guéchié, l’accompagnement de la mise en œuvre des plans de développement local des 15 villages qui entoure la forêt de Mabi-Yaya.
De multiples efforts dont la reclassification de la quasi-totalité, en 2019, des forêts de Mabi-Yaya en réserve naturelle Mabi-Yaya, sont consentis dans la région. Achi Patrick souligne en revanche la nécessité d’implémenter ce Plan vert en raison du changement climatique et des catastrophes inimaginables que ce dérèglement favorise.

La réalisation du Plan vert a été soutenue notamment par l’Institut européen de la forêt et la République allemande à travers le Giz. Stella Gaetani, première secrétaire cheffe adjointe de la coopération à l’ambassade de l’Allemagne, salue l’acte posé par la région qui illustre sa volonté d’agir de manière responsable pour préserver les ressources naturelles.
Après la remise du Plan vert, le président du Conseil régional entend organiser une conférence des bailleurs pour collecter des ressources à l’effet de financer le projet. La cérémonie de remise du document a été une occasion pour les membres du Comité technique de la Plateforme multi-acteurs de développement durable de La Mé de tenir également leur première réunion.
Bamba Mafoumgbé 

Ayiman Logistics Côte d’Ivoire, annonce, ce jeudi 28 novembre 2024, en marge du Salon International des Ressources Extractives et Énergétiques (SIREXE) d’Abidjan, le lancement officiel de ses activités en Côte d’Ivoire.
Dotée d’un actionnariat ivoirien et spécialisée dans la logistique pour le secteur énergétique, Ayiman Logistics Côte d’Ivoire, partenaire stratégique d'Africa Global Logistics (AGL) se positionne comme un acteur de premier plan, offrant des solutions sur mesure, adaptées aux défis spécifiques de ce secteur. Grâce à une expertise locale et internationale, l’entreprise propose des prestations logistiques efficaces et fiables, appuyées par des infrastructures modernes et des équipes expérimentées. Ayiman Logistics Côte d’Ivoire se distingue par son ancrage local et propose des solutions de transport, de transit, de consignation, de procurement, de meet & greet, etc, ainsi que des services logistiques entièrement intégrés. L’entreprise s’engage également à accompagner ses clients dans la gestion de leurs opérations complexes, dans le respect des normes de sécurité, tout en assurant un niveau de service optimal.
Ayiman Logistics Côte d’Ivoire place le développement durable au cœur de son approche. Respectueuse des réglementations locales, l’entreprise s’engage activement à promouvoir le contenu local en favorisant l’emploi d’acteurs ivoiriens, le recours à des sous-traitants locaux et en assurant le transfert de compétences. Cet engagement témoigne de sa volonté de participer à la croissance économique et sociale de la Côte d’Ivoire tout en respectant les normes environnementales et sociétales. « Nous sommes heureux de procéder, avec notre partenaire AGL, au lancement d’Ayman Logistics Côte d’Ivoire.
Cette entreprise portée des acteurs ivoiriens, permettra de mieux adresser les problématiques logistiques des opérateurs locaux du secteur de l’énergie, dans le respect de réglementation sur le contenu local en Côte d’Ivoire.
En nous appuyant sur une solide expertise sectorielle et une infrastructure de pointe, nous aspirons à devenir le partenaire incontournable des entreprises énergétiques opérant en Côte d’Ivoire et dans la région », a indiqué
Oumar Koné, Business Partner d’Ayiman Logistics Côte d’Ivoire. « Le lancement des activités d’Ayiman Logistics Côte d’Ivoire, marque une étape importante dans notre engagement en faveur du contenu local en Côte d’Ivoire. Avec les synergies opérationnelles offertes par le partenariat avec AGL, nous ambitionnons de participer de façon concrète, auprès du gouvernement ivoirien et des opérateurs du secteur de l’énergie, au développement économique et social de la Côte d’Ivoire », a indiqué, AstaRosa Cissé, Directrice Générale d’Ayiman Logistics Côte d’Ivoire.
Avec le lancement de ses activités, Ayiman Logistics Côte d’Ivoire réaffirme son ambition de contribuer activement à l’essor économique et industriel de la Côte d’Ivoire, tout en établissant des standards élevés de performance et de responsabilité.
Bamba M.

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